Marbre De Paros

(1852) L'ART Oui, l'oeuvre sort plus belle D'une forme au travail Rebelle, Vers, marbre, onyx, émail. Point de contraintes fausses ! Mais que pour marcher droit Tu chausses Muse, un cothurne étroit. Fi du rythme commode, Comme un soulier trop grand, Du mode Que tout pied quitte et prend ! Statuaire, repousse L'argile que pétrit Le pouce, Quand flotte ailleurs l'esprit ; Lutte avec le carrare, Avec le paros dur Et rare, Gardiens du contour pur ; Emprunte à Syracuse Son bronze où fermement

sort plus belle D’une forme au travail             Rebelle, Vers, marbre, onyx, émail.   Point de contraintes fausses ! Mais que pour marcher droit             Tu chausses, Muse, un cothurne étroit.   Fi du rythme commode, Comme un soulier trop grand,             Du mode Que tout pied quitte et prend !   Statuaire, repousse L’argile que pétrit             Le pouce, Quand flotte ailleurs l’esprit ;   Lutte avec le carrare, Avec le paros dur             Et rare, Gardiens du contour pur ;   Emprunte à

extrême . La finesse des joints , la parfaite homogénéité des parties conservées de l'élévation disent la virtuosité sans pareille des ouvriers qui réalisèrent en moins de 10 ans ce bâtiment singulier , qui marque l'avènement du marbre du Pentélique au même rang que celui de Paros . Les métopes et la frise ionique du Parthénon: p179  Construit entre 447 et 438 av NOTRE Ere à l’emplacement d’un édifice en cours de réalisation lorsque …… p 177 .phidias : ??? Problématique : I) Description extérieur

distinguait une autre inscription qui expliquait que la cité de Chios aurait reçue la promantie, c'est-à-dire qu'elle serait prioritaire pour ce qui est de la consultation de l'oracle de Delphes. Cet autel était en marbre noir de Chios, sauf le couronnement et la base qui étaient en marbre blanc. B] Les offrandes des cités grecques et les fêtes en faveur d'Apollon Le sanctuaire abritait en effet les offrandes des cités grecques réjouissant le dieu Apollon de tout siècle av. J.-C. La lesché des

l'ordre des choses que les maîtres soient trahis par les disciples. Diogène est enterré en grande pompe à Corinthe, cité où il avait installé le tonneau qui lui servait de maison. Sur sa tombe, on dresse une colonne, surmontée d'un chien en marbre de Paros. Pauvre Diogène, qui se moquait de la richesse, de la gloire et des honneurs ! De Diogène, on ne veut en général retenir que les outrances et les scandales. Selon Platon, c'est un “Socrate devenu fou”. Ce persiflage comporte une part de

qu’imparfaitement dans la mesure où de très nombreuses œuvres ont disparu (pillages, fonte du bronze et même du marbre pour récupérer la matière première). Il ne reste alors que les descriptions littéraires de Grecs ou de Romains qui ont vu les originaux, ainsi que les copies surtout romaines des œuvres les plus appréciées ; copies plus ou moins fidèles, en particulier lorsqu’on passe du bronze au marbre, ce qui entraîne techniquement une simplification ou mutilation. Sources: DEVAMBEZ Pierre – Les arts de

DN1 Culture 21-22 s1.inddCulture des arts, des techniques et du design DNMADE 1 séance 1 07/09 Objectifs du semestre 1: 1: Acquérir une méthode permettant l’analyse de documents. . 2: Comprendre l’importance du contexte artistique, technique, historique, social, politique et géographique dans la nais- sance d’une technique, la création d’une œuvre, d’un bâtiment ou d’un objet. 3: Croiser les informations. 4: Acquérir des connaissances culturelles en art, en technique et en design. Construire ce

Les Panathénées était une grande fête religieuse célébrée à Athènes en l'honneur d'Athéna, patronne de la cité (Mythologie grecque). D'après la légende, elle remontait au roi Erichthonius qui l'aurait créée, au dire de laChronique de Paros, 730 ans avant la première olympiade (Jeux olympiques), pour commémorer la victoire de la déesse sur le géant Aster.Thésée, fondateur de l'unité attique, en aurait fait la grande fête nationale, commune à tout le peuple nouveau. L' Hippoclide, six ans avant l'établissement

soif grandit en lui : en buvant, il est saisi par l'image de la beauté qu'il aperçoit. Il aime un espoir sans corps, prend pour corps une ombre. Il est ébloui par sa propre personne et, visage immobile, reste cloué sur place, telle une statue en marbre de Paros. (…) 425 sans le savoir, il se désire et, en louant, il se loue lui-même ; quand il sollicite, il est sollicité ; il embrase et brûle tout à la fois. (…) 437 Ni le souci de Cérès, ni le besoin de repos ne peuvent le tirer de cet endroit

de Poséidon et d'un bois de pins consacré à ce dieu. C'est pour cela qu'on couronnait le vainqueur avec des branches de pin. Jeux entre les cités grecques antiques. Le sanctuaire panhellénique de Poséidon à Corinthe a été aménagé en -690. Le Marbre de Paros fixe la date de la fondation des jeux isthmiques par Thésée à la 995e année avant l'archontat de Diognétos (204 av. J.-C.), soit 1259 av. J.-C. Plusieurs versions : Ils sont célébrés la première et la troisième année de chaque olympiade, en l'honneur