Lyrisme Impersonnel

poème : « aime » (3 fois), « comprend »(2fois), anaphore « Pour elle seule » (v.6,7) avec répétition d’ « elle »en début de chaque vers de la seconde strophe. ; Enfin, insistance marquée sur les sonorités : « sonore »(v.10), « voix »(v.13,14) b/ Un lyrisme omniprésent la première personne du singulier se retrouve dans tout le texte. Dès le titre, « Mon rêve familier », et début du poème « Je fais »(v.1) + Présence de la première personne du singulier dans toutes les strophes, sauf la dernière ; Intervention

et le vocabulaire noble. Il veut redonner vie à la poésie, en quelque sorte. Lamartine, 1790-1869 Hugo, 1802-1885 Vigny, 1797-1868 Nerval, 1808-1865 Musset, 1810-1857 Cette poésie est au service des idées. C'est une poésie engagée qui mêle lyrisme personnel et engagement dans le temps de l'Histoire. Mais l'échec des révolutions de 1830 et de 1848 et des aspirations libérales va décevoir certains auteurs qui vont se tourner vers une écriture plus repliée sur le « je » et ses souffrances : c'est

se trouvait lorsqu’il l’a composé : la mort de son père et celle de sa cousine avaient endeuillé très tôt son existence. Pourtant, on ne saurait identifier de façon certaine l’énonciateur à l’auteur dans la mesure où le « je » du texte demeure impersonnel, non explicitement associé à la personne de Verlaine. Deuxième mouvement : vers 7 à 12 : …qui entraîne une forme de nostalgie… Dans la deuxième strophe, très brève, le champ lexical de la maladie domine avec « suffocant » et « blême ». Ces

nouvelle poésie que prône l’auteur à travers les vers de son sonnet. _ Joachim du Bellay fait tout d’abord le rejet d’une poésie savante. Premièrement, Joachim fait preuve d’un lyrisme surprenant, sa poésie devient alors très personnelle. Lorsqu’il refuse l’écriture d’une poésie hyperbolique et impersonnelle, Du Bellay pense alors à la remplacer par une poésie du « je », une poésie qu’on pourrait qualifier de lyrique. En effet, l’anaphore « je me » est renforcée par des déterminants possessifs

telle que lui la voit. Selon HUGO, le poète est un élu de « Dieu », envoyer pour guider tout un peuple. Celui-ci est pareil au « prophète ». La poésie est généralement écrite afin de véhiculer des images ou des idées personnelles grâce au lyrisme, ou impersonnelles telle que « L'art pour l'art » Selon BAUDELAIRE et ELUARD le poète est un être différent de l'évocation d'HUGO. C'est un être totalement anodin, qui a pour but de rendre le langage plus gracieux. Pour finir, pour RIMBAUD, le poète doit

de deux phrases : vers 1 à 11, et vers 12 à 14. Division qui marque deux phases : de la vie à la mort (vers 11 : « La Parque l’a tuée… »), après la mort (vers 12 : « Pour obsèques… »). deux points de vue différents : point de vue externe et impersonnel pour les deux premiers quatrains : « on voit » (vers 1), description extérieure ; point de vue interne du poète pour les deux derniers tercets : utilisation des deux premières personnes du singulier. Passage du général au particulier, de l’éloignement

d’avant Elsa est synonyme de désarroi Anaphore de comment, tournures interrogatives et expression du questionnement du poète (strophe 1 + vers 6 et 46) Absence du poète à lui-même (absence de pronoms de première et deuxième personnes, tournures impersonnelles ou infinitives) Images qui évoquent la mort Champs lexicaux qui évoquent la folie, la maladie, la souffrance Métaphore du vers 27 : évoque le mal c) La métamorphose après la rencontre d’Elsa Omniprésence du « tu » Images et vocabulaire

décrète l’inégalité des deux constituants du langage. (« Poésie et pensée abstraite » [1939], Œ, I, 1332)   - l’indissolubilité du son et du sens (Œ, I, 1333) 9 10Ces trois principes définissent ce qu’on pourrait nommer la poétique formaliste et impersonnelle de Valéry 2. C’est celle qui, de tout temps, a obtenu le plus grand retentissement, s’est répandue dans l’enseignement universitaire et a fourni le plus grand nombre de citations et de sujets de dissertation. 11Or, il existe une autre poétique

une inquiétude et une déception aussi forte que son amour du pays natal ? PLAN I. Ce sonnet est un des plus beaux poèmes lyriques du recueil 1) Le premier sentiment exprimé est celui de l’ennui « Heureux qui comme Ulysse » : formule impersonnelle → Du Bellay ne se range pas du coté des hommes fortunés qui ont fait un bon voyage Bonheur souligné par l’élan des 2 premiers vers + l’ampleur de la phase concernant Jason (périphrase occupe les 12 syllabes du vers) Rythme enthousiaste

ultime. Le lyrisme de ces strophes développe une conception du poète comme un être inspiré et privilégié, figure même du sacrifice et de l’amour. Conclusion : Hugo fait donc une construction rigoureuse d’un raisonnement personnel dont la force de conviction est accentuée par la force de persuasion liée aux procédés de versification. Cette vision personnelle sublimée du rôle du poète prend plus de force par l’effacement de l’auteur derrière les tournures impersonnelles. Est développée ici