Maupassant Antithèse

précis. Pour vous, un roman doit-il obligatoirement représenter le monde réel ? Pour répondre à cette question, nous étudierons dans une première partie dire que le roman, doit être le reflet du réel. Dans un second temps, nous pourrons faire une antithèse en disant qu’il doit entraîner l’imagination du lecteur, et provoquer le bonheur. Enfin, nous pourrons voir que même si un roman est réaliste, il suscite toujours une part d’imagination. Généralement, la lecture a pour but de se divertir, de s’évader

 Notre corpus est constitué de quatre textes de genre romanesque: les deux premiers datent du XIXè siècle: l'extrait de Une Vie de Guy de Maupassant, paru en 1883, et l'extrait de La Bête humaine de Zola paru en 1890. Dans chacun de ces textes, nous sommes plongés dans un monologue intérieur, un questionnement au dernier moment, des personnages. L'objectif est donc de repérer les techniques narratives adoptés par les romanciers pour nous faire rentrer dans les pensées des personnages. Pour cela

on met Boule de Suif à l’écart. Quand elle arrive et monte dans la diligence, elle salue les autres et en retour n’a droit qu’à du mépris et des regards dégradants et abaissants, comme on le constate avec cette comparaison tirée de la nouvelle de Maupassant :« Tout le monde s’emblait affairé, et l’on se tenait loin d’elle comme si elle eût apporté une infection dans ses jupes.» ( Boule de Suif, 1880, p. 126, l. 1322, 1323) Ici on comprend assez rapidement que les autres passagers l’ignorent et l’écartent

partagé. Ce flou met en valeur, par antithèse, la personnalité du baron qui, lui, est davantage caractérisé (voir question 3) et permet de focaliser l’attention du lecteur sur la bonne humeur du groupe. Les lieux ne sont pas décrits. Tout juste relève-t-on une allusion à la résidence du baron (« la fenêtre de son salon [...] du haut de son grand perron » (l. 4-5) et à la campagne (« caché dans un massif », l. 17). Pour favoriser la concision du récit bref, Maupassant utilise une approche inductive

L’incipit de Bel-Ami Introduction Maupassant est l'auteur de Bel-Ami roman publié en 1885. Cette œuvre retrace le parcours initiatique d'un jeune homme prêt à tout pour faire fortune à Paris. Il réussira à atteindre son but notamment en accumulant les conquêtes féminines, instrument de son ascension sociale. L’incipit d’un roman exerce traditionnellement une double fonction : informer, en présentant le héros dans son décor et son époque, mais aussi séduire en créant chez le lecteur un horizon

époque le courant du Réalisme tente de décrire la réalité telle qu’elle est Guy de Maupassant écrit une nouvelle intitulé La Parure ou il montre comment Mathilde Loisel est punie pour avoir voulu s’élever au-dessus de sa classe sociale. La nouvelle analysé permet de constater que Mathilde Loisel n’est pas satisfaite de sa situation qu’elle vit parce qu’elle aime être raffiné. En premier lieu, Guy de Maupassant dans sa nouvelle La Parure montre comment Mathilde Loisel n’est pas satisfaite

des thèmes importants de Bel-Ami est la mort. Dans ce roman la mort est représentée physiquement et moralement (psychologiquement) La mort est systématiquement opposée à la vie. Le reflet de la mort est plus horrible que la mort en elle-même chez Maupassant, car c’est une vision subjective et pessimiste. Nous pouvons observer cette vision pessimiste de la mort et de la vieillesse ainsi que de la peur liée à ce phénomène à travers les personnages de Nobert de Varenne, Charles Forestier et Georges Duroy

CORRECTION COMMENTAIRE LITTERAIRE « LA GUERRE » MAUPASSANT PLAN 1 Une critique virulente de la guerre a) un événement absurde b) une violence à grande échelle c) des conséquences désastreuses 2 Les responsables identifiés a) une classe politique indifférente b) des militaires criminels c) un nationaliste exacerbé 3 L’espoir d’un progrès a) les bâtisseurs d’un monde plus juste b) une prise de conscience collective c) l’action civique des lecteurs :

Séance 2 La nuit de Maupassant Voca sinistre : macabre, Qui apporte, qui donne la mort; que la mort accompagne. Fardeau : charge pesante à porter Impétueux : vif, avec grande force Invincible : qui ne peut être combattu, réprimé Braconnier : Celui qui se livre au braconnage, qui s'empare furtivement du gibier ou du poisson d'autrui Onduler : faire des vagues becs de gaz : lampadaires de l’époque, marchaient au gaz factice : faux, artificiel phosphorescents : qui brillent dans le noir

Dans la nouvelle «  une Vendetta » de Guy de Maupassant parût en 1885, nous allons nous pencher sur la relation que la mère et la chienne entretiennent qui est d’ailleurs mise en avant dans le texte : Tout d’abord, nous pouvons dégager deux thématiques qui monopolisent le texte et unissent la mère et la chienne : celui de la souffrance, et de la vengeance. Dans un premier temps, nous allons aborder le thème de la souffrance : pour commencer, nous pouvons constater que la chienne est abattus, par