Mécanismes De Démocratie Semi Directe Existent En Europe

pouvoir, droit. "ubi societas ibi dius": là où est la société, il y a le droit. On peut dire la même chose du pouvoir: là où il y a société, il y a pouvoir. Il s'agit d'un constat historique:  - ex: la Chine. Il exisait il y a des millénaires des mécanismes de pouvoir; règne de l'empereur. Système de gouvernant et de gouvernés. - ex: la Mésopotamie. 18 siècles avant Jésus-Christ, il y avait un roi: Hammur Abi. (père de la 1ère forme de codification, de rassemblement de règles existantes.)  - ex: l'Egypte

« l’Etat c’est dieu sur terre ». Il n’existe aucune forme juridique qui est réussit à dépasser l’Etat. Néanmoins il existe des organisations internationales tels que : l’ONU , UE qui joue un rôle de plus en plus important mais il demeure qu’elles existent pas le bon vouloir des états. L’Etat est une réalité incontournable. Il parait difficile d’adopter la thèse marxiste du processus de dépérissement de l’Etat. Section 1 : L’Etat souverain Etat : réalité sociologique ? L’Etat est en premier lieu

absolument puissant. De même dans les régimes autoritaire en général, l'Etat est tout puissant et doit être tout puissant pour servir la toute puissance du chef, Mussolini disait: "Tout dans l'Etat, rien en dehors de l'Etat, rien contre l'Etat". Dans une démocratie, l'Etat n'a pas la puissance absolue: il est plutôt modéré. Ainsi la Constitution s'est développé sous la Grèce Antique, puis au 18ème siècle. Le constitutionnalisme était un mouvement d'idée dont l'objectif était d'aboutir à une Constitution

par les citoyens). Le département est à la fois une circonscription de l’administration de l’Etat qui nomme dans chaque département un préfet, et une collectivité territoriale douée d’une certaine autonomie. Les communes et les départements existent en France en tant que collectivités décentralisées depuis la fin du XIXème siècle (ex : loi municipale de 1884) ; mais dans l’ensemble, la décentralisation a été approfondie au cours des dernières décennies : en effet, le système de décentralisation

gouvernants à la loi. (Ex : énoncé des limites dans les constitutions écrites +mécanismes institutionnels). Notamment : la création d’un organe constitutionnel indépendant, pouvant être saisi. B1 : objet de la limitation du pouvoir : préservation des droits et libertés. -Benjamin Constant, auteur français libéral, 1819 : La liberté des anciens était une liberté collective ou de la collectivité, caractérisée par la participation directe des citoyens à l’exercice du pouvoir= conséquence : soumission de l’individu

de la politique de son pays : l’Italie, il détail la fabrique du pouvoir, comment un prince fait pour gouverner son peuple. Il montre en particulier l’importance du mensonge, du cynisme, de la ruse, de la violence, de la peur.) il décortique les mécanismes du pouvoir. Il va rompre avec un certain moralisme. Montesquieu ( l’esprit des lois) Il est très moderne, tres aristo, il va révolutionner la conceptualité politique, il veut diviser le pouvoir pour ne pas qu’un seul d’entre eux domine l’autre

très loin dans le processus de décentralisation en confiant à des régions une large autonomie et un pouvoir législatif. Or, dans un Etat unitaire, les collectivités territoriales ne disposent pas d’un pouvoir législatif. Ces Etats comprennent des mécanismes juridiques qui relèvent de la logique fédérale mais aussi des modalités d’organisation de l’Etat unitaire. Par exemple, comme dans un Etat fédéral, les régions partagent le pouvoir législatif avec l’Etat central en fonction de la répartition des

«Constitution» = Une Règle Fondamentale : -Fixe les Règles de la Nation, 
 -Fixe les Limites par rapport gestion des affaires publiques, 
 -Répartition des Pouvoirs entre les différents organes constitutionnels
 - La Constitution met en place le « Mécanisme Relationnel » entre les institutions politiques ____________________________________________________________ _ Sous la Monarchie , les Institutions politiques existaient mais elles ne pouvaient agir que dans un Cadre Juridique (C'est-à-dire

à différentes composantes de ce dernier. L'objet de cette séparation est d'avoir des institutions étatiques qui respectent au mieux les libertés fondamentales des individus. La séparation des pouvoirs est ainsi devenue un élément essentiel des démocraties représentatives. La séparation des pouvoirs a été, pour l'essentiel, théorisée par Locke et Montesquieu ; on retient en France le plus souvent la classification de Montesquieu définie dans L'Esprit des Lois : le pouvoir législatif, confié

les libertés des individus . La séparation des pouvoirs est donc devenue aujourd'hui un élément fondamental des régimes démocratiques, quoique les deux notions ne se recoupent pas entièrement (il n'y a pas de séparation des pouvoirs dans une démocratie directe). À ce propos, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen affirme dans son article 16 : "Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution."[1]