Loi Portant Sur Le Statut De La Collectivité Territoriale De Corse

cette institution peut constituer une collectivité (le gvt, le conseil général, le conseil municipal…). Une institution administrative a des compétences qui peuvent être soit générales (1er M, maire, préfet), soit spécialisées (ministres, les différentes directions départementales ou régionales de l’Etat). On peut même parfois parler de compétences particulières tellement elles sont spécialisées. Elle peuvent avoir une autonomie très large (collectivité territoriale par ex.), ou au contraire elles peuvent

est représentée par le Sénat. Cette assemblée est élue selon un mode de scrutin complexe mêlant représentation proportionnelle et majoritaire. L’élection de ses membres est faite au suffrage universel indirect par des représentants des collectivités territoriales, les sénateurs sont donc des « élus d’élus ». En conséquence du mode d’élection précédemment décrit, il en résulte une faible alternance au sein du Sénat, pour ne pas dire quasi inexistante. On précisera toutefois que l’on entend ici le

grande crise nationale (1940) à la tête du gouvernement de la République française », « ce n’est pas à 67 ans que je vais commencer une carrière de dictateur ». Le 24 mai 1958 les membres du Comité de salut public vont élargir leur action à la Corse, les membres favorables au Général de Gaulle se rallient. Il y a une extension du mouvement ainsi que la mise en place d’un plan d’action, « plan de résurrection » le Comité de salut public en cas de récidive du retour du Général de Gaulle, des parachutistes

directe B La théorie de la loi écran Section II Les conventions internationales et le droit communautaire § 1 Les traités et accords internationaux A Le contrôle de la procédure B Conditions d’application C Champ d’application D Interprétation E Modalités d’application § 2 Le droit communautaire dérivé A Les règlements B Les directives § 3 La Convention européenne des droits de l’homme Section III La loi § 1 Définition de la loi § 2 Application de la loi A Applicabilité de la loi 1 Droit Administratif

Introduction générale §1 : La notion d’administration A. L’approche matérielle L’administration est considérée comme une activité, comme une gestion. Définition : c’est une activité d’intérêt général qui a pour fonction de gérer les besoins de la collectivité. Aspect traditionnel : exercice du pouvoir réglementaire par l’exécution juridique des lois comme les arrêtés municipaux. Aspect récent : l’administration est prestataire de services, fournit certains bines comme la création de cantines, de crèches

d’organisation des sociétés politiques, il faut savoir qu’au cours des dernières décennies d’autres formes d’organisations ont fait leur apparition comme l’UE. Loi de 1905, séparation de l’église et de l’Etat. L’état est souvent associé à la notion de pouvoir central par opposition au pouvoir qui est exercé par les collectivités territoriales de sorte que l’état désigne le pouvoir qui est exercé par les gouvernements sur les gouvernés, il s’agit d’une société politique qui est considérée comme organisée

Faculté de Droit et de Science Politique INTRODUCTION PARTIE 1 : LA SÉPARATION VERTICALE DES POUVOIRS Chapitre 1 : L'État fédéral Section 1 : Les lois du fédéralisme Paragraphe 1 : La loi de superposition Paragraphe 2 : La loi d'autonomie Paragraphe 3 : La loi de participation Section 2 : La transformation des États fédéraux Paragraphe 1 : Le droit de sécession Paragraphe 2 : L'éclatement des États fédéraux Chapitre 2 : Les États régionaux Section 1 : La reconnaissance

Implique qu’une loi ne peut pas attribué des compétences normatives que la Constitution réserve au législateur. La réforme constitutionnelle de 2003 (la république décentralisée) ne remet pas en cause l’unité de la république. 3 conséquences de l’indivisibilité : indivisibilité du territoire/du peuple (Cconstitutionnel 9mai 91, 15 juin 99 charte européenne des langues régionales = principe d’unicité du peuple.)/ de la souveraineté. Laïque : consacré en France depuis la loi du 9 déc. 1905. La

la Révolution, on considère que la loi votée par le parlement est le meilleur rempart contre l’arbitraire. Il y a donc une sorte de sacralisation de la loi (« le roi ne peut mal faire ») puis, après la Révolution nouvel adage «  La loi ne peut mal faire » : se crée le mythe de l’infaillibilité de la loi. En même temps, juste après la révolution s’instaure en France une méfiance à l’égard des juges. Cela donne suite à la loi des 16 et 24 aout 1790. Cette loi prévient que les tribunaux ne peuvent

les hommes et va créer la coutume (le droit médiévale) LA COUTUME – constatation par écrit défini comme un usage qui devient une régle juridique. LES LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME – elle sont privilégiées par rapport aux lois ordinnaires ; cette loi s’impose au souverain. Ainsi il y a une differenctiation qui s’amorce entre l’état indépendant au souverain et la personne du Roi avec ses propres intérets. L’édit de Moulain (1506) affirme l’inéliabilité du domaine publique car l’incapacité de