Memoire Sur L Onomastique

d’écrire une œuvre qui relaterait une réalité intemporelle et immatérielle, faite de sensations. Dans son œuvre À la recherche du temps perdu, il utilise le concept de mémoire volontaire et de mémoire involontaire pour expliciter cette distinction qu’il fait entre le réel de l’écrivain et le réel de l’homme social. Pour illustrer la mémoire involontaire il lui était nécessaire de trouver un procédé à la fois matériel et immatériel. Et c’est par le nom propre entre autre que Proust va réussir à représenter

Page 1 sur 3 Propositions de Sujets de recherche (mémoire) pour les étudiants en Master 2. Littérature. Promotion 2012-2013 Option : Langues, littératures et cultures d’expression française Enseignant M.DJOUDI Med 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Mme BENZID Aziza 10 11 12 13 14 Mlle BOUZIDI Hassina 15 16 17 Thème, sujet, axe de recherche proposé Observation L’inscription de la culture de l’écrivain dans le Littérature roman maghrébin d’expression française:

d'une aire géographique, d'une religion, d'une langue ou famille de langues. La densité des relations historiques et culturelles entre l'Afrique, du nord et du sud, et le monde occidental et oriental a tissé, du point de vue diachronique, un usage onomastique, dont la conception est sous-entendue, non pas par l'antinomie des domaines qui caractérise le conflit linguistique, mais par une même représentation mentale, comme les pôles d'une même vérité, dont se réclamaient aussi bien les Orientaux que

forme d’un témoignage, de style oral, aux points de contact multiples avec la psychanalyse. A travers une syntaxe simple, l’enfant Molloy cherche à comprendre sa mère et à se comprendre lui-même, en s’appuyant principalement sur des déductions onomastiques. >lecture globale : - une herméneutique par le dire : confère à l’extrait dim spontanée, texte en train de s’écrire - et surtout une herméneutique du dire: confère au texte sa dim métalinguistique, centrale. Première vue d’ensemble >

tout est fait pour les éloigner afin qu’ils ne puissent pas un jour partager avec eux les richesses de l’Empire. Cette minorité et l’Empereur lui-même s’accrochent donc au pouvoir pour se servir aux dépens du peuple. Le prince Du point de vue onomastique Le prince aurait pu s’appeler Vidaho. Mais l’auteur s’est certainement racheté dans sa seconde pièce le gong a bégayé. Le prince s’est révélé pire que son père car, au moins lui se servait des gardes pour éliminer ses adversaires. Mais le prince

F-67084 Strasbourg cedex (France) mechin@umb.u-strasbg.fr Méchin C. 2004. – Les enjeux de la nomination animale dans la société française contemporaine. Anthropozoologica 39 (1) : 133-141. MOTS CLÉS Nomination, animal domestique, enfant, parents, onomastique, identité, humanisation. RÉSUMÉ Dans la société traditionnelle, le nom des animaux domestiques était choisi en fonction de la couleur de l’animal et de son caractère. Dans la société contemporaine, les animaux de compagnie ont de plus en plus souvent

Assahou, Gouton ) qui portent des noms conformes à leurs actes. Les autres personnages du roman ne portent pas le manteau onomastique de leur nom, ou plutôt, bien que portant de beaux noms africains, ils n’agissent pas dans le sens sémantique de leurs noms. Ce qui est plus étonnant est que même le personnage central du livre et sa dulcinée souffre aussi de ce « reflet onomastique ». Est-ce un oubli de la part de l’auteur ? Est-ce un caprice d’écrivain ? Est-ce une touche esthétique particulière ? Seul

.......................................................... Erreur ! Signet non défini. 13. Noyau génératif ...................................................................................................... Erreur ! Signet non défini. 14. Onomastique .......................................................................................................... Erreur ! Signet non défini. 15. Personnage, actant, acteur, agoniste ...................................................................

Annie Ernaux, Les Années - khôlleAnnie Ernaux, Les Années (p.28,29) Selon Emmanuel Bouju, dans les Années, “on” n’est pas un pronom personnel neutre. “C’est un collectif qui assure la continuité entre ces divers arrêts sur la mémoire”. En effet Ernaux se sert du “on” à la fois pour évoquer un souvenir collectif”/impersonnel au même titre qu’une expérience toute personnelle/individuelle : le résultat en simultanéité permet de rendre compte à la fois d’un souvenir personnel (douleur de l’opération

Partie théorique I.1. L’onomastique dite berbère Les dominations linguistiques et culturelles ont touchées le patrimoine onomastique, mais il reste toujours l’un des moyens les plus fiables pour la conservation de la langue telle quelle est à une époque très ancienne, et qui sont quasiment disparus dans la langue vivante peuvent s’y maintenir. De ce fait, les matériaux onomastiques sont fréquemment obscurs et résistent à l’analyse linguistique. Cette obscurité est du à une absence de distance qui