Lyrisme De Musset

de produire des intrigues prenantes et d’écrire dans un style très riche et inventif. En témoigne les œuvres de cette période, Hugo donne la notoriété au roman historique : Notre Dame De Paris (1831). Il assure aussi le triomphe du lyrisme romantiques : Les Oriental ; Les feuilles d’automne ; Les chants du crépuscule ; Les rayons et les ombres ; Les voies intérieures. 3. Le renouvellement des genres. Hugo résume une tendance de la littérature sous l’influence romantique qui est

mythologiques sont liés aux Muses à des titres divers : Orphée, fils dela muse Calliope, Apollon et Dionysos, dieu du vin, de la fertilité, du renouveau et du délire mystique. Ces trois noms représentent trois vocations de la poésie, respectivement : le lyrisme, le déchiffrement du monde et la fureur poétique : Source de l’inspiration Thèmes privilégiés Poésie orphique : Dire son monde Le cœur, l’émotion, les sentiments La déploration, la nostalgie, l’émoi amoureux, la fuite du temps, le regret

pardonné par la reine et aimé d'elle. Si sa destinée est tragique, sa passion amoureuse a fait de celui qui n'était à l'origine qu'un valet, un véritable héros, presque l'égal d'un roi. III/ PRINCIPAUX THEMES ET CARACTERISTIQUES ROMANTIQUES 1) LE LYRISME Le lyrisme est l'expression de sentiments intimes que celui qui parle (personnage ou auteur) cherche à faire partager au lecteur. C'est une caractéristique essentielle de la poésie romantique, mais on peut la retrouver aussi à travers

écrit LES GENRES : -Les récits d’histoires vraies : le texte sera sous la forme d’un compte-rendu historique ou journalistique, une autobiographie ou une biographie - Le théâtre : il est normalement destiné à être représenté sur scène (sauf pour Musset et son recueil Un théâtre dans un fauteuil). On y voit des personnages, un décor. Les didascalies viennent préciser les gestes ou l’expression des personnages. - les genres rattachés au discours argumentatif : L’argumentation prend la forme de l’essai

arrière ; et on se dit : “ J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. ” Il sort. Extrait de : On ne Badine pas avec l’Amour - Alfred de Musset On remarque que c’est Perdican qui monopolise la parole alors que plus haut dans la scène, c’était Camille. Ici, son intervention se résume à une simple question. Perdican lui dicte ici ce qu’elle devra dire aux religieuses, Camille se retrouve à

MUSSET, On ne badine pas avec l’amour (1834) On ne badine pas avec l’amour fut publiée dans la revue des Deux Mondes en 1834, mais représenté en 1861 à la Comédie Française après la mort de Musset. Cette pièce fut composée à l’époque du voyage en Italie avec George Sand, juste avant leur rupture. Ce drame romantique est l’une des œuvres l’est plus connues d’Alfred de Musset. Elle se compose de trois actes et appartient au genre du proverbe dramatique. La présence d’un chœur fait pencher la pièce

Questions préparatoires - LA II-5 (« Il y a deux cents dans ton monastère » jusqu’à la fin de la scène) + III-6 (« Tu l’aimes, pauvre fille » à « tâchez de la faire revenir. ») 1) Faire une recherche sur la liaison entre George Sand et Alfred de Musset. 2) Relire l’acte II, scène 5 et l’acte III, scène 6 (en entier). II-5 3) De qui Perdican parle-t-il au début de notre extrait ? Que leur reproche-t-il ? 4) Comment les décrit-il ? Relevez des expressions et commentez-les. 5) Relevez les

abyme - la quantité ( parallélismes, ..) - Utilisation de règles - Langage soutenu en tragédie - Emploi de l'art des formes d'éloquence - Littérature d'idées - Utilisation de l'ironie et de la satire - Argumentation - Utilisation de la révolte - Lyrisme - Audace de versification (= refus) - Utilisation d'exagérations - Soucis du détail (beaucoup de descriptions) - Utilisation importante du discours indirect libre - Utilisation de situations familières -Beaucoup de termes techniques et langage familier

Lorenzo évoque sa jeunesse, il exprime sa désillusion : « je marchais », « je croyais », « j’avais commencé », « j’entrai », « je vis », « j’ai vu » / « je me suis dit », etc. Lorenzo revient à la réalité (dernière réplique). Le lyrisme s’oppose au prosaïsme : On observe les nombreuses occurrences des pronoms de la première personne, les images et les comparaisons (« comme un enfant de dix ans […] », « l’humanité souleva sa robe, et me montra […] sa monstrueuse nudité »,

l’exotisme), mélancolie, valorisation de l’individu, une nature complice. Le genre dominant est la poésie. → Chateaubriand, Lamartine, Musset, Hugo, Vigny, Nerval Le Parnasse : Mouvement poétique en réaction contre le Romantisme. Il s’attache à « l’art pour l’art ». → Gautier, Heredia, Leconte de Lisle Le Réalisme : Mouvement en réaction contre l’idéalisme et le lyrisme du Romantisme, ayant pour objectif de décrire la société, le plus fidèlement possible, dans sa dimension historique et sociale. Le genre