Moyenne arithmétique

représentées dans les variables (numériques, caractères…). Ce type implique des limitations concernant les valeurs qui peuvent être représentées. Il limite aussi les opérations réalisables avec les variables correspondantes. Ainsi, les opérations arithmétiques (addition, soustraction, multiplication, division) possibles des variables numériques, n’ont aucun sens pour des variables de type caractères. Par contre les comparaisons seront possibles pour les deux types. 2.2. Déclaration des variables La première

.......... 10 1.6 Fonctions usuelles ..................................................................................... 15 1.7 Nombres réels ............................................................................................ 16 1.8 Arithmétique................................................................................................ 18 1.9 Dénombrement........................................................................................... 19 1.10 Transformation d'expressions

est défini par : son nom (ou intitulé) son type numérique : composé de chiffres– il pourra subir des opérations arithmétiques ex : un montant alphanumérique : composé de lettres, de chiffres, de sigles – il ne subira que des opérations logiques (est égal à, est supérieur à, est inférieur à, est compris entre) ex : Nom, code postal (car on ne peut pas lui applique d’opération arithmétiques) On peut attribuer aux champs alphanumériques des spécificités date ou logique. sa taille : réel ou entier pour

démonstrations mathématiques brutes. Il s’agit pour lui d’associer les mathématiques appliquées aux sciences sociales. Pour l’auteur, les tableaux statistiques permettent d’obtenir des informations indispensables grâce aux quatre opérations arithmétiques de base mais aussi de percevoir les tableaux statistiques comme un exercice littéraire et un comme un exercice de rédaction. 1.Tout d’abord, Jean-Paul Grémy commence par montrer l’importance de la distribution à une seule variable, appelée également

Notations usuelles vii 1 2 3 Concepts algébriques fondamentaux 1.1 Logique élémentaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 Structures algébriques fondamentales . . . . . . . 1.3 Le groupe symétrique . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Arithmétique, combinatoire et dénombrement 1.5 Polynômes et fractions rationnelles . . . . . . . . 1.6 Topologie élémentaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

connaissances, techniques , automatismes et outils suffisants pour traiter les données.   4. Accepter toutes les bonnes stratégies et procédures «L’élève prend conscience de la puissance de ses connaissances. Il existe toujours plusieurs moyens d’élaborer une réponse.» «Ne reconnaissant pas immédiatement quelle solution experte peut être utilisée, certains élèves n’envisagent pas ou n’osent pas se lancer dans l’élaboration d’une solution personnelle.» Stratégies possibles • Essais/ajustements

⊂ K est de dimension finie, alors L est fermé. dθ 4. L’espace L2 (0, 2π; 2π ) est un espace de Hilbert, séparable (théorème de RieszFischer). 5. Si f est dans L2 et Sj = |k|≤j f (k) exp(kiθ) sa j e somme partielle de Fourier, et gN la moyenne arithmétique des N + 1 premiers Sj alors gN est la convolution de f avec le noyau de Fejér KN (θ) = 2 N +1 θ 2 1 sin N +1 sin2 1 θ . 2 dθ 6. En utilisant la positivité du noyau de Fejér et 0 KN (θ) 2π = 1 on montre aisément que gN tend vers f au sens

Cours de Mathématiques PE 1 Cours Maths - http://www.mathonautes.fr page 1 PE 1 Cours Maths - http://www.mathonautes.fr page 2 Table des matières I Arithmétique 9 1 5ème - Enchaînements d’opérations 11 1.1 Vocabulaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 1.2 Enchaînements d’opérations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 2 5ème - Nombres relatifs 2.1 Se repérer

Chapitre 7 : Statistiques (2 semaines) • • • • Vocabulaire Représentations Moyenne, médiane, étendue, quartiles Utilisation de la calculatrice STATISTIQUES 1 Vocabulaire 1.1 A partir d'un exemple Aux 32 élèves de la classe de 2D4 qui ont regardé (en entier ou en partie) le dernier film de James Cameron, AVATAR, passé à la télévision, on a posé deux questions : 1ère question : Quelle note, sur 20, proposeriez-vous pour ce film ? 2ème question : Combien de temps avez-vous passé

Montrer que si deg P = degQ alors deg(P + Q) = max(deg P, degQ). Donner un contreexemple dans le cas où deg P = degQ. 5. Montrer que si P(X ) = X n + a n−1 X n−1 +· · · alors le coefficient devant X n−1 de P(X − a nn−1 ) est nul. 4 2. Arithmétique des polynômes Il existe de grandes similarités entre l’arithmétique dans Z et l’arithmétique dans K[X ]. Cela nous permet d’aller assez vite et d’omettre certaines preuves. 2.1. Division euclidienne Définition 3 Soient A, B ∈ K[X ], on dit