Macro Productivité Et Salaire

l'Etat doit favoriser la production de marchandises et les activités exportatrices en faisant en sorte qu'il y ait selon la formule Mercantiliste « abondance d'homme et de d'argent » (forte quantité de travail et forte production). Exige des taux de salaires faibles: faiblesse du cout du travail rend les produits plus compétitifs et permet des profits plus élevés. b. l'Etat doit prendre des mesures pour rendre excédentaire la balance extérieure → aider les exportations grâce aux subventions versées

les questions sont multiples et les avis des économistes divergent : - Pourquoi y a-t-il croissance sur certaines périodes ? - Pourquoi des pays émergent quand d’autres ne décollent pas ? Fondamentalement, l’économie est dynamique (en macro keynésienne, l’aspect temps est négligé) elle s’étudie dans le temps. On parle de conjoncture. Les économistes distinguent pour chaque économie un taux de croissance structurel, le trend. Autour de celui-ci évolue le taux de croissance conjoncturel

mettre en œuvre. Il accapare les contrôleurs de gestion pour l’élaboration des budgets et du reporting, les détournant ainsi de la gestion opérationnelle créatrice de valeur. 13.1.2. Notion de pré-budget (budget simplifié) Le pré-budget est un macro-modèle qui permet de mesurer les impacts des décisions stratégiques et des évolutions économiques sur la rentabilité d’une entreprise pour l’exercice fiscal à venir. Il correspond à un processus budgétaire simplifié qui ne mobilise que peu de ressources

veulent pas augmenter immédiatement leur production. * Inflation par les couts : Répercutions au niveau des prix sur la hausse des couts de production. Si le salaire augmente plus vite que la productivité, le cout salarial par unité de produite augmente. En effet la masse salariale est une forme d’inflation par les couts=Spirale prix-salaire. * Inflation par la monnaie : émission de monnaie par l’Etat en trop grande quantité par rapport à la quantité des biens dans le circuit économique. Produit

Productivité des services : Perspectives et impact sur la compétitivité et sur l'emploi Pierre Bonelli - janvier 1997 Aujourd'hui, les services sont largement prépondérants dans les économies les plus avancées, tant en termes d'emploi que de revenu national. Ils restent cependant peu étudiés et souvent chargés d'une image négative. Ils sont ainsi accusés en France d'être improductifs, inflationnistes et de ne pas correspondre à des besoins réels. L'exemple des Etats-Unis montre pourtant que le

de 24 unités de production (et de 3 biens par pays). Chaque pays peut produire alors 4 biens en se spécialisant à la place de 3 au total. Donc les nations ont un intérêt a se spécialiser car la production mondiale va augmenter grâce au gain de productivité obtenu par chaque pays. Pour Smith ne peuvent participer aux échanges internationaux que les pays ayant un avantage absolu 2. Ricardo : loi des avantages comparatifs La question se pose de savoir ce qu’il advient si un pays ne dispose pas

développés. 2) Mesure de la croissance : Variation du PIB = mesure de la croissance économique PIB par la production = somme de la valeur ajoutée brute + impôts sur la production (droits de douane/ TVA…) – subventions PIB par le revenu = Salaires + EBE (profits, revenus mixtes  entrepreneurs individuels) + impôts – subventions PIB par la consommation/ demande = dépenses de consommation finale des ménages + FBCF + (X-M)  solde commercial Production/revenu/consommation sont des agrégats

 SALAIRES D’EFFICIENCE ET MODELES DE NEGOCIATIONS SYNDICALES EN BELGIQUE ABSTRACT La Belgique, régionalisée, divisée en quatre régions (Flandre, Wallonie, Bruxelles, Communauté germanophone) représente du point de vue sociologique et économique des réalités différentes et disparates au niveau de l’emploi et des taux de chômage. Ce qui explique les difficultés engendrées lors des négociations collectives entre les partenaires sociaux ayant pratiquement les mêmes revendications salariales ; émanant

référence à une théorie de la valeur ou du prix d’équilibre, les comptes des agents économiques devenant la norme exclusive d’équilibre. Dernier choix, l’intégration de la population et partant de l’offre de travail salarié : population endogène et salaire réél exogène (classique) ou l’inverse (les autres). D’après tous ces critères, on se rend compte que parmi les trois composantes de l’approche néo-classique, la théorie walrasienne se distingue le plus de l’approche classique. Classiques et néo-classiques

des personnes souvent à même de se « débrouiller autrement ». En effet, 53 % des chômeurs au sens du BIT sont des femmes, alors que celles ci représentent 45 % de la population active. Vivrions-nous encore dans un monde où le salaire féminin est considéré comme un salaire de complément et où, par conséquent, le chômage des femmes est jugé plus "supportable" que celui des hommes ? Par ailleurs, il y a des « chômeurs récurrents », qui retombent régulièrement en chômage, après avoir occupé des petits