Maximes Fondamentales épicure

libre choix par la simple forme législative universelle, dont une maxime doit être capable. Mais cette indépendance est la liberté au sens négatif, cette législation propre de la raison pure et, comme telle, pratique, est la liberté au sens positif. La loi morale n’exprime donc pas autre chose que l’autonomie de la raison pure pratique, c’est-à-dire de la liberté, et cette autonomie est elle-même la condition formelle de toutes les maximes, la seule par laquelle elles puissent s’accorder avec la loi pratique

c’est différent, par peur d’une réaction violente ils ne se manifestent pas. Chaque fois qu’un état proclame son indépendance, il adopte aussitôt le code civil. Ce code civil est le pendant de la déclaration des droits de 1789. Les principes fondamentaux: Souveraineté absolue de la Loi, considérer que l’individu est au cœur du droit, la séparation des autorités religieuses et temporelles, la liberté, l’égalité, la propriété et la sûreté (sécurité des personnes des biens physiques, garanti de

loin de nous dans l’espace, ou, de façon générale, inaccessible dans notre situation actuelle1. Cela correspond plus généralement à tout ce qui s’acquiert notamment dans la culture, l’éducation, l’enseignement, la conversation. Ces situations fondamentales caractéristiques de la condition humaine de l’homme (culture, éducation, enseignement, conversation) ont pour fonction générale précisément de le dispenser d’un contact direct, d’une expérience sensible avec quantités 1. Cf. Leibniz (Nouveaux

soucie de les satisfaire révèle par là même l’étendue de son esclavage. L’homme est libre quand il fait ce que sa raison ordonne, c’est-à-dire quand il agit en parfaite conformité avec le devoir moral : mon action sera bonne, et je serai libre, si sa maxime (l’intention que j’ai eue en agissant) peut être universalisée sans contradiction aucune. Si tout être raisonnable peut vouloir ce que je veux, alors mon action est morale et ma volonté libre ; mais alors l’action morale est par essence déplaisante

prudence afin de ne pas confondre les faits appartenant à des époques très différentes. Or, l’his­toire du texte du Y king est très incertaine, en dépit des affirma­tions de la tradition chinoise. Étant donné l’autorité sans exem­ple dont ce livre fondamental de la philosophie et de la religion chinoises jouit dans son pays, il ne faut pas plus espérer de la part des Chinois une critique impartiale de ce texte, que, de la part d’un juif ou de chrétiens orthodoxes une histoire critique et sans préjugé

sociales et économique 25 SECTION DEUX : La pensée économique des romains 26 1.La tendance interventionniste de l'Etat romain 26 2.Le courant individualiste 27 CHAPITRE 3 : La pensée économique au Moyen Age 29 SECTION PREMIERE : Les théories fondamentales de l'école scolastique, le juste prix et l'usure 29 1.L'usure 29 2.Le juste prix 30 SECTION DEUX : L'organisation économique dans la doctrine de l'Eglise 31 SECTION TROIS : Les pensées dissidentes 32 CHAPITRE 4 : Le mercantilisme 34 SECTION

écriture jusqu’à la rendre lyrique Rq. : La lettre est une autre forme de l’essai. La littérature morale : Au 16è S., se développe une réflexion sur les sciences, le rôle des écrivains et des penseurs et la conquête du bonheur par le savoir. Les maximes : phrases généralement courtes qui énoncent une vérité morale, une règle d’action, de conduite (cf. La Rochefoucault) Les fragments : sont une partie d’un tout à venir Les aphorismes : (étymologiquement signifie « définition ») Ils expriment une vérité

avoir un effet important sur les idées politiques en Grèce mais aussi plus tard, cela implique que la cité est nécessaire mais aussi hiérarchisée : mais si elle est naturelles, elle n'est pas un mensonge et n'est pas un contrat social (pensé par Épicure), donc les Sophistes se trompaient. Concept aristotélicien d’inégalité protectrice. Dans la Skholè (école, loisir créateur), les hommes sont égaux donc incapables, le maître inégal hiérarchiquement les fait croître. N'est jamais un citoyen libre,

prudence afin de ne pas confondre les faits appartenant à des époques très différentes. Or, l’his toire du texte du Y king est très incertaine, en dépit des affirmations de la tradition chinoise. Étant donné l’autorité sans exe mple dont ce livre fondamental de la philosophie et de la religion chinoises jouit dans son pays, il ne faut pas plus espérer de la part des Chinois une critique impartiale de ce texte, que, de la part d’un juif ou de chrétiens orthodoxes une histoire cri tique et sans préjugé

G.W.F. Hegel Emmanuel Kant D'autres textes sur l'Histoire Volney Eric Hobsbawm 202 194 185 186 214 5. Le Droit Le règlement, le surveillant et la police Devez-vous refuser d'obéir à votre surveillant général quand il débite des sottises ? Épicure Etienne de La Boétie Jean Meslier Henri-David Thoreau John Locke Baruch Spinoza Pierre Gassendi Sophocle 155 156 PARTIE 3 Q U E PEUT-ON SAVOIR ? D'autres textes sur la Raison Paul Feyerabend Friedrich Nietzsche 219 276 7. La Conscience