Lorenzaccio Conclusion

» (I, 3) (au lendemain de « carnaval » (I, 2) et du mariage de la fille Nasi) - Fin dans une distribution au peuple de « vin » et de « comestibles » (V, 1) + l'élection de Côme et le retour à une tyranisme. => tragique carnavalesque ? III. Conclusion Duc, est ce personnage pivot autour de qui tournent tous les enjeux : il est l’homme qui pervertit et débauche tout en imposant une loi dont lui-même sera la victime, pour sombrer dans l’indifférence générale. 2 Le personnage d’Alexandre

d’ailleurs à don Juan (même s’il ne donne pas le titre de la «pièce espagnole» qu’il évoque page 25) et ayant toujours craint, au milieu de ses débauches, de recevoir «la poignée de main de la statue». Cette débauche, il s’en confesse à la façon de Lorenzaccio. Car, s’il rapporte ses débordements («Nous nous jetions sur une table, buvant à en perdre la tête ; au milieu de la nuit nous prenions des chevaux de poste, et nous allions déjeuner à dix ou douze lieues dans la campagne ; en revenant, au bain

- Utiliser des feuilles simples, écrire sur le seul recto, numéroter les feuilles. - Numéroter les parties, souligner les titres, aérer les paragraphes. - Noter le plan sur la feuille 1. - Utiliser une feuille ou plus par partie. - Écrire la conclusion sur la dernière feuille. II° Élaboration du contenu - S'interroger : Que doit-on transmettre à l'auditoire, en combien de temps et avec quels moyens techniques. - Lecture survol pour trier les documents collectés - Lecture intégrale pour prise

de la « pièce espagnole » qu’il évoque page 25) et ayant toujours craint, au milieu de ses débauches, de recevoir « la poignée de main de la statue ». Cette débauche, il s’en confesse à la façon de Lorenzaccio. Car, s’il rapporte ses débordements (« Nous nous jetions sur une table, buvant à en perdre la tête ; au milieu de la nuit nous prenions des chevaux de poste, et nous allions déjeuner à dix ou douze lieues dans la campagne ; en revenant

et le temps – « Je dis : douceur des mots / le Quand tu harassant / Et que des mots t’accueillent / Qui te donnent rentres le soir du travail Terre à bonheur). C’est du temps » (« Douceur », également le projet d’Yves Bonnefoy (texte A). [Lisez conclusion du commenta ire.] la III Cependant ce n’est pas cet espoir qui définit la poésie III-1 L’échec qui hante le poète Argument – Il semble difficile pourrait anéantir tout espoir de prononcer le mot « espoir poésie car le poète est souvent » quand

événement 3. Retour à l’empire Plébiscite – « prince – président » Corps Législatif – Sénat – Conseil d’État – « césarisme démocratique » Image de la République – 1962 et l’élection du président de la République au suffrage universel direct Conclusion Séquence 7-HG11 163 © Cned – Académie en ligne A L’illusion lyrique fracassée La Révolution de 1848, une « immense espérance » Depuis 1846, la France était affectée par une profonde crise économique (cherté des produits alimentaires

Marivaux et ses comédies Ses comédies sont plus psychologiques que celles de Molière. Marivaux s'intéresse à l'amour et plus précisément à la naissance de l'amour chez les personnages féminins et les débats intérieurs, les résistances qu'il suscite. CONCLUSION mise en abyme : Genet – Les Bonnes ; Camus – Caligula 18° siècle : Fin de la pièce Extrait n°2 : Cyrano de Bergerac (1897) d’E. Rostand (III, 7) Problématique : Quelles sont les fonctions de la mise en abyme ? I- La mise en abyme permet un moment

essentielle de la poésie. À notre tour de répondre à cette question personnelle. La poésie est-elle un art de la représentation ? La poésie est-elle un instrument d’action ou de connaissance ? La poésie est-elle un langage, un « chant de l’âme » ? Conclusion La poésie est-elle un art de la représentation ? Depuis le poète Horace, la poésie a souvent été considérée comme une peinture, une représentation agréable de la nature. Sa mission est d’apporter le pittoresque. La plus belle poésie serait une

contrairement aux modèles précédents (épique et idéologique), la déconnexion de l'éthique et de l'esthétique (déjà soulignée par Kierkegaard). Malgré ce que laisse croire une conception naïve du héros, celui-ci n'est en rien comptable de la morale commune. Lorenzaccio, Hernani, Ruy Blas... : les romantiques ont inventé des héros qui mêlent en eux le bien et le mal – tel est même le fondement de leur esthétique. Lancelot, épris de la reine Guenièvre, était-il donc un modèle de vertu? Et le propre des héros tragiques

Séquence n°1 : D’un pays à l’autre Etude d’une œuvre intégrale : L’Or de Cendrars (1925) Objet d’étude : Le roman et le récit du XVIIIe siècle au XXIe siècle.Objectifs :· Etudier un roman d’aventures· Etudier un roman qui s’inscrit dans le renouvellement des formes romanesques du début du XIXe siècleTextes étudiés :1. Incipit du roman2. Grandeur et chute, sq 26-27, chap. 6-73. L’or m’a ruiné, sq 31, chap. 94. Epilogue du roman, sq 73-74