Macbeth Tyran

N’est-ce pas cela la tyrannie ? Cependant, lorsqu’on analyse la tyrannie, force est de remarquer qu’elle est justement un pouvoir sans loi. C’est pourquoi le tyran est comme un loup. Il fait ou croit faire tout ce qui lui plait. Suivre son bon plaisir n’est pas une loi. Et on ne peut même pas parler de loi du plus fort puisque le tyran n’est jamais assez fort pour dominer. Il lui faut compter sur des alliés. Dès qu’il y a des lois, celles-ci, qu’elles prévoient une hiérarchie ou qu’elles soient

politiques à se corrompre et à s’altérer. Les principales formes de régimes connus ont été définies par Aristote. La tyrannie et l’altération de la monarchie. Le monarque gouverne seule mais avec le consentement de tous et dans l’intérêt de tous. Le tyran lui use arbitrairement d’un pouvoir qu’il a usurpé. L’oligarchie est une altération du régime Aristocratique. C’est un régime dans lequel une élite gouverne dans son propre intérêt. Si cette élite est composée de riche le régime oligarchique prendra

l’esclavage pour cause d’endettement. Il intensifie le commerce et l’usage de la monnaie. Les droits et devoirs des citoyens en fonction de la richesse et non de la naissance. Il crée un tribunal du peuple : Héliée. -Vers 561 et 528 av JC, Pisistrate, le tyran, (3ème pas vers la démocratie). Il fait 2 actions populaires. 1 : toutes les terres de nobles non cultivées sont remises à l’état qui peut les donner aux paysans. 2 : création de grandes fêtes religieuses avec processions, jours de congé, cérémonies

existe des représentations dites belles de la guerre. Mais, si la guerre est un exemple d'horreur et de mort, elle l'est souvent par une volonté qui est certaine fois d'ordre du beau et du juste. La liberté s'oppose à la tyrannie, c'est à dire un tyran qui abuse de sa puissance pour brider son peuple. On peut alors dire que la liberté est une chose belle et juste. Ainsi, La Liberté guidant le peuple de Delacroix est une peinture qui certes présente une guerre civile par la présence des morts au pied

des luttes. La démocratie c’est la masse envieuse qui va chercher à tirer les richesses des autres pour les redistribuer. La démocratie va se transformer en tyrannie à travers un seul homme. Il y aura donc soit un philosophe au pouvoir, soit un tyran qui va se transformer en philosophe. Il va donc diviser l’ordre social en 3 : • L’ordre philosophe (caractère d’or). • Les guerriers (caractère d’argent). • Les autres citoyens (caractère de bronze). Pour ne pas être jaloux, il ne faut pas

d’abord au peuple. Mais cet état de fait ne dure pas longtemps. La souveraineté va être récupérée par une majorité dite « active » (p.65). Cette majorité va alors imposer ses opinions et opprimer les minorités de la société. La société devient alors un tyran (ou comme le formule Mill à la page 66 « tyrannie de la majorité »), cette idée est également présente chez Tocqueville dans De la démocratie en Amérique notamment au tome I, chap. VII. La majorité peut opprimer alors l’individu car elle concentre

moins vrai que ce sont des activités différentes. Pourquoi, en second lieu, ne faut-il pas non plus s'attendre à ce que les philosophes deviennent rois ? • D'abord un philosophe ne peut prendre le pouvoir par la force. Cela ferait de lui un tyran. La violence répugne au philosophe. • Il ne peut donc devenir roi que si on fait appel à lui, événement des plus improbables. Les non philosophes se préoccupent peu de reconnaître les qualités du philosophe. En concurrence avec des non philosophes

Camus. Question métaphysique, philosophique : la fin justifie-t-elle les moyens ? Ms question philo qui, ds la pièce, a une portée pol parce qu se pose ds le cadre d’une situation qui est : est-ce qu’il est légitime de tuer un homme, même quand c un tyran et que sa mort libérera tte une population ? Voilà le type de questions que pose le th de cette première moitié du XXe, et il faut y rattacher Month parce que son th est également un th d’idées. !!! Mise au point : éviter à tt prix de plaquer une

dénonce la passivité coupable du peuple, qui ne proteste pas, qui se laisse guider. Ils n’ont plus aucun jugement –« la conscience humaine est morte » (v.1)-. Ils ne sont plus que des moutons –« troupeau » (v.34)- dénués de jugement. Napoléon III est un tyran qui se sert du peuple, des juges et des prêtres pour modeler son Empire tel qu’il le souhaite. L’exagération de Victor Hugo mène à un texte polémique. Et ce côté polémique peut donner naissance à une littérature extraordinaire, qui peut, par sa

Marques je vous hais Dans son livre, « du Ricard dans mon Coca », Catherine Becker analyse clairement le phénomène universel aliénant des marques dans notre société. Son discours, bien que très lucide sur la tyrannie qu’elles suscitent, se veut optimiste sur la globalisation. Selon l’auteur, les marques auraient complètement échappé à leurs créateurs en devenant des faits culturels. Le consommateur serait libre de se faire manipuler ou pas. Alors au fond, qui manipule qui ? Les marques sont-elles