Lois Barbares

épées de bois, épieux). L.6,à 26 : Châtiment, acte même de Cannibalisme L.26à 34 : Point de vue de l'auteur L.35à 46 : Exemples précis justifient la barbarie L.47à49 : Conclusion THESE : Montaigne dit ici que les cannibales ne sont pas aussi barbares qu'ils le paraissent. Quel regard Montaigne pose-t-il sur les sauvages ? Le mode d'argumentation utilisé par Montaigne réussit-il à convaincre le lecteur et comment légitime t-il sa version ? Utilisation de phrases complexes, des périodes très

différencient des romains tout en conservant certaines de leurs techniques juridiques ? Clovis tout en gardant pour but premier l’unité juridique ne pouvait reconnaître comme judicieux l’esprit du droit romain (I). Cependant, tout comme Clovis, les chefs barbares qui avaient pris la relève de l’autorité romaine n’étaient pas favorables à l’idée de faire table rase du passé (II) : Plan : I-) Volonté de rupture coutumière entre le droit salien et le droit romain. Clovis en entreprenant ce projet de

moral. III-Apologie. On est dans le vif du sujet de la l6 à 15 avec le champ lexical du cannibalisme. barbares l.17 à 26 l.26 à l.28 remet en cause notre barbarie - vocab mélioratif l.7 et 8 = hyperbole - champ lexical de la solidarité l.10-11, sociabilité à travers les actes , ils agissent comme un groupe. Les cannibales craignent leur victimes, cela les humanise. les dits « barbares » semblent bien humains et civilisés l6 à 15 l.15-16, nouvel argument (illustré d’un exemple), ce qui

réflexion sur le mot barbare 2. Le mot sauvage et l'état de nature 3. Un jugement personnel? II) La dimension argumentative: Une manière originale d'envisager l'oppostion 1. Dénonciation de l'ethnocentrisme* des Européens 2. Un plaidoyer pour un état de nature 3. Comparaison finale avec l'âge antique et l'éloge des cannibales (*Ethnocentrisme: tendance à privilégier les normes sociales de son pays) I) Réflexion personnelle sur le sens des mots 1. Une réflexion sur le mot barbare ➔ "Il n'y a rien

terribles actes commis par les conquistadors, menés par la soif de l’or. Tout d'abord, son premier argument sera :Le refus de la barbarie généralisée envers un peuple : Aux yeux de Las Casas, le peuple qui détruit un autre peuple dit « barbare », est aussi barbare que l'autre. Las Casas va alors refuser l'argument de la sauvagerie de l'état face à une civilisation quelle conque Ensuite, son deuxième argument sera :Il ne faut pas juger trop vite: Las Casas est certain qu'un homme ne peut juger

dans la plus grande harmonie. Dans ce texte les villes apparaissent comme des espaces structurés, des lieux d'immigration mais aussi d'exclusion, des carrefours où se rencontre dans le plus complet désordre des espaces et des temps différents. Les barbares de la Grèce, ces étrangers qui ne sont pas de la ville, qui ne sont pas civilisés, se perdent dans ces espaces qui ne sont pas à dimension humaine où qui ne leur sont pas accessibles. Les villes modernes reproduisent en les grandissant les merveilles

détruit les civilisations heureuse : prosélytisme ( on force une communauté à devenir des adeptes d'une partie, d'une religion ). Diderot met en avant une civilisation qui vit en harmonie avec la nature et montre qu'on est loin des sauvages, des barbares, c'est le mythe du bon sauvage. Ce texte se rapproche de l'utopie.

ceux que l’on désigne ainsi. C’est ce que note Lévi-Strauss dans son ouvrage Race et histoire dont nous vous recommandons la lecture. Il montre ainsi en quoi cette attitude consiste à désigner l’autre comme un barbare, attitude qui est une forme de barbarie. D’où cette formule : « Le barbare c’est celui qui croit en la barbarie ». Montrez donc les limites d’une telle attitude et mêmes ses dangers. Faut-il alors en déduire que toutes les cultures se valent ? La question devient celle du relativisme

de -750 avant JC. Ils ont pendant longtemps été vus comme des barbares. Il est important de définir le terme ‘’barbare’’. En effet, pour les grecs puis pour les romains, le barbare désigne le peuple qui ne parle pas la même langue qu’eux (grec ou latin). Par extension, ce terme désigne les étrangers c'est-à-dire les peuples qui n’ont pas une culture gréco-romaine. Le terme possède également un sens péjoratif qui est définit le barbare comme une personne violentes, sauvage et non civilisé. Nous

réfléchir et de critiquer la civilisation , c'est un outil, une arme critique. la société occidentale est ethnocentrique : elle pense que sa culture et son mode de vie sont ceux de bases« or je trouve, pour revenir à mon propos, qu'il n'y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu'on m'en a rapporté,sinon que chacun zppelle barbarie ce qui n'est pas de son usage; comme de vrai, il semble que nous n'avons autre mire de la vérité et de la raison que l'exemple et idées des opinions et usages