Loi Et Coutume

mesure ou elle devient susceptible de coercition. il souligne la tendance des tribunaux à sanctionner l’abus des droit c’est a dire l’usage de se droit conformément à la lettre d’un texte qui le prévoit met en contradiction avec le but poursuivie par la loi. lorsqu’il à accordée se droit. ex1: le droit d’agir en justice, ce droit est un droit fondamentales qui est protéger par divers texte(convention européenne des droit de l’homme), les tribunaux sanctionne l’exercice abusif d’agir en justice, ce droit

CM Droit anglo/saxon Système différent du droit français par « accident géographique » avec invasion île britannique au début moyen-age, importation du droit normand cependant respect des coutumes et lois britanniques originelles. Pacte entre monarchie et peuple. Le souverain est donc en dessous des lois. Absence de Constitution écrite. Séparation des pouvoirs officiellement reconnue en 2005 même si appliquée depuis bien plus longtemps. Par exemple cour suprême de justice était une chambre

difficulté de manière spécifique dans la mesure où les lois pénales sont d’interprétation strictes et surtout l’art. 111-3 du code pénal prévoit que « nul ne peut être puni pour un crime, un délit ou une contravention, qui n’aurait pas été défini par la loi ». L’art. 111-4 prévoit que les lois pénales sont d’interprétation stricte. 2ème paragraphe : la règle de droit, une règle impérative C’est sans doute le caractère impératif qui illustre le mieux la règle de droit avec l’exemple du droit pénal

hiérarchisées : cela signifie qu'il existe divers degrés dans les normes et qu'une norme d'un degré doit respecter et mettre en œuvre celle du degré supérieur. La loi, de 1789 à 1946, était en France la norme suprême, c'est à dire qu'il n'y avait pas de norme au-dessus d'elle : on parle dans ce cas de légicentrisme, doctrine selon laquelle la loi est la seule expression de la souveraineté, disposant d'une autorité suprême dans l'ordre juridique national. Cependant, cette doctrine a montré des faiblesses

et aux coutumes de son pays ? De cet énoncé, nous pouvons d'or et déjà extraire une définition de ce que serait l'attitude juste. A savoir que, être juste, ce serait obéir aux lois et coutumes de son pays. Mais il va de soi que cette définition du juste n'est pas la seule que nous pourrions accepter. Nous sommes aussi en droit de nous demander si, être juste, consiste t-il a obéir au droit naturel ou bien au droit positif ? Nous allons donc essayer de déterminer à quelles conditions la loi pourrait

voire des « sciences juridiques et politiques ». Pourtant le droit, pas plus que la politique, n’est une science exacte : les mêmes causes n’y produisent pas toujours les mêmes effets. Un art, donc, mais lequel ? Celui du législateur qui « porte » la loi ? Celui du juge qui « dit » le droit ? Celui des professionnels qui le pratiquent ? Celui de la doctrine qui le commente ? Les approches du droit sont multiples, ses domaines sont nombreux : on parle volontiers aujourd’hui du droit de ceci, ou de cela

particulière cependant la généralité de la règle ne signifie pas qu’elle s’applique à tout le monde et dans toutes les situations. La règle s’appliquera uniquement aux personnes et aux situations qui se trouvent dans son champ d’application. Si un texte de loi vise une personne déterminée ou une situation concrète, ce texte ne contient pas de règles de droit mais des normes individuelles. Permanence = applicabilité constante de la règle pendant tout le temps où elle est en vigueur La règle à un commencement

chrétien et les enseignements chrétiens. Elle va être remise en cause par St Thomas d’Aquin. Il écrit au 12ème siècle une somme théologique et cet ouvrage va partir de l’idée que le droit purement sacral est complètement inadapté à la vie médiévale. La loi évangélique gouverne la vie des fidèles. Dans la recherche d’une définition du droit idéal, St Thomas d’Aquin va proposer un idéalisme juridique. Il va reprendre le droit naturel d’Aristote et fonde une philosophie du droit inspiré d’Aristote, mais

d'une centaine de texte. Il n'y a donc rien de comparable entre la loi des XII Tables et les 2281 articles de notre code civil . Ce faible développement de la théorie juridique s'explique en partie par l'inculture de la population romaine. La publication de la loi des XII table au milieu du Ve siècle eut notamment pour effet le renforcement de la procédure dite des actions de la loi . Les historiens romains présentent la loi des WXII Tables comme le résultat principal du conflit entre plébéiens

d’élaboration d’une règle de droit ♦ Connaître les sources du droit français et la hiérarchie des normes ♦ Connaître les principes et les conditions d’application de la loi § dans le temps § dans l’espace ♦ Connaître les principes, les méthodes et les techniques d’interprétation de la loi ♦ Connaître le rôle de la coutume ♦ Connaître les pouvoirs et les devoirs des juges ♦ Identifier les caractères de la décision de justice ♦ Connaître le rôle de la doctrine, source indirecte du droit