Lyrisme Impersonnel

(Zola) ou la poésie (Hugo) Exemple : « Lui, seul, battu des flots qui toujours se reforment, Il s’en va dans l’abîme et s’en va dans la nuit. Dur labeur ! tout est noir, tout est froid ; rien ne luit. » Hugo 2. Le registre lyrique Le lyrisme est à l’origine le chant que le poète accompagne de sa lyre. Il consiste à faire partager des sentiments personnels. Il exprime tous les élans de la sensibilité, le sentiment amoureux, l’espoir ou le chagrin. Il vise à montrer la beauté des sentiments

En effet, l’attribution d’éléments naturels à des divinités est courante chez les précieux. Enfin, les figures de style abondent, par exemple les métaphores ‘bouche d’œillet’ ou bien ‘yeux de vive flamme’… Nous ne pouvons donc pas parler ici de Lyrisme, malgré le thème de l’amour, l’apparante expression des sentiments, et la présence du ‘moy’, mais nous parlerons plutôt de jeu littéraire. XVIII [pic] Fragonard – Le Verrou, 1777 Jeune fille, ton coeur avec nous veut se taire Jeune fille

simple et tranquille » mais n'a finalement connu qu'une existence précaire et la déchéance progressive due à l'alcoolisme et aux exigences de sa sensualité. Sa poésie reflète cette dualité: parfois brutalement érotique, le plus souvent empreinte d'un lyrisme confidentiel, musical, doucement triste, tout en nuances, avec des mots choisis pour leur simplicité et leurs sonorités subtiles. Quelques oeuvres à connaître: Poèmes saturniens (1866); Fêtes galantes (1869); La Bonne Chanson (1870); Sagesse (1880)

moderne, E.P.L.U., Buc., 1969) considère que la poésie romantique cultive “les catégories négatives” (p. 15) comme l’amertume, la tristesse , la mélancolie. Elle se fait l’écho de cette rupture avec le monde, rupture entre le moi et la société. Le lyrisme sonde le moi absolu. L’isolement des autres frise l’anormal, le pathologique. Les “poètes maudits” de Verlaine s’esquissent dès maintenant avec cette souffrance du moi incompris qui se retire en soi-même. Cette souffrance devient fierté, orgueil

poème, Ap, tout en retraçant de façon discrète un épisode douloureux de sa vie sentimentale, rend compte d’un sentiment accablé et désabusé de la femme, de l’amour, un des thèmes constants de son œuvre.       Ses échecs amoureux fournissent à Ap un lyrisme neuf et personnel qui humanise la tradition lyrique du XIV où le poète est considéré comme un être supérieur chantant ses amours exceptionnels.       Ainsi, lorsqu’il pleure ses amours, Ap n’est plus un poète au dessus des hommes, mais un simple

romans (Zola) ou la poésie (Hugo) Exemple : « Lui, seul, battu des flots qui toujours se reforment, Il s’en va dans l’abîme et s’en va dans la nuit. Dur labeur ! tout est noir, tout est froid ; rien ne luit. » Hugo 2. Le registre lyrique Le lyrisme est à l’origine le chant que le poète accompagne de sa lyre. Il consiste à faire partager des sentiments personnels. Il exprime tous les élans de la sensibilité, le sentiment amoureux, l’espoir ou le chagrin. Il vise à montrer la beauté des sentiments

transmettre des émotions et d'exprimer sa sensibilité. Dans ce cas là, on parle de poésie lyrique. L'écrivain est alors parfaitement subjectif et développe une certaine confidentialité avec son lecteur qui devient en quelque sorte son confident. Le lyrisme a évolué à travers les siècles est s'est vue éclipsée par d'autres genres littéraires, comme au XVIIe siècle en France, mais existe encore de nos jours. Les auteurs lyrique les plus connus sont Alfred de Musset avec les Nuits ou encore Victor Hugo

principale grandes périodes romantique : La première de 1800 à 1820, celle-ci est liée à la Révolution et à l’Ancien Régime. Les poètes doivent se forger une nouvelle identité quant aux ruines du passé. L’expression du moi et des sentiments, le lyrisme, est un enjeu poétique vital pour exprimer ses émotions. Une nouvelle sorte de poésie nait par conséquent du désespoir et des passions, entre autres, le sentiment de mélancolie. La deuxième de 1820 à 1830, qui a pour but de rechercher un ailleurs

d’ailleurs d’avoir composés. Il connu alors la tristesse et l’amertume de l’exil, il revint incognito à Paris en 1738 mais dut reprendre la route pour Bruxelles où il mourrut en 1741. Encouragé par Malherbe et Boileau, Rousseau cultive le lyrisme impersonnel dans de grandes odes ambitieuses. J’ai choisi ce poème car on voit l’homme qui est décrit tout au long de sa vie à travers Rousseau, et on arrive à la même conclusion que lui. Le poème est constitué de six quatrains. Les thèmes évoqués dans

l’inspiration poétique : homophonie « ver » et vers Conclusion : Caractère transgressif sur 3 plans : - genre poétique - nécrophilie (beauté de la mort ) - philosophie épicurienne Lien avec la charogne Causerie Problématique : comment le lyrisme amoureux est-il défiguré dans ce poème ? Introduction : Baudelaire, sonnet, registre lyrique, titre ironique/antithétique I-Mélange des genres et registres A. Le pathétique Dans les deux premiers vers, poésie romantique : Expression des sentiments