Mythes Antiques

Maciek kevin jérémi Le théâtre antique Introduction Le mot « théâtre » vient du grec « theatron » qui signifie « le lieu où l'on regarde ». Le théâtre est avant tout un lieu de spectacle. Ils existent deux grands genres théâtrales : - La tragédie. Les héros des tragédies sont souvent des rois, des princes ou des personnages issus des légendes et des épopées. La tragédie est un drame. Les personnages sont une imitation des passions humaines. - La comédie représente surtout les conflits familiaux

pensée occidentale. L'Antiquité Dans la Grèce antique, la question du Beau est une question centrale, mais elle n'est pas rapportée nécessairement à la question de l'art. Dans l'Antiquité, l'art peut être considéré comme une discipline comparable à l'artisanat, à l'art de la justice, au dressage des chevaux, à la danse, au théâtre, à la musique, à la médecine. L'art chez les philosophes antiques Platon (427-347 avant Jésus-Christ) exalte l'idée du Beau, mais selon

l’entendaient les Grecs, c’est-à-dire un personnage divinisé ou mythique. Dans le langage homérique, le héros est fils d’un dieu ou d’une déesse et d’un homme ou d’une femme. Mais à la différence de son géniteur, il n’est pas immortel. Dans la Grèce antique, le héros est l’homme extraordinaire honoré par tous parce qu’il est le bâtisseur d’une nouvelle cité. C’est dans cette optique que nous allons essayer d’analyser le héros qu’est Monte-Cristo. Il se distingue d’autres « héros » du XIXe siècle par

l’académie platonicienne. Très vite, la philosophie devient une école. Au Moyen-âge, sur le continent, la philosophie devient la Scolastique. 1) La vie philosophique et son origine a] Les Présocratiques Ceux sont des penseurs qui dans la Grèce Antique, ont participé aux origines de la philo du VIIème siècle av. J-C au IVème siècle av. J-C. Exemple de présocratique : Sophiste ; Pythagoriciens… Socrate (470-399) Les Présocratiques étudiés la nature à travers l’astronomie, la biologie et la physique

prémunit-elle de la barbarie ? Dans la Genèse, Dieu ordonne à l’homme de dominer la terre. Ce mythe semble aussi symboliser le sentiment qu’a toujours eu l’homme c'est-à-dire d’être différent des autres animaux de matière et de glaise. Entre ces deux mythes s’expriment peut-être un inconscient collectif. L’âme grecque est moins portée par la culpabilité et elle apprécie plutôt (l’ingénierie ?) humaine. L’âme hébraïque est peut-être plus encrée elle dans les questions morales de la faute. Quoi qu’il

19606.  Cicero, pro Archia poeta, 13, 14, 15 et 20.  GOELZER, H., Dictionnaire latin-français. Contenant tous les mots usuels de langue des origines à l’époque carolingienne. Ed. Garnier frères, Paris, 1928  HACQUARD, G., Guide romain antique, Hachette, Paris, 1952,224p.  WALTZ, A., Choix des lettres, texte latin, Hachette, Paris , 1918, 88p.  BRUN, J., Le stoïcisme- « Que sais-je ? » , PUF, Paris, 1958, 126p.  BRUN, J., L’épicurisme- « Que sais-je ? » , PUF, Paris, 1958, 124p

et bien d'autres apparaissent sous des portraits transparents, et mieux encore aux yeux des contemporains qu'aux nôtres. I) Nous pouvons aussi nous demander pourquoi Du Bellay fait cette satire de Rome : Il ne reste pas grand-chose de la Rome antique : on ne retrouve guère que le Colisée, les Thermes de Dioclétien (près desquelles le cardinal Du Bellay installera une superbe villa et ses jardins), et le Panthéon ("la Rotonde") ; tout le reste est enseveli sous la broussaille ou des mètres de terre

beaucoup plus tard. Les civilisations Égyptienne quant à elles considérait le noir comme un symbole de renaissance, et de fertilité (couleur de la terre riche). Cette couleur était fondamentalement bénéfique et recouvrait les divinités liées aux mythes de la fertilité et de la régénération. Les civilisations de l’Antiquité ont acquis au fil du temps des techniques de mélange des pigments de couleurs, et étaient capable de créer des nuances et dégradés. Ainsi d’autres couleurs sont nées, bien que

africaine qui a colonisé la vallée du nil s’appelle ANOU. Elle a descendu graduellement le Nil et a fondé entre autre les villes d’Esneh, d’Erment, de Qouch et surtout d’Héliopolis. Il est aisé d’admettre que l’occident par l’intermédiaire de la Grèce antique est tributaire de l’Égypte ancienne. Pour les tenants de la théorie chamitique, y compris Gobineau, la bible aurait complètement ignoré les « Noirs proprement dits », et n’aurait parlé que de Blancs, notamment dans leurs variantes chamitiques.

faut garder à l'esprit que la société grecque antique ne connaît aucune séparation entre un domaine propre à la religion et le reste de la société : au contraire, la religion est présente de manière diffuse dans tous les aspects de la vie sociale et politique[2]. L'absence de dogme ou de canon religieux n'est bien sûr pas synonyme d'absence de croyance. En Grèce antique, la piété (eusebeia), l'une des principales notions de la religion grecque antique, suppose de révérer les mêmes divinités que l'ensemble