Mac Mahon Décembre 1877

convention et qui vont mettre en chantier un projet de constitution mais en même temps cette convention va commencer à prendre des décisions pol : procès du roi est instruit, début déc 92 un député à la convention Robespierre demande la mort du roi. Le 11 décembre, le citoyen Capet est entendu par la Convention car c’est elle le tribunal. Le 7 janvier 93, le jugement prend fin et les députés votent en majorité la mort du roi. Philippe d’Orléans vote la mort du roi. Le 21 janvier 93 le roi est exécuté. En février

Napoléon Bonaparte souhaite réviser la constitution pour pouvoir être réelu. L’assemblée nationale lui refuse ce droit. LNP réalise donc un coup d’Etat, le 2 décembre 1851. Il dissout illégalement l’assemblée et proclame l’Etat de siège. Les opposants monarchistes et républicains sont arrêtés. 30000 personnes. Le plébiscite organisé en décembre 1851, lui donne le pouvoir de rédiger une nouvelle constitution. S’en est fini de la deuxième république. b) Un régime autoritaire. En 1852, le second empire

républicains réussissent-ils à enraciner la culture républicaine en France ? I- Victoire et enracinement de la République (1879-1889). A- 1879 : les républicains sont au pouvoir. En 1877, les républicains sont victorieux à l’assemblée. En 1879, ils sont victorieux au sénat. Mac Mahon doit donc démissionner. Il est remplacé par un nouveau président républicain : Jules Grévy. Les républicains épurent l’administration, les tribunaux, les monarchistes… B- Une culture républicaine

harmonie n’est pas créer, cela va alors laisser place à un régime moniste. Dès lors, la crise du 16 mai 1877 va trancher en faveur du parlementarisme moniste. Vis-à-vis du pouvoir exécutif, cette transition ne va pas se faire sans difficultés. En effet, le conflit entre le président royaliste et la chambre républicaine demeura feutré pendant des mois, pour finalement apparaitre et forcer Mac Mahon à nommer Dufaure comme président du conseil. Alors va se créer une atmosphère tendue entre le président

législatif : Assemblée Nationale (élue pour 3 ans, au suffrage universel direct, elle propose des lois). Pour l’Assemblée, cette République n’est autre qu’une période de transition : cette constitution n’est faite que pour provisoirement. Le 10 décembre 1848 ont lieu les élections présidentielles, trois candidats se présentent : Louis-Napoléon Bonaparte, le Général Cavaignac et L. Ledru-Rollin. L.N Bonaparte est élu président de la République avec 75% des voies : il est surnommé le « Prince Président

obtient la démission d'Adolphe Thiers. Thiers démission car la coalition gagne des sièges. Mais qui met-on à la place? On va trouver la maréchal Edmée de Mac-Mahon, choisi car il est proche des monarchistes, et il est conservateur et catholique. Pour la droite, le mettre au pouvoir est une étape vers un retour à la monarchie. C) Mac-Mahon Mac-Mahon se dote d'un gouvernement dont il dote la charge au duc de Broglie qui est orléaniste. Ils veulent rétablir ce qu'on appelle « l'ordre moral », un programme

Assemblée par messages qu'il ne lit donc pas lui même, en conséquence détérioration des rapports entre Thiers et majorité monarchiste, 23 mai 1873 Thiers propose Constitution républicaine mais le 24 il est mis en minorité et démissionne, remplacé par Mac-Mahon monarchiste à tendance orléaniste très mauvais orateur et sur plan politique, République monarchiste fonctionne mais bases régime parlementaire ne sont pas établies. Troisième loi 20 novembre 1873 instituant septennat, Thiers disparait de scène politique

l'expiration légale de son mandat. En ce cas, les collèges électoraux sont convoqués pour de nouvelles élections dans le délai de trois mois. » Cette prérogative n'a été utilisée qu'une fois sous la IIIe République, lors de la crise du 16 mai 1877, par le président Mac Mahon. Sous la IV ème République la dissolution de l'Assemblée nationale est visée en ces termes à l'article 51 de la Constitution du 27 octobre 1946 : « Si, au cours d'une même période de dix-huit mois, deux crises ministérielles surviennent

Election de Louis-Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon 1er, à caractère populiste ; pas vraiment républicain, ni monarchiste = partisan de son propre pouvoir. Volonté de renverser la République.   La IIème République est condamnée : se termine le 2 décembre 1851 avec un coup d’Etat ; Louis Nap appuyé par l’armée et suite à quelques manœuvres politiques, renverse la République et instaure un nouveau régime : le Second Empire, qui durera jusqu’en 1870. Régime autoritaire, avec un très fort pouvoir impérial

Thiers. Il devient, avec Léon Gambetta et Jules Grévy, l'un des chefs de l'opposition républicaine au régime « d'ordre moral » du maréchal Mac-Mahon. À la tête du groupe parlementaire de la Gauche républicaine, il est l'un des principaux acteurs de la crise du 16 mai 1877, qui voit les 363 députés républicains protester contre la dissolution de la Chambre par Mac-Mahon. La démission de ce dernier, remplacé en janvier 1879 par le républicain Jules Grévy, permet à Jules Ferry de revenir au pouvoir le 4 février