Loi Laique 1880

institutions  nouvelles  fondées  sur  l’idéal  commun  de  liberté,  d’égalité  et  de  fraternité  et  conçues  en  vue  de  leur  évolution démocratique.   Art.  1er :  La  France  est  une  République  indivisible,  laïque,  démocratique  et  sociale.  Elle  assure  l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle  respecte toutes les croyances.   Art.  2 :  La  langue  de  la  république  est  le  français.  L’emblème  national  est  le  drapeau 

confié aux institutions religieuses. Second Empire[modifier]Le Second Empire est le théâtre de plusieurs avancées dans le domaine de l'éducation des femmes. Sous la IIe République, la loi Falloux avait fixé en mars 1850 l'objectif d'une école primaire pour filles dans chaque commune de plus de 800 habitants[1]. La loi Duruy de 1867 aligne ce seuil sur les standards masculins en le fixant à 500[2]. Les programmes restent définis en fonction des rôles sociaux assignés aux femmes (y figurent les travaux

------------------------------------------------- A la fin du XIXe siècle, l’institution scolaire connaît l’un de ses plus grands changements avec notamment les lois Ferry de 1881 rendant celle-ci gratuite, laïque et obligatoire, ce qui entraîne une augmentation de la population scolaire. Parallèlement, la loi du 27 janvier 1880, dite loi GEORGES, rend la gymnastique obligatoire dans tous les établissements d’instruction publique de garçons. Cette mesure est accompagnée d’un texte régissant la discipline, qui la rend très

a) Être attaché aux lois de 1880 * 1881 : élections. Majorité républicaine * 1881 : lois sur liberté de presse et de réunion * 1882 : Jules Ferry : école obligatoire, laïque et gratuite * 1884 : liberté syndicale * 1884 : loi sur le divorce * 1884 : proclamation de la République comme gouvernement définitif français * 1887 : loi sur la liberté de funérailles b) Soutenir le régime parlementaire malgré les crises * 1880 : 14 juillet devient fête nationale

citoyenne restée lettre morte. Code civil de 1804 Document 3 p 357 ou 3 p 361 1 p 354 1 p 356 1-3 Limites persistantes : A travail égal, persistance de salaires inférieurs. Poste à responsabilité encore très trusté par les hommes. La loi va plus vite que les mentalités. Assurent toujours l’essentiel des tâches ménagères. 2-1 Situation antérieure : Citoyennes mais absence totale de rôles politiques avant 1944. Peur que les femmes soient notamment le relais du cléricalisme et permanence

exceptionnelle il peut suspendre le cours de la justice et confier son administration à l’autorité militaire. - il joue un rôle essentiel au sein du pouvoir législatif c'est-à-dire qu’il a seul l’initiative des lois et il sanctionne/promulgue cette loi (=il détient un véto absolu). - il garde la maîtrise des modifications constitutionnelles, en effet, le sénat peut proposer des modifications mais seul le chef de l’état peut les accepter. S’il les accepte, il est également le seul à pouvoir convoquer

fonde le second Empire et prend le nom de Napoléon III. La défaite militaire face à la Prusse provoque la fin de l'Empire et la perte de territoires : l'Alsace et la Lorraine (source de tension entre les deux pays jusqu'au milieu du 20ème siècle) 1880 1890 1900 1910 1920 1930 1940 Portrait de Napoléon III dans son cabinet de travail aux Tuileries Tableau de J.-H. Flandrin, 1861, musée du château de Versailles. 1848-1852 : la Seconde République. Louis Napoléon Bonaparte, neveu de Napoléon 1er

appartiendra à la Loge « Alsace-Lorraine » Le défenseur de l’école laïque Nommé ministre de l’Instruction publique du 4 février 1879 au 23 septembre 1880 dans le cabinet Waddington, il attache son nom aux lois scolaires. Ses premières mesures sont : * collation des grades universitaires retirée à l’enseignement privé (12/03/1880) * dispersion des congrégations religieuses non autorisées (29/03/1880) Président du Conseil du 23 septembre 1880 au 10 novembre 1881, il poursuit la mise en place des lois

les évêques, le pape confirmant leur investiture. 1870-1905 Le laïciste de l'école Nommé ministre de l'Instruction publique du 4 février 1879 au 23 septembre 1880 dans le cabinet Waddington, il attache son nom aux lois scolaires. Ses premières mesures sont : loi relative à l'obligation et à la laïcité de l'enseignement (28 mars 1882). Cette loi est une suite logique de celle portant sur l'obligation scolaire. C'est une obligation d'instruction et non de scolarisation. Jules Ferry, anticlérical mais

s’agit de ne pas fragiliser l’unité monarchiste entre orléanistes (favorables à une monarchie constitutionnelle avec les acquis de la Révolution) et les légitimistes (favorables à un retour pur et simple à l’Ancien Régime). En août 1871, la loi Rivet donne à Thiers le titre de Président de la République en attendant que l’on statue sur les institutions définitives du régime. La gestion du pays par Thiers a pour effet le renforcement de la République provisoire dont les traits, socialement