Marx Oppose Ricardo

l'économie politique dans laquelle chaque système politique est daté, inscrit dans une société donnée (précise). Selon Karl Marx, « L'économie politique étudie les formes selon lesquelles les Hommes produisent, consomment, échangent et règlent la répartition au sein des rapports de productions caractéristique d'une société (Capital) » (Rapports qu'ont les Hommes avec l'économie).Marx a mit en évidence la notion de Capital. 8) Les Néo-classiques (Nouveaux économistes classiques) décrivent l'économie

physiocrates. Pour Marx, c'est William Petty. C'est en réalité une fausse question. L'économie comme discipline universitaire séparée n'apparaît pas avant le XIXe siècle. Mais les idées des penseurs grecs, des pères de l'Eglise et des philosophes arabes, parmi d'autres, sur les échanges, les prix et l'argent sont du plus haut intérêt. Celles d'Aristote sont particulièrement saisissantes. L'analyse qu'il fait de la "chrématistique", la poursuite de la richesse pour elle-même qu'il oppose à l'économie naturelle

des externalités (conséquences positives ou négatives d’une action de l’Etat). Le 4ème devoir du souverain est de maintenir et de conserver son devoir grâce à l’éducation et à la légitimité * « Un pays, une spécialisation ». David Ricardo (1772-1823). Ricardo dénonce les lois protectionnistes, c’est un partisan du libre-échange. Il préconise de minimiser les importations à bas prix, afin de protéger les entreprises nationales. La théorie des avantages comparatifs c’est la spécialisation des

pointue. Ricardo est plus jeune il est décalé d’une ou deux générations par rapport à Smith. Fils d’un courtier en immobilier, il devient à 22 ans courtier dans l’entreprise de son père. Il sera élu libéral dans la chambre des communes. Ricardo lit Smith, c pour lui quelque chose d’éclairant. Ces différents économistes classiques l’encouragent à développer sa pensée éco. En 1815, il publie l’essai sur les reprises, en 1817 il publie le principe de l’économie politique et de l’impôt. Ricardo est le

demande comme stimulant de la production ; cette thèse infirme pourtant en partie son principe de population. 3) David Ricardo : La théorie de la valeur : Elle se fonde sur la théorie de la valeur travail qu'il a reprise à Smith en l'approfondissant. Selon cette théorie, la valeur d'échange des marchandises dépend de la qualité de travail nécessaire pour les produire. Ricardo affirme qu'il faut non seulement prendre en considération le travail direct (celui des salariés), mais aussi le travail

1758 avec François QUESNAY et son « Tableau économique », on dit de lui qu’il est un physiocrate car on dit que le courant classique né véritablement avec Adam SMITH et son œuvre « La richesse des nations ». Vint ensuite son disciple David RICARDO puis Robert Thomas MALTUS, enfin J .B SAY. Les classiques s’inscrivent dans un contexte historique et économique de la première révolution industrielle, l’exode rural, augmentation de l’industrie de la production, et des richesses. Ils sont

Courant réformiste Courant socialiste Smith Mill Marx Ricardo Sismondi Fourier Malthus List

intervient en ce qu’elle permet au travail d’appartenir à quelqu’un d’autre que celui qui le possède. Le capitalisme permet à l’entrepreneur de capter la force de travail de l’individu. Smith voit cela comme le moteur de la croissance économique (tandis que Marx y voit une spoliation). Le travail est source de toute richesse, mais si l’homme travaille seul dans son coin, cela ne créera pas beaucoup de richesses. Pour créer des richesses, il faut que la personne cède cette force de travail au sein d’une entreprise

Paris : François Maspero, Éditeur, 1978, 313 pp. Petite collection Maspero, no 210. Karl Marx et Friedrich Engels, Critique de Malthus 2 Table des matières Première partie CRITIQUE DU PRINCIPE DE LA POPULATION DE MALTHUS 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. La mystification de la surpopulation Le malthusianisme : une déclaration de guerre ouverte au prolétariat Conséquences de la loi malthusienne de la population Propositions pour remédier à la déplorable situation ouvrière

les interdépendances dans les phénomènes de marché. On peut considérer d’ailleurs que c’est Adam Smith le premier qui a donné une description générale des interdépendances des marchés et de ses conséquences. C’est l’origine de l’école classique : Ricardo, Malthus, Jean Baptiste Say Certains de ces auteurs sont mercantilistes sauf en ce qui concerne les restrictions aux importations, à la fois libéraux et mercantiliste. Le protectionnisme qui caractérise les mercantilismes purs recule dans la pensée