Moi Et Toi Jusqu Aux Mortels

Présentation PowerPointPrésentations1.1 Présentation de l’autrice1.1.1 Une dame de Cour1.1.2 Une Précieuse1.1.3 Une femme de lettres1.2 Présentation du roman1.2.1 Un roman nouveau1.2.2 Un nouveau romanesque1.2.3 L’ « affaire » de La Princesse de Clèves1.3. Présentation du parcours1.3.1 Individu1.3.2 Morale1.3.3 Société1.1 Présentation de l’autrice (Voir les repères chronologiques p.12)Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de Lafayette (1634-1693) 1.1.1 Une dame de courFamille de petite noblesse

L'ABSURDE DANS L'ETRANGER : le sentiment de l'absurde : cf. le tableau qui vous a été distribué en classe. LA NOTION D'"ABSURDE" DANS LE MYTHE DE SISYPHE (1942) : Préface : 1) le livre veut parler "d'une sensibilité absurde". 2) L'absurde était jusque là "pris comme une conclusion", considéré dans cet essai comme "un point de départ" L'Absurde et le suicide selon Camus : 1) seul pb philo vraiment sérieux = le suicide 2) suicide = une forme de reconnaissance de l'absurde 3) la question que pose

abandonné à lui-même l’homme qui s’est soustrait à lui, et celui-ci passe son temps à rechercher à l’extérieur des objets capables d’occuper suffisamment son esprit pour ne jamais avoir le loisir de penser au « malheur naturel de (sa) condition faible et mortelle »3. À la diversion originelle du pécheur répond ainsi la nécessité d’une autre diversion – à reprendre inlassablement : pour échapper à la vision affligeante de son propre « néant »4, l’homme qui s’est séparé de son créateur ne doit laisser aucun

a été écrit sous le titre de Le Soleil, la Lune et Talia. Ce récit décrit les aventures d’un Roi et une Reine qui a la naissance de leur fille Talia apprirent par des mages que celle-ci se piquerait avec un picot. Ce denier pouvait être un danger mortel pour la jeune fille. Le Roi bannît du château tous les picots. A ses 15ans, Talia, qui se promenait dans le château, surprit une vieille dame avec un fuseau. Intriguée, elle toucha alors le picot et elle mourra. On installa alors Talia sur un fauteuil

Moi, je veux me fâcher, et ne veux point entendre. PHILINTE Dans vos brusques chagrins, je ne puis vous comprendre ; Et quoique amis, enfin, je suis tous des premiers... ALCESTE Moi, votre ami ? Rayez cela de vos papiers. J’ai fait jusques ici, profession de l’être ; 10 Mais après ce qu’en vous, je viens de voir paraître, Je vous déclare net, que je ne le suis plus, Et ne veux nulle place en des cœurs corrompus. PHILINTE Je suis, donc, bien coupable, Alceste, à votre compte

des enfants qu’ils ont perdu tragiquement) * « Viens ici, que je puisse verser mes esprits/ Dans ton oreille. » (Lady Macbeth métaphore de la parole et de la persuasion) * « Faites moi sans mon sexe » « Esprits qui veillent aux pensées mortelles » (Lady Macbeth, puissance féminine veut être comme un homme) * « Va-t-en damnée tache ! » (Hantée) * « Pourquoi ces mains ne sont-elles jamais propres ? » (Lady Macbeth possédée ? vengeance du mal qu’elle a commis) JEAN GIONO, Les

et le mal. Il ne parvient pas à élever son âme vers le spirituel, la Beauté donc à créer « L’Irrémédiable » « Le Guignon ». Ne parvient pas à concilier Beau et Bien. Pour conclure on peut dire que Baudelaire ne supporte pas sa condition d’homme mortel et soumis aux exigences du corps. Il voudrait être un pur esprit. Les Fleurs du mal et « Spleen et idéal » en particulier reflètent les tentatives du poète pour échapper aux épuisantes contradictions de la nature humaine divisée entre ses aspirations

 divine De mes amours décomposés ! XVII LA BEAUTÉ Dans ce poème, Baudelaire décrit sa lutte contre  le  spleen  vers  l’idéal  à-travers la beauté. La référence à la blancheur des cygnes rappelle la beauté et la pureté. Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre, Et  mon  sein,  où  chacun  s’est  meurtri  tour  à  tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Éternel et muet ainsi que la matière. Je  trône  dans  l’azur  comme  un  sphinx  incompris ; J’unis  un  cœur  de

deux jeunes filles, ou d’un fils. Cultivé dans certains canevas, il se fait toujours exploité ou trompé par quelqu’un. Son « diable de valet », Arlequin se joue souvent de lui. Pantalon se fait certes facilement dupé, mais il est aussi très rancunier jusque dans son testament : « Je lègue à mon valet vingt-cinq bons coups de fouet bien sanglés, pour avoir fait un trou au fond de mon vase de nuit et m’avoir tout fait répandre dans mon lit. » N’ayant jamais été mort, il n’est pas possible de savoir si

repos ? La cause essentielle de cette incapacité à demeurer en repos est due à l’incapacité de l’homme à être seul avec soi-même, à penser à soi-même, étant donné sa situation, qui, « consiste dans le malheur naturel de [sa] condition faible et mortelle ». Penser donc à soi, c’est penser à la misère de soi ; ce qui fait fuir l’homme de lui-même, de cette pensée, est « que rien ne peut [le] consoler lorsqu[‘il y pense] de près ». Ainsi donc, seul ce qui lui permet de s’évader de lui-même, lui procure