Médée Personnage Tragique

Bérénice, elle, le cherche et se sent délaissée et frustrée. 3) Problématiques possibles * En quoi la scène étudiée constitue-t-elle une scène d’acmée ? * Quels sont les arguments, les valeurs promues, et les sentiments des deux personnages ? * Analysez la structure du passage. * Etudiez les registres utilisés dans le passage. * En quoi cette scène est-elle classique ? * Etudiez la versification et la musicalité du texte. 4) Etude de l’extrait * L’argumentation

départements du Nord et du Pas-de-Calais, rattachés à la Belgique, une zone annexée au Reich : l'Alsace-Lorraine et enfin, une zone d'occupation italienne dans le Sud-Est (Savoie). C'est à un acte de résistance qu'Anouilh doit l'idée de travailler sur le personnage d'Antigone. En août 1942, un jeune résistant, Paul Collette, tire sur un groupe de dirigeants collaborationnistes au cours d'un meeting de la Légion des volontaires français (L.V.F.) à Versailles, il blesse Pierre Laval et Marcel Déat. Le jeune

sa forme primitive, le théâtre avait un seul personnage, le protagoniste, qui joue tous les rôles. Ce première, et seul acteur, a été introduit par Thepsis, auteur de VI siècle avant J.-C. Evoluant, le théâtre obtient le deutéragoniste, introduit par Eschyle, et le tritagoniste, introduit par Sophocle. Ces acteurs représentent l’œuvre pendant que le chœur chante, et en plus, une caractéristique importante, c’est que tous les personnages sont hommes. 2. Les Costumes.

pas comme telle, par un roi marié, qu’elle se réveillera. En effet, les enfants retireront l’écharde de son doigt en le tétant. La malédiction en sera ainsi levée. Nous nous demanderons ici, en quoi se conte arrive en liant un registre comique et tragique à être un apologue. Pour cela nous nous appuierons d’abord sur l’oralité et la structure rigoureuse du conte puis nous étudierons son côté merveilleux ainsi que son registre comique et enfin nous analyserons l’aspect théâtral et dramatique. ( je

tragédie a pour vocation d’exprimer des sentiments hors du commun chez des personnages héroïques. Les émotions extrêmes entraînent une catharsis, purification des pulsions les violentes ou infâmes qui sont en nous. Ainsi Œdipe-Roi, Phèdre, ou encore Médée où l’inceste et le matricide sont au cœur de l’action. Le registre pathétique est au cœur de ces pièces. • Par le dilemme, le spectateur délibère avec le personnage sur un conflit de valeurs (gloire & amour par ex.). Il souffre avec (sympathie)

dont le dénouement est toujours heureux. • Les procédés comiques les plus fréquemment utilisés sont : le comique de situation qui repose le plus souvent sur un quiproquo (deux personnages comprennent les mots dans un sens différent) ; le comique de caractère qui dénonce les défauts des hommes en tournant un personnage en ridicule ; le comique de mots (phrase qui ne veulent rien dire, répétitions, réparties spirituelles et amusantes) ; le comique de gestes (poursuites, coups de bâtons, etc.)

en avant Phèdre et montrer qu'elle est vraiment le personnage principal. La pièce fut dénommée Phèdre qu'à partir de l'édition de Jean Ribou, en 1687. Phèdre, fut la dernière tragédie profane écrite par Racine, néanmoins ce n'était pas la première fois qu'il choisissait un sujet déjà traité par des poètes tragiques romains et grecs. Ce fut aussi une pièce très appréciée du public grâce à sa construction tragique, à la profondeur de ses personnages et la richesse du texte, en particulier de la versification

culpabilité d’Hippolyte, mais l’on apprend la nouvelle de sa mort. Phèdre, après avoir chassé Oenone, en la tenant pour coupable de tout ce qui arrive, révèle la vérité à Thésée. Lecture orientée : orale. Motif et thème : Cette scène regroupe 5 personnages, mais que deux prennent réellement la parole, c’est à dire Phèdre ainsi que Thésée. Thésée est le premier à parler, il se sent coupable de la mort de son fils, mais peu de temps après Phèdre avoue enfin d’être la coupable. Juste avant d’avouer

savoureuses marquées par la fantaisie comme Le Bal des voleurs (1938) alors que les secondes montrent dans la gravité l'affrontement des « héros » entourés de gens ordinaires en prenant souvent appui sur des mythes comme Eurydice (1941), Antigone (1944) ou Médée (1946). Après la guerre apparaissent les « Pièces brillantes » qui jouent sur la mise en abyme du théâtre au théâtre (La Répétition ou l'Amour puni, 1947 - Colombe, 1951), puis les « Pièces grinçantes », comédies satiriques comme Pauvre Bitos ou le

qui ont poussé les héros à agir et donc de ne pas les reproduire eux-mêmes. Par ailleurs, les théoriciens classiques ont repris à Aristote la notion de catharsis qui signifie approximativement purgation des passions. L'idée est qu’en voyant des personnages animés de passions violentes, les spectateurs accompliront en quelque sorte leurs propres passions et s'en libéreront. Dionysos_mosaic_from_Pella.jpgLa tragédie grecque serait née des "dithyrambes", hymnes à la gloire de Dionysos, dans lesquels