Macbeth Tyran

EGALISATION DES CONDITIONS ET DEMOCRATIE A. De Tocqueville I – Les fondements de la société démocratique. 1) Egalisation des conditions. Démocratie de droits. Démocratie de fait. Démocratie politique. Démocratie  Etat d’esprit nouveau. « Les individus se pensent égaux, ils refusent les privilèges et sont réticents à accepter qu’un autre ait une situation supérieur à la leur. La moindre égalité engendre une frustration relative. 2) Egalité de l’instruction. A première égalité

Méthodologie du commentaire de texte et de la dissertation Corrections et remarques générales Les copies (devoirs rédigés et plans) sont notées sur 20. Toutes les copies reçoivent une note. Ne pas oublier de mentionner son prénom, son nom, son groupe et de numéroter les copies si besoin. Prière d’écrire sur des copies doubles ou d’agrafer les feuilles simples du même devoir. I – Remarques de forme A – Principes de base « Après que » requiert l’indicatif. Dans l’expression « de

Le citoyen à Rome, dans le monde antique est situé dans l’empire romain aux Ier et IIème siècles après Jésus Christ. Dans les citées règne une bonne ambiance il y a des jeux pour occuper les habitants. Un citoyen est un homme libre propriétaire à Rome, cette citoyenneté est un droit qui s’étend. Le citoyen à Athènes, est situé en Grèce aux Vème et IVème siècles avant Jésus Christ. On constate que la population Athèniennes était de 350 000 personnes dont 40 000 citoyens (10%). La ville d'Athènes

; cependant ce droit d’opposition, tout insensé qu’il est, est sacré : sans quoi les sujets ressemblent à un troupeau dont on méprise la réclamation, sous prétexte qu’on le conduit dans de gras pâturages. En gouvernant selon son bon plaisir, le tyran commet le plus grand des forfaits. Qu’est-ce qui caractérise le despote ? est-ce la bonté ou la méchanceté ? Nullement ; ces deux notions n’entrent pas seulement dans sa définition. C’est l’étendue et non l’usage de l’autorité qu’il s’arroge. Un

Ce système est condamnable pour Platon, sauf si le tyran peut être orienté dans ses choix par un philosophe. Ces 4 formes se succèdent : à l’âge d’or timocratique de la Grèce archaïque apparaissent cupidité et soif de pouvoir, entraînant une oligarchie à accaparer le pouvoir. Les révoltes populaires conduisent à la démocratie. Celle-ci entraîne nécessairement une mauvaise gestion et des crises, qui suscitent la recherche d’un protecteur, le tyran. Celui-ci a alors besoin de la guerre pour maintenir

cette réflexion historique où le corps féminin est l'enjeu de la survie de la ville et de sa stabilité politique. L'historien latin évolue du registre du mythique à celui du juridique. Tite-Live associe le chaos politique au comportement licencieux du tyran que représentent les Tarquins. Cependant, on sait que le passage de la royauté à la république n'a pas été aussi brutal. Cet extrait est seulement un récit fictif de l'écrivain latin qui était sous le joug d'Auguste au début de son principat. Tite-Live

apparu ds certaines cité grecque ds courant 7 eme, d’après Thucydide d’abord apparut ds cité les plus riches. Mais la tradition se plaisait à faire du tyran le défenseur du peuple, du démos contre riche et puissant. Les historiens distinguent les tyrannies des VIIe et VIe siècle avant JC de celles du IVe siècle avant JC. • Dans les premières, le tyran dispose du soutien des classes populaires qui cherchent à limiter la domination des riches propriétaires terriens. La tyrannie a pour but de lutter

renforcer sa thèse, la présente comme universelle. Ainsi, le pronom personnel "il" est dominant dans le texte. On note cependant la présence d'un pronom personnel "on" (l.7) : il désigne le narrateur et le locuteur tandis que celui (l.20) représente le tyran. Ce "je"' (l20) n'indique pas que le narrateur prend parti, mais montre qu'il prend part à l'analyse : il a un rôle d'intermédiaire. Ainsi, l'ensemble des pronoms personnels donne une dimension objective et une impression de neutralité à l'article

mériterait bien un traité à part, et qui provoquerait toutes les disputes politiques. Pour le moment, je voudrais seulement comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal s’ils n’aimaient mieux tout souffrir de lui que de le contredire. Chose vraiment

alléguées il y a quelques instants, à ce propos, si un citoyen, avec les armées de mer, n'a jamais pu devenir le tyran d'une ville maritime, il lui serait bien plus difficile encore d'y parvenir avec des Nicolas Machiavel (1521) L’Art de la guerre. Extraits 7 armées de terre. Ces faits auraient dû les convaincre que ce ne sont pas les armes que les citoyens tiennent en main qui font les tyrans; ce sont les institutions vicieuses du gouvernement qui enchaînent les républiques : et, puisqu'ils possédaient