Micro Et Macro Environnement De Nestlé

de l’Union Européenne ni celle des membres du Comité de Pilotage. 4 Table des matières 1 INTODUCTION GENERALE 2- APPROCHE METHODOLOGIQUE 2-1 2-2 2-3 2-4 Eléments de cadrage de l’étude Schéma de déroulement de l’étude Estimation des données macro économiques (production, consommation) Evaluation et comparaison du prix de revient des produits (niveaux national et international) 2-5 - Analyse de l’environnement institutionnel 2-6 - Comparaison Maroc –autres pays 13 13 13 14 14 14 14 14 15

à payer. 3. Place (distribution) Canaux = réseaux de distribution, distribution physique, localisation commerciale 4. Promotion Communication et publicité 5. Service à la clientèle Modèle de Porter Démarche marketing Analyse du macro-environnement : variables incontrôlables Sociodémographique : Variations démographiques  Variations de la demande Répartition de la population sur le territoire détermine les ventes et rend la localisation stratégique Types de demande : groupes d’âge

des tarifs élevés. Souvent, plusieurs objectifs sont simultanément poursuivis. Une politique de prix peut en fait servir jusqu’à 4 objectifs : *La survie : Lorsque l’entreprise est en position de surcapacité dans un environnement concurrentiel défavorable, survivre devient son objectif majeur. Pour maintenir ses employés en activité et diminuer ses stocks, elle aura tendance à baisser les prix, en espérant que le marché réagira. C’est la stratégie suivie aujourd’hui par

entreprises produisant des biens de grande consommation (détergents, alimentation, cosmétiques) que la conception moderne du marketing est apparue et s’est imposée. Aujourd’hui encore, ce sont les entreprises de ce secteur, comme Procter et Gamble, Nestlé, Danone, L’Oréal…qui sont les plus avancées dans ce domaine. Puis le marketing s’est progressivement étendu au secteur des biens semi-durables (automobile, électroménager, meubles) et à celui des services destinés au grand public : banque, voyages

171 172 173 174 176 179 TROISIÈME PARTIE L’ÉLABORATION DE LA STRATÉGIE MARKETING 6 187 L’ANALYSE DES BESOINS PAR LA SEGMENTATION 189 1 La macro-segmentation 190 1.1 La conceptualisation du marché de référence 1.2 Les structures du marché de référence 1.3 L’utilité d’une analyse de macro-segmentation 2 La micro-segmentation 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 La segmentation et la différenciation Les étapes de la démarche : segmentation-ciblage-positionnement La

prévision de la demande TROISIÈME PARTIE L’ÉLABORATION DE LA STRATÉGIE MARKETING 6 L’ANALYSE DES BESOINS PAR LA SEGMENTATION 1 La macro-segmentation 1.1 La conceptualisation du marché de référence 1.2 Les structures du marché de référence 1.3 L’utilité d’une analyse de macro-segmentation 187 189 190 191 192 194 198 199 200 201 204 206 208 210 210 211 212 2 La micro-segmentation 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 La segmentation et la différenciation Les étapes de la démarche : segmentation-ciblage-positionnement

fonctionnement, on trouve plusieurs étapes de développement des technologies d'information et de communication, les années 70 ont connu l'apparition des logiciels de paie, les années 80 ont vu le développement d'un grand nombre de solutions locales sur mini et micro-informatique Ce n'est qu'au début des années 90 qu'ont a connu la naissance des premiers SIRH (système d'information ressources humaines) qui ont pour objectif d'introduire un certain nombre de pratique et d'information qui étaient postérieurement

l'industrie (1980) Industrie = environnement Certaines entreprises sont plus profitables que d'autres.  Le modèle des 5 forces de la concurrence:  Analyse des ressources et compétences (1990) Pourquoi dans un même secteur, certaines entreprises marchent mieux?  Modèle de Porter: analyse de la chaîne de valeurs.  L'analyse de la chaîne de valeurs construite  Stratégie déduite ou stratégie construite? Déduite: Orientée vers forces externes/environnement. Modèle éco-industriel

à freiner la progression du marché comme par exemple l’image de cherté attachée à certains produits (plats préparés frais en particulier), la tendance à un retour vers la cuisine « maison » ou la montée des préoccupations nutritionnelles. Cet environnement difficile se traduit par un renforcement des pressions concurrentielles dans le secteur, une évolution perceptible dans la détérioration des performances économiques et la baisse des chiffres d’affaires en général des fabricants de plats cuisinés

accélération et in fine de l’anticiper. Plus de vingt après les premières lois de décentralisation, les acteurs décentralisés se trouvent toujours, et plus que jamais, en situation d’asymétrie et de déficit informationnel sur la réalité de leur environnement économique local. Ce constat est d’autant plus préoccupant qu’une certaine unanimité se dégage sur la faible compétitivité de la France et certaines de ses régions. Cette mobilité nouvelle, dont on ignore encore les limites, a pour effet