Lécole Quantitative

la référence à la TQM: M=PT (niveau moyen des prix*volume de transactions) Autrement dit, à long terme, l’inflation observée est déterminée par la croissance de la masse monétaire ajustée pour la croissance réelle de l’économie. Théorie quantitative de la monnaie * Selon la (TQM), si la MM augmente et si la masse de transactions reste constante cela peut entraîner l’inflation. * Fisher a mis en lumière la notion de vitesse de circulation de la monnaie, l’équation devient MV=PT

respectivement une crise de la demande et la baisse du taux de profit ce qui met fin au capitalisme. Ce n’est pas la seule théorie, Keynes en a lui aussi proposé une. KEYNES critique la loi de SAY (l’offre crée sa propre demande) et la théorie quantitative de la monnaie (cf. régulationistes) et la flexibilité des salaires. En effet, selon lui ces éléments sont les responsables de crises. En complémentarité de la crise de 29, la crise de 1974 n’est pas due à l’organisation des échanges mais à la

à la monnaie conduit à soustraire l’économie  réelle à l’intervention publique  1.1  La  monnaie  a  longtemps  été  considérée  comme  un  « voile »  dissimulant la réalité des échanges  1.1.1.  « La monnaie est un voile » (Say)  §  Emergence de la théorie quantitative chez les classiques (Jean Bodin, 1530­1596)  La découverte de métaux précieux en très grande quantité dès le début du XVI fait qu’il y a un afflux  considérable  d’or  en  Europe  (Espagne  notamment)  et  parallèlement  à  cet  afflux  massif 

de la valeur d’échange David Ricardo, le libéral pessimiste oeuvre de référence : Des principes de l’économie politique et de l’impôt, 1817 Une croissance non durable la théorie de la valeur-travail Le rôle de la monnaie : la base de la théorie quantitative de la monnaie les hypothèses, à la base de la théorie monétaire, sont Robert Malthus, l’orthodoxe et l’hétérodoxe La misère L’origine de la misère La croissance de la population et des ressources le rôle de l’Etat Une remise en cause de la loi

Dossier n°2 la nature de la monnaie approche conceptuelle Monnaie comme actif Réponse (1) Les apports en théorie monétaire Les apports en théorie monétaire de : 1) Gurley et Shaw ils analysent un processus qui consiste à ajuster les besoins et les capacités de financement par une intervention faite par un agent appelé un intermédiaire financier. Son rôle est de collecter l’épargne des préteurs ultimes par l’émission des titres indirects en vue de financer les emprunteurs ultimes.

la théorie quantitative de la monnaie remonte aux travaux de Jean Bodin en 1568. Ses travaux portaient sur les effets inflationnistes de l'arrivée massive d'or en provenance d'Amérique latine ; cet afflux provoquant une hausse des prix en Espagne et sur le continent européen. Il est toutefois très courant d'attribuer les origines de la théorie quantitative de la monnaie à David Ricardo (disciple de Smith)3. Les classiques (John Hicks en particulier) ont formalisé la théorie quantitative à partir d'une

de manière différente le paradoxe de Smith, en effet le diamant a une utilité marginale plus forte que l'eau. 2. La théorie quantitative de la monnaie. Les classiques séparent les phénomènes réels des phénomènes monétaires, la monnaie n'est qu'un voile. On n'en détient pour financer les échanges mais elle demeure neutre. Cette conception fonde la théorie quantitative de la monnaie : la monnaie en circulation est strictement proportionnelle au niveau de l'activité économique, formulée mathématiquement

provoque la fuite des pauvres ) 4. Développement des banques avec l'apparition des métaux précieux 5. Courants de pensée économique : auteurs : Thomas MUN (1571-1641), Jean BODIN (1530-1596), Antoine DEMONTCHRESTIEN (1576-1621) BODIN : Théorie quantitative de la monnaie : lien entre la quantité de richesse et les prix ( réponse au paradoxe de malestroit):relation strictement proportionnelle entre le volume d la masse monétaire et le niveau des prix. Cette théorie est reprise par l'economiste libéral

LES ECONOMISTES FRANÇAIS ET LE POUVOIR D’ACHAT DE LA MONNAIE  Alain Béraud *      Quand les économistes français lurent the Purchasing Power of the Money, ils s’intéressèrent  d’abord  à  l’équation  des  échanges  et  à  la  reformulation  que  Fisher  proposait  de  la  théorie  quantitative  de  la  monnaie.  Cette  lecture  les  conduisit  à  s’interroger  sur  le  sens  qu’il  convenait  de  donner à cette théorie et à étudier sa portée empirique. Certains d’entre eux, notamment Rueff et  Divisia,  allèrent  plus  loin  et  considérèrent 

pas la règle générale. [Qui ?] En effet, malgré le système actuel, on assiste à une augmentation de la masse monétaire mondiale estimée entre 15 et 20 %[réf. souhaitée] par année sans que l'hyperinflation n'apparaisse. De fait, dans la théorie quantitative de la monnaie, la masse monétaire et l'inflation sont liées par une formule comprenant aussi la vélocité monétaire et la richesse produite : MV = PQ La planche à billets : caricature visant la politique inflationniste de l'administration Lincoln