M Moltke

plus vite que prevu retraite francaise apres bataille des frontieres aile droite allemande trop affaiblie 6-9 septembre : bataille de la marne : defaite allemande > le plan Schlieffen a echoue Apres la bataille de la Marne (septembre 1914) general Moltke remplace par le general Falkenhayn victoire = soulagement francais (echappe belle) idee de la guerre courte s’envole essor d’une culture de guerre : toute la pop s’integre mentalement et moralement a la guerre. Presse Publications diverses Eglises

militaires du peuple est l’objet de préoccupations constantes et systématiques, présenté en toute circonstance comme la première condition de la prospérité nationale. Lors des débats sur le code pénal militaire allemand, le 7 juin 1872, le maréchal de Moltke a dit : « […]Plus importante que ce qui a été appris à l’école est l’éducation de l’homme qui vient après l’école, pour lui inculquer l’ordre, la ponctualité, la propreté, la docilité et la fidélité, bref la discipline. C’est cette discipline qui

franco-prussienne de 1870. Habilement trompée par la « Dépêche d'Ems », la France déclare la guerre à la Prusse, prenant la responsabilité des hostilités. Là aussi, l’armée prussienne, mais également bavaroise et wurtembergeoise, sous le commandement de Von Moltke, écrase l’armée française en deux semaines. Les Prussiens assiègent Paris et par le traité de Francfort (1871) annexent l’Alsace-Lorraine. Ils obligent la France à payer une indemnité de cinq milliards de francs-or. La Proclamation de l'Empire

débarrasser le plus rapidement possible de ses ennemis présents à l'Ouest, c'est-à-dire principalement la France, jugés moins puissants que ceux de l'Est, avec l'Empire russe notamment. Sur le plan occidental, le chef d’état-major allemand Helmut von Moltke (1848-1916) exécute le plan Schlieffen, lequel doit son nom au maréchal-comte Alfred von Schlieffen (1833-1913), qui préconise de lancer ses offensives en passant par la Belgique et le Luxembourg, alors neutres, afin de contourner les principales

Chambe, alors jeune officier de cavalerie, ce fut une bataille gagnée mais une victoire perdue. En effet, si les armées franco-britanniques mirent alors un terme à l’avancée irrésistible des armées allemandes commandées par Von Kluck, Von Bülow et Von Moltke, elles ne purent ou ne surent exploiter cet avantage en repoussant ces armées hors du territoire français, mais seulement à quelques dizaines de kilomètres vers le nord, induisant dans un premier temps la course à la mer puis la stabilisation du front

rassembler l'intégralité du pouvoir entre ses propres mains; il devait nettoyer le site avant de construire son propre ouvrage. Le sultan réalisa la première partie de cette grande tâche avec perspicacité et résolution ; dans la seconde, il échoua ». Moltke. => « Dans chaque domaine, la création d'un ordre nouveau ne s'effectua qu'après la destruction du système ancien. » (p.76) q Des sultans au rôle ambigu, comme Abdülhamid II: anti-constitutionnel, anti-libéral... mais pas anti-occidentalisation

faille oublier les charniers et les massacres, bien entendu, mais parler de la guerre en leur seul nom ne peut qu'entraîner un manichéisme sommaire, comme on le voit ici chez Maupassant : Un artiste habile en cette partie, un massacreur de génie, M. de Moltke, a répondu, voici deux ans, aux délégués de la paix, les étranges paroles que voici : « La guerre est sainte, d'institution divine ; c'est une des lois sacrées du monde ; elle entretient chez les hommes tous les grands, les nobles sentiments, l'honneur

5 Wilhelm Grœner Amiral Franz von Hipper, commandant, Flotte de Haute Mer Max Hoffmann Alexander von Kluck, général Paul Emil von Lettow-Vorbeck August von Mackensen, Field Marshal Helmuth von Moltke, (1848-1916), chef d’état-major, 1906-14 Otto Liman von Sanders, (1855-1929), général Alfred von Tirpitz, (1849-1930), ministre de la marine Adolf Hitler, (1889-1945), estafette (caporal) Hommes politiques Theobald von Bethmann-Hollweg, Chancelier

descendait, dans la nuit, en une poussée formidable, sans haine ») - reddition du fort Chabrol (Jules Guérin) - Fécondité, Zola (propagande nataliste ; cf Jacques Bertillon et l’Alliance nationale pour l’accroissement de la population française ; Moltke : « Depuis 1871, la France perd une bataille tous les ans ») - La Terre qui meurt, René Bazin - création de L’Ouest-Eclair (Ouest-France depuis 1944) 1900 - Jeux Olympiques de Paris - exposition universelle à Paris (banquet des maires, Grand

Arden-Clarke, Eugenia Nuñez, Sophie Forster et Mariko Hara étaient chargés du projet pour le PNUE, et Aaron Cosbey, de l’IIDD, a rempli la fonction de chef de projet. Ont collaboré à la rédaction Aaron Cosbey, Mark Halle, Howard Mann, Konrad von Moltke, Marie-Claire Segger, Jason Switzer, Sarah Richardson, Tom Rotherham et Tina Winqvist. Joe Petrik s’est chargé de l’édition; Rae Fenwick et Don Berg, de la conception et de la mise en page. Pat Gallimore et Valentina Kaltchev ont assuré le soutien