Memoire Sur L Onomastique

priv´es. Université Stendhal (Grenoble 3) UFR de Lettres et Arts Département de Lettres Modernes La faillite des indépendances africaines dans Les Soleils des Indépendances d’Ahmadou Kourouma et Les Écailles du ciel de Tierno Monénembo Mémoire de recherche pour 30 crédits du Master 2 Lettres et Arts, spécialité « Écritures et représentation XIX°- XX° siècles ». Présenté par : Adeline BOUVIER Directeur de recherches: M. Claude COSTE Professeur Année universitaire 2013 Université

méthode qu’il recoit consiste essentiellement & apprendre par cceur des grands passages des ouvrages proposés et le commentaire qu’on en fait. Ainsi, cette longue éducation est basée sur un enseignement entigrement livresque et fait appel A la mémoire mécanique. - Cette éducation sophiste a des conséquences sur Gargantua, qui ne devient finalement qu’un corps sans esprit, comme le montre les accumulations décrivant les fonctions naturelles (« Il fientait, pissait, se raclait la gorge »). Il devient

Gaulle s'écrit toujours, par convention et par habitude, avec un « d » minuscule comme tous les noms à particule, nobiliaire ou non2,3. Suivant cet usage, et conformément aux conventions de la langue française relatives à l’usage de la particule onomastique, le mot « Gaulle » étant monosyllabique, la particule « de » se conserve même quand le nom n’est pas précédé du prénom ou d’un titre de civilité4. Maison natale de Charles de Gaulle à Lille. D’après les travaux des généalogistes, en particulier

Gaulle s'écrit toujours, par convention et par habitude, avec un « d » minuscule comme tous les noms à particule, nobiliaire ou non3,4. Suivant cet usage, et conformément aux conventions de la langue française relatives à l'usage de la particule onomastique, le mot « Gaulle » étant monosyllabique, la particule « de » se conserve même quand le nom n'est pas précédé du prénom ou d'un titre de civilité5. D'après les travaux des généalogistes, en particulier ceux du grand-père du général de Gaulle, les

Gaulle s'écrit toujours, par convention et par habitude, avec un « d » minuscule comme tous les noms à particule, nobiliaire ou non[3],[4]. Suivant cet usage, et conformément aux conventions de la langue française relatives à l'usage de la particule onomastique, le mot « Gaulle » étant monosyllabique, la particule « de » se conserve même quand le nom n'est pas précédé du prénom ou d'un titre de civilité[5]. D'après les travaux des généalogistes, en particulier ceux du grand-père du général de Gaulle

Gaulle s'écrit toujours, par convention et par habitude, avec un « d » minuscule comme tous les noms à particule, nobiliaire ou non2,3. Suivant cet usage, et conformément aux conventions de la langue française relatives à l’usage de la particule onomastique, le mot « Gaulle » étant monosyllabique, la particule « de » se conserve même quand le nom n’est pas précédé du prénom ou d’un titre de civilité4. Maison natale de Charles de Gaulle à Lille. D’après les travaux des généalogistes, en particulier

3) UFR de Lettres et Arts Département de Lettres Modernes dumas-00913169, version 1 - 20 Jan 2014 La faillite des indépendances africaines dans Les Soleils des Indépendances d’Ahmadou Kourouma et Les Écailles du ciel de Tierno Monénembo Mémoire de recherche pour 30 crédits du Master 2 Lettres et Arts, spécialité « Écritures et représentation XIX°- XX° siècles ». Présenté par : Adeline BOUVIER Directeur de recherches: M. Claude COSTE Professeur Année universitaire 2013 dumas-00913169

Histoire du stendhalisme en France (1842-2004), Paris, Champion, 2007. CROUZET, Michel (éd.), avec Loïc Chotard, Michel Crouzet, André Guyaux, Pierre Jourde et Paolo Tortonese, Stendhal, Paris, Presses de l’université de Paris-Sorbonne, coll. « Mémoire de la critique », 1996. DEL LITTO, Victor (éd.), Stendhal sous l’œil de la presse contemporaine (1817-1843), Paris, Champion, 2001. [Dossier de réception du Rouge, p. 567-622]. TALBOT, Émile, La Critique stendhalienne de Balzac à Zola, York, French

Bussy-Rabutin (1618-1693), Gaspard de Tende (1618-1697), Gédéon Tallemant des Réaux (1619-1692, Historiettes, Paul Pellisson (1624-1693), Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon (1675-1755). Ce dernier, né à la fin du XVIIe siècle, a écrit ses « mémoires » au cours de la première moitié du XVIIIe siècle et est classé par certains pour un écrivain classique du XVIIe siècle alors que son style, en réalité très novateur, a inspiré par la suite d'autres grands écrivains (François-René de Chateaubriand

mais non son ton ironique. b. Cadre spatial : un château Cadre temporel : indéfini : « il y avait », similaire à « il était une fois » Caractéristiques du héros : jeune et doux Milieu : noblesse (mais on attendrait plutôt une famille royale) Onomastique (signification des noms des personnages) : Candide n’est pas désigné par un nom mais par son signe distinctif, comme Blanche-Neige, Cendrillon, Barbe-Bleue… Superlatifs : le plus beau des châteaux, la meilleure des baronnes possibles Oralité