Léviathan Paul Auster

Compte rendu du livre Mr. Vertigo de Paul Auster Paul Auster est un écrivain New-yorkais, il va commencer à écrire à l'âge de 12 ans, mais c’est également un scénariste. Il est l'auteur de Mr VERTIGO, publié pour la première fois en 1994. C’est un roman baroque, qui se déroule dans l'Amérique de 1927. C’est le récit à la première personne de Walt, un gamin orphelin et mendiant, dans les rues du Saint-Louis. Sa rencontre avec Maître Yehudi est le point de départ de son histoire marquée par la

Fiche de Lecture : Moon Palace de Paul Auster L'auteur . Paul Auster est un écrivain américain né le 3 Février 1947 à Newark , New Jersey aux États-Unis . Une partie de son œuvre évoque la ville de New York . D'abord traducteur de poètes français, il a écrit des poésies avant de se tourner vers le roman. Il a également travaillé pour le cinéma. Il réside maintenant à Brooklyn . Très tôt au contact des livres par l'intermédiaire de la bibliothèque d'un oncle traducteur, il commence à

faire… »qui explique que les rêves d’enfants ne sont pas la réalité à laquelle sont confrontés les adolescents lors du choix de leur orientation. Les deux autres documents nous présentent deux personnages qui ont chacun leur monde de rêve, pour Paul AUSTER dans « Brooklyn follies », il s’agit d’un hôtel et pour Michel BOUQUET et Fabienne PASCAUD dans « Mémoire d’acteur », il s’agit ici d’une scène de théâtre. Il serait donc intéressant de se demander si les rêves d’enfants sont réalisables et si

esprit, le clochard remporte une victoire sur la société en devenant comme transparent. On ne le voit plus, on ne le définit plus par des gestes. Il n’existe plus.  C’est aussi à la figure de Bartleby que se réfère dans de nombreuses œuvres Paul Auster. Comme le constate Mireille Hardy, dans un article qu’elle consacre aux marques du blanc dans La trilogie new-yorkaise : La Trilogy new-yorkaise est littéralement ponctuée de blanc, parcourue par la lividité de Bartleby, ensevelie sous les notations

Fiche de lecture sur Moon Palace de Paul Auster. Le roman de Paul Auster, « Moon Palace », est considéré comme un roman d'apprentissage en ce sens que l'histoire dans laquelle nous nous immergeons est assimilable à la réalité. En effet, par le biais d'un tel roman d'initiation, le lecteur s'identifie au héros, au cheminement de sa vie, les aventures et l'histoire de ce personnage pouvant être comparable à ce que nous vivons tous les jours. Dans cette oeuvre, le héros transmet une conception

en pratiquant réécriture (du road-movie), décentrement et citation, refuse de se reconnaître sous l’étiquette postmoderne, synonyme pour lui, d’éclectisme, tandis que Marie Redonnet, héritière, dans sa trilogie américaine, du postmodernisme de Paul Auster, réclame une « relance de la question de la modernité »5. Alain Nadaud qui, en 1987, pose dans L’Infini cette question cruciale : « Où en est la littérature ? » assemble quelques éléments de la problématique mais le terme lui fait défaut et il

Cité de verre – Paul Auster Daniel Quinn. 35 ans. Sa femme et son fils sont morts. Écrivain de romans policiers. Signe William Wilson. Un livre par année. Il demande le nulle part. A adopté le nom de William Wilson puisqu’une partie de lui-même était morte et il ne voulait qu’elle revienne le hanter. Il n’existait plus pour personne sauf pour lui-même. Il avait continué à écrire parce que c’était la seule chose qu’il se sentait capable de faire. N’allait jamais jusqu’à croire que le Quinn

septembre 2001... Avec ses histoires de remises en question et d'ambitions abandonnées, on pourrait s'attendre, de ce roman, à une atmosphère lourde de lamentations et à des hommes et des femmes qui vont, le pas pesant, de déchéance en déchéance. Paul Auster nous propose plutôt, dans Brooklyn Follies, des personnages attachants, lucides quant à leur lâcheté, sereins devant leurs erreurs. Dans ce récit, une certitude s'impose: la seule solution possible, c'est continuer à avancer. Reprendre le contrôle

Né à Newark en 1947 (New Jersey), Paul Auster fait ses études à l’université Columbia de New York. Après un séjour de quatre ans en France, c’est en 1974 qu’il s’installe à New York et commence sa carrière littéraire en écrivant poèmes et essais pour la New York Review of Books et la Harper’s Saturday Review. Il traduit Jean-Paul Sartre, Stéphane Mallarmé et Maurice Blanchot. De son père, décédé en 1979, il hérite d’une fortune suffisante pour lui permettre de se consacrer entièrement à la littérature

volatiliser. C’est juste une tranche de vie que nous tenons entre les mains. Assez complète pour être déroutante. Nous lisons « Moon Palace », de Paul Auster. Et comment, par la suite, pourrions-nous en parler sans être réducteur ? Heureusement, ce travail de fin d’étude n’exige l’analyse que de quelques aspects. Heureusement surtout, bien que déjà immortel, Paul Auster n’est pas encore mort. Il n’aura donc pas à se retourner dans sa tombe, effort incommensurable. Serait-ce à un malheureux rhétoricien de