Médée Personnage Tragique

de Sophocle • écrite vers 441 av. J.-C. • appartient au cycle des pièces thébaines, avec Edipe roi et Edipe à Colone • Antigone est la dernière pièce • tragédie en sept actes • dans la pièce de Sophocle le personnage tragique n'est pas Antigone, mais Créon • Antigone est l'instrument des dieux, Hémon le moyen et Créon la victime • il existe une véritable dualité entre Creon et Antigone, chacun des deux, dans leur obstination, leur solitude et leur certitude

Delphes afin de mettre un terme à sa stérilité. La Pythie lui parle en ces termes « Tu ne dois en aucun cas délier le col de ton outre gonflée de vin avant d'avoir atteint le plus haut degré d'Athènes.» Devant ces paroles énigmatiques, Égée se rend chez Médée qui promet de lui trouver une femme. Sous l'enchantement, Éthra , la fille du roi Pitthée, s'éprend d'Égée. Après l'étreinte, la jeune femme se réfugie dans l'île de Sphaéra où elle s'unit au dieu Poséidon. Doublement honorée cette nuit-là, elle mit

Hippolyte périt et Phèdre, prise de remord, s’empoisonne et avoue à Thésée la tragique vérité. Mais tout est consommé. Voilà la scène de Phèdre qui se déroule dans la Grèce mythique, écrite par le véritable dramaturge français, Racine. Dans la littérature, l’histoire de Phèdre et d’Hippolyte est utilisée par plusieurs écrivains. Dans la période hellénique, Euripide a écrit une pièce de théâtre sur ces deux personnages. A l’époque romaine, Sénèque en a écrit une aussi et après Racine, Eugene O’Neil

est un genre littéraire majeur de la Grèce antique. Sa date de naissance est inconnue : nous savons seulement que le premier concours tragique se déroule en 524 av. J.-C. La première tragédie qui nous soit conservée est les Perses d’Eschyle, représentée en 472 av. J.-C. Aristote définit la tragédie comme «l'imitation d'une action noble [...] faite par des personnages en action et non par le moyen d'une narration, et qui par l'entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation («catharsis»)

Tragique et tragédie Comme on vient de le voir, la tragédie est un genre littéraire rigoureusement codifié. Il ne faut pas en déduire que toutes les tragédies sont forcément tragiques, ni que le tragique n'existe que dans les tragédies. Le tragiqe ne se confond pas non plus avec une fin malheureuse : certaines tragédies de Corneille se terminent bien, Mithridate de Racine également, d'une certaine manière, et personne ne meurt dans Bérénice. La faute est l'un des ressorts du tragique : Phèdre

mais plus classique que celle que proposera Jean Anouilh en 1944, l'Antigone de Cocteau souligne le goût prononcé de l'auteur pour les sujets mythologiques (en 1934 paraît La Machine infernale). L'esprit tragique conféré à la pièce de Sophocle s'y retrouve également, de même que tous les personnages y sont décrits dans leur malheur tout insidieux. Antonin Artaud y joua le rôle de Tiresias, et la pièce est dédiée à Génica Athanasiou, à laquelle fut confié le premier rôle. III – Jean Anouilh [pic]

travestissement, métamorphose, et dissimulation : Hugo joue pleinement des  ressources de la  théâtralité et des  libertés  du  drame  pour  faire  apparaître  des  vérités  tragiques  et  la  beauté  paradoxale  de  ses  héros. La fictionnalisation de l’histoire   permet à la fois de conférer sa vraisemblance à l’action et de peindre des personnages plus grands que la vie.    I/ ​ LECTURES ANALYTIQUES    1.​  Du début de la pièce à la p.20 « Il a disparu. » ​ Gennaro et ses compagnons d’armes​  ­ Exposition du drame

amoureux, aux trahisons du cœur et aux émotions sentimentales, et propulsant sur le devant de la scène le personnage de la jeune fille, presque muet dans la comédie traditionnelle héritée de l'Antiquité. Mais il refusa les complications romanesques dans lesquelles étaient plongés les héros de “L’astrée”. La comédie obéit aux règles de la vraisemblance. Et, comme il se doit, elle finit bien. Les personnages étaient toujours convenus, mais c’étaient d’abord des individus, gens de la petite noblesse dont le

amoureux, aux trahisons du cœur et aux émotions sentimentales, et propulsant sur le devant de la scène le personnage de la jeune fille, presque muet dans la comédie traditionnelle héritée de l'Antiquité. Mais il refusa les complications romanesques dans lesquelles étaient plongés les héros de “L’astrée”. La comédie obéit aux règles de la vraisemblance. Et, comme il se doit, elle finit bien. Les personnages étaient toujours convenus, mais c’étaient d’abord des individus, gens de la petite noblesse dont le

résoudre le dilemme, puis comment est exprimée la souffrance causée par ce dilemme, et enfin nous réfléchirons sur la particularité de ce roi de tragédie. I- Un dilemme complexe Le monologue d’Agamemnon présente un dilemme complexe auquel le personnage est confronté et qui altèrera la suite de l’action, il crée donc une tension dramatique. 1) Un discours délibératif Ce monologue est un discours délibératif à la suite duquel une décision doit-être prise. On peut remarquer la logique de la