Lois Scolaires De Jules Ferry

n'ont pas eu une éducation solide. En effet, ils ne font partis de la génération des grandes évolutions dans l'éducation. En effet, les lois Guizot sur l'obligation des communes à avoir une école primaire de garçons ou la loi sur la gratuité ou de l'obligation scolaire jusqu'à 13ans datent réciproquement des années 1833, juin 1881 et mars 1882. L'école de Jules Ferry, est là pour éduquer les masses, créer des citoyens. Dans l'extrait, on peut noter que le maître d'hôtel utilise certes un nouveau

pas par tous les moyens de lui extorquer des communiqués destinés à faire bonne impression sur les membres de l’Académie des Sciences, afin d’obtenir, pour son compte personnel, les prestigieuses Palmes Académiques… Pierre Curie a eu un parcours scolaire original : il n’a fréquenté ni école ni lycée ! Ses parents, son frère puis un professeur ami de la famille se chargent de son instruction. Il rejoint finalement la Sorbonne où il passe sa licence de physique à l'âge de dix-huit ans. En 1880, il

devait prévaloir dans l’opinion française jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, encore qu’elle eût été fort discutée jusqu’en 1870. Elle explique que, en dépit de quelques tentatives d’hommes favorables à un régime de protectorat, tels Napoléon III et Jules Ferry, le souci de favoriser les colons l’ait presque toujours emporté sur la politique indigène. La prise de possession des terres La colonisation française reposa essentiellement, en Algérie, sur le principe de la «colonisation

protéger le droit de propriété, et garantir la sécurité de tous. Les républicains progressent aux élections partielles pour remplacer certains députés entre 1871 et 1873. Et en 1875 les députés votent plusieurs lois constitutionnelles pour définir le fonctionnement des institutions. Ces lois sont des textes de compromis : • Les républicains sont satisfaits par le nom du régime, que celui-ci soit affirmé et par le fait que la chambre des députés ai un pouvoir législatif important. • Les monarchistes

politique se constitue tel un paradoxe. Document o3 : anomie et déviance, école n’intègre plus à la société, ne socialise plus comme avant > baisse du rôle de l’école dans la socialisation. L’école instaurée sous la IIIème république par les lois de Jules Ferry a pour but de transmettre les valeurs de la république, une culture commune, une pratique du français, un esprit critique et un contrôle de soi. L’école joue donc un rôle d’intégration de l’individu au sein d’une nation en dotant tout le monde

depuis 1936 I. 1936 – 1959 : Rupture avec la distinction entre primaire et secondaire A. La situation de l’enseignement en 1936  1. L’organisation de la scolarité depuis Ferry 2. Un dualisme entre l’école libre et l’école républicaine 3. Conditions de travail des élèves : la classe préparatoire à 6 ans ? B. 1936 – 1939 : Le Front Populaire au pouvoir 1. Une première tentative de démocratisation de l’enseignement 2.

nationalités migrantes. Les cotas de 1921 établissent que le nombre maximum de migrants d’une nationalité chaque année correspond à 2.1% de la population de cette nationalité sur le sol américain en 1910. Mais en 1910 il y a beaucoup d’italiens donc les lois de 1924 se basent sur l’année 1890. * Les grands foyers de départ 40% des migrants européens viennent de UK, 16% d’Italie et 13% d’Allemagne vers des pays extérieurs à l’Europe entre 1900 et 1913. La Chine envoie de la main d’œuvre vers Australie

fonctionnelles 8 Perspectives d’usage 11 Les ressources 16 Conditions à satisfaire pour un usage A l’école 17 Présentation des Expérimentations Collège des Baous à St Jeannet 18 Collège St Hilaire à Grasse 20 Collège Jules Ferry à Hyères 21 Collège Gustave Roux à Hyères 22 Collège Port Lympia à Nice 24 Collège Niki de St Phalle 26 Lycée Bonaparte Ce document peut être consulté directement sur le site de la MATICE http://www.ac-nice.fr/matice/

Belle Epoque 1870/1914  : début de La Belle Epoque Documentaire : « C’est pas sorcier » Contexte :- Culture politique de la Troisième République (proclamé le 4 septembre 1870)- Perte de l’Alsace/Lorraine- 1881-1882 : lois Jules Ferry (école gratuite, laïque, obligatoire)- Revanche (Alsace et Lorraine)- Exode rural (et migration quitte sa région pour aller chercher du travail ailleurs) à Paris – Breton, auvergnions qui tiennent les cafés, commerce charbon, savoyard )= ramoneurs…-

autorise le divorce mais celui-ci reste difficile et l'adultère des femmes est plus sévèrement puni que celui des hommes. La même année on revient sur l'obligation légale des prières publiques à l'ouverture des sessions parlementaires. - La législation scolaire – qui sera plus longuement évoquée lors d'une séance ultérieure s'inscrit évidemment dans la perspective de promotion de la laïcité, mais aussi de la liberté. Il s'agit en effet d'affranchir les esprits de l'emprise du dogmatisme et de l'antilibéralisme