Médecine esthétique

beauté à sa valeur. Tout d’abord, un personnage de roman peut être beau sur le plan physique. En effet, un personnage peut être doté d’atouts. Il est important de savoir que la beauté n’est simplement que le fait de faire découvrir une émotion esthétique, de faire naître un sentiment de satisfaction, d’admiration. Le romancier donne au personnage une identité, la description qu’il entreprend est un moyen privilégié de caractérisation. Sur le plan physique, le personnage est solidement campé dans

il n’y a pas de culture sans langage, et inversement. L’homme s’exprime dans ce qu’il réalise, il donne un sens à ce qu’il dit, fait et produit. C’est en ce sens qu’il fait son œuvre la plus propre. Art : parure, tatouage : donné par Hegel dans « Esthétique », qui sont bien un signe distinctif de notre humanité, l’homme cherche à s’arracher de l’état naturel ; à se distinguer de l’animal par des marques sur son corps. Le corps est travaillé, il fait l’objet d’une réappropriation symbolique. Il n’est

cette distinction est discutée. La première question qui sera posée sera celle de l’identification de la notion d’art. Un critère est nécessaire pour distinguer ce qui est de l’art de ce qui n’en n’est pas. La différence spécifique pourrait être esthétique ou qualitative : l’art pourrait se définir par le beau. L’art est ce qui produirait de la beauté. Cependant ce critère est-il valable universellement ? Peut-on universellement s’entendre sur ce qui est beau pour s’entendre universellement sur ce

des millions d’années sous diverses formes, le graffiti est un support d’expression et de manifestation grandeur nature! Ayant ponctué sporadiquement l’univers de diverses civilisations, ce n’est cependant qu’au 20e siècle qu’il devient un art esthétique estimé du monde artistique mais aussi des amateurs qui cherchent à se procurer certaines ...  GRAFFITI AMÉRICAIN C’est dans le métro de New York que le graffiti fait son entrée en Amérique dans les années 1970. Ce qui débuta par la simple

d'une imagination qui rendront l'oeuvre originale même si elle s'inspire à la base d'un modèle précis. Par exemple, la photographie peut être considérée comme une imitation de la réalité, mais pas comme une copie. L'artiste y apport une certaine esthétique et des techniques afin de représenter de manière personnelle son modèle. Par ailleurs, notre société repose sur l'imitation et l'influence des célébrités qui sont de réels modèles pour de nombreuses personnes. Les jeunes sont très touchés par

l’œuvre qui finit bien, comme il y a des topoï de l’œuvre qui finit mal, notamment pour l’aventure amoureuse (Roméo et Juliette, Tristan et Iseult). L’œuvre finit « bien » d’un point de vue moral ? D’un point de vue esthétique (une « fin en beauté » comme la transfiguration notamment esthétique de Manon par sa mort) ? Il y a certes des fins positives au niveau de l’intrigue, des personnages. Mais une œuvre qui finit bien n’est-elle pas celle qui finit « bien » pour le lecteur ? De laquelle il retire quelque

autres. Car l’art peut amener à la science : si l’on pense aux dissections qu’il a effectué afin de mieux connaître le corps humain, on remarque que les progrès de l’anatomie son ainsi fait par un artiste et ce n’est en aucun cas le produit d’un médecin. Le Bauhaus et Léonard de Vinci [pic][pic][pic][pic] Le Bauhaus est un courant artistique et une école allemande qui débute en 1919 et qui se termina en 1933 sous l’oppression des nazis arrivés au pouvoir cette même année, déclarant que c’étais

expose en 1924, dans son Manifeste du surréalisme, les principes esthétiques qui fondent le mouvement surréaliste. La définition qu'il donne du mot est précise : « Automatisme psychique pur par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la pensée, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. » Il s'agit de laisser la place au surgissement, à

forme préétablie. Seul genre sans canons et qui soit inachevé, en perpétuel devenir. D'où les débats, manifestes, malentendus qui font son histoire ; als que la théorie s'attache à montrer spécificité du roman comme genre. Doute sur les principes esthétiques objectifs du roman semblent multiplier les interventions d'un autre ordre (politq, moral, religieux). Enjeu du roman parait déplacé, tutelle morale, tyrannie du « devoir être » du roman accentuée par son irrégularité, son immoralité, son désordre

prérogative sur une autre. Le problème qui se pose, et qui rend la réponse à cette question si difficile, est celui du critère. Sur la base de quel critère mesurer la valeur d’une culture ? Le choix d’un critère économique, moral, ou encore esthétique, n’est-il pas un parti pris relatif à la situation culturelle de celui qui juge ? Autrement dit, comment juger objectivement une culture puisque tout jugement est enraciné dans une culture singulière ? Ne juge-t-on pas toujours du point de vue de