Méritocratie

ils sont les même. TOP LEADER Distance 1 Distance2 Distance 3 Distance 1> (Distance 2, Distance 3)  Ce qui donne cette légitimité au patron c’est le pouvoir, ce qui fait que le pouvoir soit accepté c’est : - La compétence (savoir, méritocratie) Normes fondamentales de - La propriétaire de l’entreprise légitimité.  Il y a une identité entre propriété de Top management. (Top leader = Propriété et les subordonnés = famille)  on se trouve vis-à-vis d’un management familial surtout.

des classes dominées étaient prédestinés à la non-réussite), à une prétention de faisabilité universelle, c'est-à-dire qu’aujourd’hui, en théorie, on considère que le système éducatif permet à chaque individu de réussir selon les principes de la méritocratie, quelque soit son origine sociale. Cependant, on verra dans notre deuxième partie que ce modèle méritocratique, prônant l’égalité des chances, reste contesté, en effet les sociologues sont persuadés de la prépondérance du capital social, économique

françaises se sont toujours assignées une mission. "Du boutiquier du faubourg Saint Antoine à l'instituteur de la IIIe République, elles sont là pour changer le cour de l'histoire". Vecteur du discours républicain, elles ont incarné au mieux la méritocratie, le progrès, la modernisation de la nation dans son ensemble. Au coeur du mouvement de mai 1968, elles ont porté les mouvements destinés à changer la société, et se sont appuyées sur une représentation libératoire de l'individu. Aujourd'hui, elles

misées au service de la reproduction sociale au profit des classes dominantes. Pour assurer cette domination Bourdieu montre qu’on peut utiliser 3 formes de capitales ce qui le rapproche de Weber. Dans un système démocratique, on met en avant la méritocratie et l’égalité des chances donc des valeurs qui assurent la fluidité sociale. Les sociétés démocratiques sont donc des sociétés mobiles.La reproduction sociale est une entorse aux valeurs démocratiques donc elle n’est acceptable que si elle est perçue

considère que les individus sont fondamentalement égaux et que seul le mérite peut justifier les différences de revenu, de prestige, de pouvoir… qu’entraînent les différences de performances scolaires. On peut alors se demander si le principe de méritocratie n’est pas en contradiction avec celui de l’égalité des chances, puisqu’il est obligatoirement générateur d’inégalités. Bibliographie : Revues - Problèmes économiques, n°2964,2009 - Alternatives économiques, n°275, 2008

ce qui fonctionne plutôt bien, mais souligne aussi la différence entre les deux systèmes : (Tableau 1 p. 103) Complémentaire à ce que j’ai expliqué toute à l’heure à propos des traits aristocratiques du système allemand en comparaison avec la méritocratie française, ce tableau montre les origines sociales des professeurs berlinois et parisiens. Ce qui frappe est le pourcentage élevé des fractions possédantes (14, 30% en sciences à Berlin) et des hautes fonctionnaires (11,40 % en lettres) sur le

du travail est de plus en plus difficile pour les nouveaux arrivants. L’ascenseur social, en France, est en panne pour tout le monde. Mais, pour les enfants d’immigrés, il y a comme une double peine. Aussi les familles qui ont joué le jeu de la méritocratie républicaine, consenti de lourds sacrifices pour offrir de longues études à leurs enfants, se sentent-elles flouées de les voir errer de stage en stage. Dans une brochure co écrite en 2004 avec Laurence MEHAIGNERIE pour l’Institut Montaigne

française, c'est le mérite. L'éducation nationale n'y échappe pas, en plus des bourses à caractère social, la société française accorde, sans que personne n'y trouve à redire, des bourses "au mérite". C'est l'école qui est l'emblème même de la méritocratie, le lieu qui la personnifie. Le diplôme gagné à force de travail est l'horizon de l'écolier et finalement la base de l'organisation sociale. En statistique, en 1994, il y avait 49,02 % des fils cadres et professions intellectuelles supérieures

CM définies négativement >< bourgeoisie, ouvriers ;salariés du secteur tertiaire, travailleurs indépendants, professions libérales, fonctionnaires, patrons, employés. Selon Berstein : 49% de la pop active CM : républicaines, attachées à la méritocratie 3. le PR au pvoir (1901-1914) a. organisation comités d'arrondissements (= sous-préfectures) qui imposent leurs candidats aux élections ; regroupement ds des fédérations départementales qui envoient des délégués au comité du parti congrès

 de  débats  quant  à  son  efficacité  et  aux  risques  de   désincitation  et  d'effets  pervers.  »     Notions   obligatoires  :   Égalité,   équité,   discrimination,   méritocratie,   assurance/assistance,   services   collectifs,   fiscalité,  prestations  et  cotisations  sociales,  redistribution,  protection  sociale.     Acquis  de  première  :  État-­‐providence