Mac Mahon Décembre 1877

les régimes présidentiels en Europe ont eu de courtes durées de vie. Le régime parlementaire y a été préféré. En France, la Constitution de 1848 a instauré un régime présidentiel qui s'est achevé par le coup d'Etat de Louis Napoléon Bonaparte, le 2 décembre 1851. D'un point de vue historique, les régimes présidentiels sont fidèles aux principes d'équilibre des pouvoirs définis par Montesquieu (1689-1755). Régime mixtes : Ce régime correspond à celui de la Ve République depuis l’introduction

dès les 1ers jours, la France est mal en point. Le 6 aout, l'Alsace est prise. En quelque semaine, les principaux corps d'armée française engagés dans le conflit sont neutralisés. Le maréchal Bazaine est enfermé dans la ville de Metz. Le maréchal Mac Mahon se retrouve lui même encerclé à Sedan avec l'empereur Napoléon 3. La supériorité allemande est écrasante. L'empereur capitule le 2 septembre 1870 : il se rend à l'ennemi. C'est la fin de l'empire. Hors du champ politique, le conflit a marqué les

métier d’avocat, donc il va vite intégrer le ministère des travaux publics de Christophle, il sera nommé sous-chef du contentieux. Il sera également nécessaire d’ajoute que Christophle est le ministre du moment où le ministère Simon démissionne, dont Mac Mahon le Président, va designer le gouvernement de droite gouverner par Albert de Broglie. Cependant plusieurs agents des administrations publiques sont renvoyés parmi des ministères de républicanisme, dont Léon bourgeois fait partie. C’est alors arrive

parlementaire Pratique du décret-loi : délégation de pouvoir du législatif au profit de l’exécutif qui donne la possibilité au gouvernement de légiférer. Crise de mai 1877 : La crise du 16 mai 1877 est une crise institutionnelle de la Troisième République française qui a opposé le président de la République, le maréchal Patrice de Mac Mahon, monarchiste, à la Chambre des députés élue en 1876 à majorité républicaine, et à l'une de ses grandes figures, Léon Gambetta. Si cette crise s'est bien ouverte le

toujours pas. Entre temps, le roi Edouard VII décède en mai 1910. Son successeur George V autorise le gouvernement Asquith à procéder à une 2nde dissolution. La campagne électorale porte cette fois sur la restriction des pouvoirs des Lords en décembre 1910 ; il n’y a toujours pas de majorité : 272 libéraux, 272 conservateurs et 42 travaillistes qui font pencher la balance du côté libéral. Pour éviter une crise du régime au moment de son avènement, le roi impose lui-même aux Lords la limitation

théâtre et Les Nouveaux Contes à Ninon. Connaissant depuis de longues années d'importantes difficultés sur le plan financier, il voit sa situation commencer à se stabiliser à la suite de l'énorme succès constitué par la publication de L'Assommoir en 1877. Dès ce moment, ses revenus annuels oscillent entre quatre-vingts et cent-mille francs. Zola n'est pas fortuné à proprement parler, puisqu'après avoir eu sa mère à charge et ses deux foyers, les baisses de ventes de ses romans consécutives à ses engagements

parlementaire : pas de motion ni de droit de dissolution. Mais il y a la distribution des pouvoirs, le roi peut entrer dans la fonction législative, il dispose d’un veto. Veto suspensif pendant deux ans. Cela ressemble à un régime présidentiel 7 décembre Le roi peut bloquer une loi, article 2 il refuse de la promulguer et le parlement doit la refaire. Rien n’est fait pour qu’il ait une issue pacifique en cas de blocage. Le roi utilise systématiquement son droit de veto. Ceci ne plait pas à la population

confiance manifesté à la majorité absolue sont comptées (articles 49 et 50 : question de confiance, motion de censure). Le droit de dissolution est donc également rationalisé (il faut se rappeler que cette procédure, suite à son utilisation par Mac Mahon en 1877, était tombée en discrédit car elle était considérée comme une menace pour les institutions républicaines) : il est avant tout conçu comme une menace destinée à favoriser les rapports entre le Parlement et le gouvernement (il permet notamment

libéraux ont une majorité relative et encore plus réduites car ils sont désormais tributaire de 40 députés travaillistes. Les lords invoquant l’absence de majorité absolue ne cèdent toujours pas et exigent une nouvelle élection. Celle ci se déroule en décembre 1910 et entre temps le roi Edouard 7 est décédé et son successeur, Georges 5 ne veut pas d’une crise de régime pour son avénement or comme le résultat des élections est quasiment le même qu’en janvier, c’est lui qui va contraindre la chambre des

par des notables provinciaux, monarchistes ou républicains modérés. Une tendance qui se confirme durant toute l’année 48, pendant laquelle aucune voix ne s’élève à droite contre le SU. Ainsi après l’élection au SUD de Louis Napoléon Bonaparte le 10 décembre, l’Opinion publique (journal du parti de l’ordre) écrit : « il nous conduit bien, ne nous défions pas du suffrage universel ».Ils triompheront aux élections du 13 mai 1849. Mais les conservateurs prennent peur du SU qui reste un « sphinx politique »