M Moltke

explique qu'une guerre préventive contre la France est nécessaire pour prouver la puissance de la civilisation allemande. Une guerre de mouvements, courte et rapide est prévue contre l'empire austro-hongrois et l'empire français. Le générale Helmut von Moltke prédisait avant sa mort que si l'Allemagne devait conduire une nouvelle guerre, elle devrait se battre sur ses flancs occidental et oriental.   A peine déclarée, la guerre a immédiatement été présentée comme une guerre défensive de l'empire allemand

H5 - La première guerre mondiale et ses conséquences économiques et géopolitiques Rappel des causes L'amiral Alfred von Tirpitz Le croiseur de bataille Moltke à New York en juin 1912 31 mars 1905, débarquement de GII à Tanger 28 juin 1914: L'attentat de Sarajevo François Ferdinand avec son épouse Sophie Chotek Gavrilo Princip arrêté I- Une guerre totale A. Une guerre à forces égales qui amène à la mondialisation du conflit Mouvement: Le front ouest en 1914

imposé. Le sujet peut imposer le registre dans lequel votre texte doit s'inscrire : il s'agit alors de mobiliser vos connaissances afin d'utiliser les procédés propres au registre demandé. Exemple : Relisez le texte E. Vous écrirez une lettre à M. de Moltke pour contrer point par point son affirmation selon laquelle la guerre est « d'institution divine » et « entretient chez les hommes, tous les grands, les nobles sentiments ». Vous utiliserez le registre polémique et puiserez vos arguments dans le corpus

la guerre diminue notre humanité. D´abord, c´est la guerre qui crée les vrais hommes avec tous les idéaux des chevaliers du Moyen-Age. Pour des commandants, la guerre est l´art qui enrichit l´esprit humain. Ainsi le manifeste le Comte von Moltke (général): " La guerre est sainte, d´institution divine. Elle entretient chez les hommes tous les grands, les nobles sentiments..." Par ailleurs, la guerre est une situation de crise. D´après les psychologues, dans les situations dures on peut

antiphrases ironiques sur les « exploits » de la guerre et les meurtres, viols, pillages sont de vision négative. L'article de journal de Guy de Maupassant, La guerre, car il évoque les morts d'hommes, leur épuisements et il dévalorise la thèse de M. de Moltke. Le roman de Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, car il évoque à travers un personnage ses sentiments à l'égard de la guerre de 1914-1918. La lettre de Jean Giono, Lettre aux paysans sur pauvreté et la paix, il y raconte sa

de l'armée française, présentant ainsi le flanc à l'armée couvrant la capitale) pour lancer une contre-offensive : c'est la bataille de la Marne (24 août-13 septembre 1914), où, après plusieurs jours de combats acharnés, le général en chef allemand Moltke est contraint d'ordonner un repli général, qui reporte le front 70 km plus au nord, sur l'Aisne, et atteste l'échec du plan de bataille allemand. Pour mener cette bataille, dans l’urgence, le général Joffre réquisitionne tous les taxis et bus parisiens

assassiné ne daigne pas crier. Les bourgeois sont de garde autour de la muraille ; Ces pères, ces maris, ces frères qu'on mitraille, Coiffés de leurs képis, roulés dans leurs cabans, Guettent, ayant pour lit la planche de leurs bancs. Soit. Moltke nous canonne et Bismarck nous affame. Paris est un héros, Paris est une femme ; Il sait être vaillant et charmant ; ses yeux vont, Souriants et pensifs, dans le grand ciel profond, Du pigeon qui revient au ballon qui s'envole. C'est beau

honte, envahir ne saurait être une gloire. Ah ! proclamons ces vérités absolues, déshonorons la guerre. » Vaines colères, indignation de poète. La guerre est plus vénérée que jamais. Un artiste habile en cette partie, un massacreur de génie. M. de Moltke[1], a répondu un jour, aux délégués de la paix, les étranges paroles que voici : « La guerre est sainte, d’institution divine, c’est une des lois sacrées du monde ; elle entretient chez les hommes tous les grands, les nobles sentiments : l’honneur

Le poste de commandement régimentaire était, en bordure de la Meuse, un pavillon de meulière banlieusard et triste. Il attend dans une pièce poussiéreuse où cliquetait une machine à écrire. Air lourd de la guerre. Le colonel ressemblait à Moltke. Il y avait une poussée de vie brusque et aiguë dans ce regard, puis vite il se voilait de fatigue, mais une fatigue rusée qui n’était qu’économe. Faucon encapuchonné à la griffe prête. Il donne son ordre de mission, le colonel consulte

Voilà ce qu’on appelle ne pas tomber dans le plus hideux matérialisme . Finalement ne vaut-il pas mieux rester soi-même ? Question 1 : Victor Hugo est contre la guerre , il la dénonce à travers les conquêtes des hommes . M. de Moltke , lui , est pour la guerre , qui vient de Dieu , et qui amène de nobles valeurs . Questions 2 : Les trois procédés de l’épopée présents dans ce texte sont : Une dramatisation d‘abord marquée par le présent d’énonciation qui implique