La nature de la monnaie approche conceptuelle
Monnaie comme actif
Réponse (1) Les apports en théorie monétaire
Les apports en théorie monétaire de :
1) Gurley et Shaw ils analysent un processus qui consiste à ajuster les besoins et les capacités de financement par une intervention faite par un agent appelé un intermédiaire financier.
Son rôle est de collecter l’épargne des préteurs ultimes par l’émission des titres indirects en vue de financer les emprunteurs ultimes.
Définition de la monnaie interne/externe
La monnaie interne : elle est intégrée à l’économie, créée par le crédit aux agents et à l’intérieur de l’économie. Elle concerne le circuit des banques de second rang. Elle exprime une double relation de créances-dettes, l’une annulant l’autre.
La monnaie externe : est créée par le crédit à l’Etat et à l’extérieur. Il s’agit d’une simple relation de créances et de dettes, elle est émise par la banque centrale. 2) Pesek et Saving (1967): ils critiquent l’approche comptable en mettant en évidence une approche économique où la monnaie est un produit des banques, c’est-à-dire un bien de production qui rend des services dans l’échange. Plus elle rend de services, plus le gain de temps sera important : la richesse des individus va augmenter.
Réponse (2) l’analyse de Johnson
Dans le texte, la monnaie est un bien. Selon la thèse matérialiste, c’est de l’or (tradition libérale), selon la thèse nominaliste, c’est un lien social. Dans tous les cas, le pouvoir politique à de lourdes responsabilités quand à la confiance qu’on les agents économiques vis-à-vis de la monnaie.
Réponse (3) les points communs entre l’analyse de Johnson /Pesek et Saving
L’analyse de Johnson repose sur des critiques portés sur l’approche comptable et c’est le cas pour Pesek et Saving.
On a un retour à l’idée de monnaie comme un bien économique. La monnaie rend des services Elle est donc une richesse nette.
Réponse (4)
Analyse du graphique