Mégare

Période Orientalisante ( 700 – 600 BC) Deux phénomènes importants : la colonisation et les échanges intensifs avec le monde oriental. 1. La colonisation en deux phases a) 1ère phase : 770 – 675 BC Les cités-mères sont : Chalcis – Etrérie – Mégare – Corinthe. Les aires de colonisation sont : la Grande Grèce, la Sicile, la Chalcidique et la Thrace. L’ouverture des fronts vers l’ouest donne une société dynamique et une diffusion de la population vers l’est et l’ouest. Les colonies permettent

garantie des droits individuels, sans aucune puissance sur la moralité et la justice personnelles des citoyens. » § 12. La preuve de ceci est bien facile. Qu'on réunisse par la pensée les localités diverses, et qu'on enferme dans une seule muraille Mégare et Corinthe; certes on n'aura point fait par là de cette vaste enceinte une cité unique, même en supposant que tous ceux qu'elle renferme aient contracté entre eux des mariages, liens qui passent pour les plus essentiels de l'association civile

lève taxe et constitue un trésor de guerre, souvenir de reforme profonde. La tentative de Cylon en -636 essaye de faire a Athènes ce qui c déjà passé dans bcp de ville grec, essayer de prendre le pouvoir en s’appuyant sur le tyran de la ville de Mégare. Le coup d'état rate les partisan de cylon sont en grande parti massacré ou contrainte a l'exile.. §2 Législature de Dracon Fin du -7ès. Il imposé a la foi aux aristocrates qui dirigent a l’époque que au petit peuple qui lui fait confiance

régler la crise sociale. Certains de ces tyrans sont restés légendaires par leur cruauté. Ex : Phalaris (il faisait cuire les condamnés dans un taureau creux) Cylon essaye de prendre le pouvoir en s’appuyant sur le tyran d’une ville voisine (Mégare). Le coup d’Etat rate et les familles soupçonnées de l’avoir soutenu, sont exécutées ou contraintes à l’exil. § 2. La législature du Dracon On ne peut pas trop la dater (624 ou 621). Qu’est-ce qu’un législateur ? Il y en a eu beaucoup dans

Orphée ou Musée, les initiations et les vaticinations; quelques-uns, je m'en rends compte, ont choisi la gymnastique, comme Iccos de Tarente, [e] comme cet autre, qui vit encore, non moins sophiste qu'aucun, Hérodicos de Sélymbrie, anciennement de Mégare; c'est la musique que s'est donnée pour déguisement votre Agathoclès, grand sophiste lui aussi, et Pythoclidès de Céos, sans parler de beaucoup d'autres. C'est, je le répète, par crainte de l'envie, qu'ils ont usé de ces arts comme d'un écran

et de grands silences au murmure du plaisir, à mesure qu'il s'avançait,  se  reculait,  se  rapprochait  encore,  et  qu'il  errait  dans  le  rayon  de  l'œuvre, mû par elle­même, et le jouet de la seule admiration. Il faut,  disait  cet  homme  de  Mégare,  que  mon  temple  meuve  les  hommes  comme les meut l'objet aimé. »  Le  monument  devient  alors  ce  style pur que ne saurait réaliser le  discours  écrit.  Style  pur  et  technique  pure.  On  conçoit  que  la  méditation de Valéry ait été ainsi conduite à l'architecture

exercice de mémoire qui consiste à apprendre par cœur en aliénant son esprit. Ces exercices rhétoriques constituent une sorte de drogue qui « affaiblissent » le malade. Socrate va d’ailleurs se moquer de ces remèdes qui n’en sont pas : « Marcher jusqu’à Mégare et, selon la méthode d’Hérodicus, aller de là jusqu’aux Murs pour ensuite revenir sur tes pas » (60 km) (227d). Phèdre est comme drogué de discours. Lysias est un orateur démocrate et un logographe. Il rédige des discours qui sont prononcés par d’autres

s’enseigne pas. Les poètes aussi se contredisent sur le point de savoir si la vertu s’enseigne ou non. Signalons que Platon est très critique vis à vis des poètes (comme d’ailleurs des artistes en général). Platon cite ici quelques vers de Théognis de Mégare, poète didactique et élégiaque du milieu du VIème s. (la seconde citation n’est, du reste, pas tout à fait exacte). Théognis se contredit. Dans les premiers vers cités, il prétend que l’on peut devenir bon en fréquentant les bons (donc que la vertu

moi, mais, comme il m'arrive souvent, ma vie m'émouvait moins que l'histoire. J'eus des chasses en Arcadie ; je priai à Delphes. À Sparte, au bord de l'Eurotas, des bergers m'enseignèrent un air de flûte très ancien, étrange chant d'oiseau. Près de Mégare, il y eut une noce paysanne qui dura toute la nuit ; mes compagnons et moi, nous osâmes nous mêler aux danses, ce que nous eussent interdit les lourdes mœurs de Rome. Les traces de nos crimes restaient partout visibles : les murs de Corinthe ruinés

pensée politique romaine est différente de la pensée grecque. Mais ce qui caractérise les romains, c'est d'avoir su absorber les idées grecques. §1. Polybe On se situe au 3ème siècle avant JC. Polybe est un grec qui est originaire de Mégare et qui a été pris en otage à l'occasion de la conquête romaine de la Grèce pour garantir le respect de l'ordre romain par les cités grecques. On a fait de lui le précepteur de la Nobilitas. Il est un observateur du réel, il va prétendre qu'à