Macbeth Tyran

grandes familles s'appuient sur le mécontentement populaire (tant des paysans appauvris que des nouveaux riches urbains) pour mieux se disputer le pouvoir. Elles n'hésitent pas non plus à faire appel à des puissances extérieures pour renverser les tyrans. Ainsi, les cités se combattent fréquemment entre elles, ce qui nourrit souvent les révoltes, par ailleurs durement réprimées. Mais les guerres sont aussi parfois un facteur de cohésion interne des cités. En outre, chaque cité grecque frappe désormais

Nous allons tout d’abord nous pencher sur le cas de figure d’une majorité claire et forte, en abordant en premier lieu l’aspect d’une ‘’tyrannie temporaire’’ et en second lieu l’aspect d’une majorité plus modérée, penchant vers le consensus. a) Le tyran temporaire, selon Tocqueville On constate qu’en France, selon la Constitution de la 5ème République, bien que qualifiée de régime parlementaire à captation présidentielle, le Président de la République tire sa force de son indépendance, de sa liberté

considérée comme un enjeu majeur de la portée critique de la pièce dans la mesure où elle est présentée comme le berceau de la tyrannie et le lieu d’épanouissement du vice. À cet égard, Florence, comme un personnage vivant, semble à l’image de son tyran, Alexandre : « si le duc ne sait pas que sa ville est une forêt pleine de bandits… et de filles déshonorées… »(I, 1), « Florence la bâtarde » (I, 6). Cité pervertie, lieu de fêtes et de débauche, elle est très souvent érotisée par un Lorenzo très lucide

soumission du peuple au tyran. L’extrait étudié peut être divisé en cinq parties et comporte un registre polémique. Il présente l’opinion de de La Boétie par rapport à la façon dont les personnes se laissent maîtriser et détruire : il reproche leur attitude et les invite à se libérer du tyran.   De quelle manière l’auteur présente la soumission volontaire du peuple et les invite à se libérer ?   Nous verrons dans un premier temps la description et personnification du tyran, puis la soumission

temps que l’inclination particulière de son auteur » « C’est miracle déjà que l’œuvre de corneille soit aussi constamment hostile à l’esprit du despotisme » Jeu intéressé des ambitions se manifeste dans le gout pour les intrigues « Tel est d’un tyran le naturel infame S’il ne craint il opprime ; et s’il n’opprime il craint » Heraclius V, 5 Reproche de cleopatre a son frère, roi d’Egypte de : « … D’ecouter ces laches politiques Qui n’inspirent aux rois que des mœurs tyraniques : Ainsi que

de mêmes structures de phrase, qui créent des parallélismes : ex. Même si les personnages sont unis (« frères » par alliance, Néron a été adopté par Claude) et même si leurs destins sont liés, ils sont antithétiques. Néron est le type même du tyran cruel tandis que Britannicus se caractérise par sa défense, sa résistance maladroite. Néron domine l’échange par sa maîtrise du langage : c’est lui qui possède le pouvoir (politique et verbal). On relève : - les impératifs : « imitez », « souhaitez-la »

Le texte étudié est un extrait qui dénonce la responsabilité de leur asservissement à un tyran. On peut alors se demander en quoi on peut parler d’un pamphlet dans ce discours. Pour répondre à cette question nous étudierons la condamnation des peuples sous la monarchie tyrannique et le discours polémique. I. Condamnation des peuples sous la monarchie tyrannique. 1) Une opposition peuple/tyran. ▪ Opposition il/vous : Le texte est construit sur une opposition répétée de deux

est révélateur d'une période de crise et de tensions fortes que le corps civique n'arrive pas à résoudre par les voies institutionnelles normales. La dernière grande tyrannie meurt en 510 à Athènes, ou le tyran Hyppias est renversé. Mais d'autres cas exceptionnels sont à noter, comme le cas du tyran Alexandros de Phères et de son fils Jason. La différence entre la tyrannie et la monarchie est l'origine divine revendiquée par les rois. C'est la seule frontière. 2) Aristocratie-Oligarchie:

L'uniforme scolaire Tout d'abord, l'uniforme ne permet pas l'expression de sa personnalité et d'être habillé à son avantage. Il ne s'agit pas de se cacher derrière un uniforme, mais d'apprendre à vivre avec les autres, avec nos différences. Si tout le monde est habillé pareil, il n'y aura plus aucune distinction, nous serons tous comme des clones! Il y aura plus de moyen de s'exprimer à travers ses habits! Vous imaginez un troisième avec les même vêtements qu'un sixième et tout le monde dans

Les caractères d’exposition acte 1 Le duc Alexandre de Médicis règne en tyran sur Florence. Il a des mœurs de débauché. Il prend la défense de Lorenzo lorsque celui-ci est attaqué par le pape et ses représentants Valori et Sire Maurice. Quand ses derniers lui disent de se méfier de Lorenzo il n’en tient pas compte : Il ne craint pas Lorenzo, au contraire il le prend pour quelqu’un de peureux. Il aime bien Lorenzo et prend sa défense quand celui-ci est attaqué. Lorenzo de médicis est le cousin