Litote

et les résolutions du loup au présent. Enfin, on observe une antithèse à la rime, entre humblement et hardiment. Le mot embonpoint appartient au vocabulaire humain Passage au style direct (paroles du chien) [pic]  « Il ne tiendra qu’à vous » = litote. D’après le chien, c’est la faute du loup. [pic]  « beau sire » = hyperbole. Respect ultime, l’instinct semble revenir au chien, il a peur du loup, et cherche par ce qualificatif à amadouer le loup afin d’éviter une lutte. [pic]  « aussi gras que

personnelle et de celle de son mari qu’elle se livre à lui. 4) Un aveu en sourdine qui contraste avec la manière dont il est annoncé. La princesse s’exprime par allusions en utilisant des termes vagues, des tournures abstraites, des périphrases et des litotes. Exemples : * « des raisons de m’éloigner » : « raisons » est un terme abstrait qui évite de nommer le sentiment éprouvé et la personne qui l’inspire. * « les périls où se trouvent les personnes de mon âge » : « périls », terme péjoratif qui appartient

évoquer pudiquement des sujets tabous (la mort, la souffrance, la maladie, la sexualité, etc.) Exemple : Mes parents ont fait endormir leur vieux chat. Litote : Elle consiste à en dire moins pour en suggérer davantage. La litote repose essentiellement sur l’idée que le sens implicite peut parfois être plus fort que le sens explicite. La litote est généralement construite sur une double négation. (Source BDL) Exemple : Ouf! Il ne fait pas froid ici! Autrement dit, il fait vraiment chaud. D)

vocation à être mis en lumière par l'analyse et par l'intellectualisation. 3 - Les limites de l'affirmation de Gide a) L'art de la suggestion, vu sous l'angle stylistique Au plan stylistique, le texte est rempli d'euphémismes et de litotes, qu'on peut considérer comme des traits galants de l'époque, et aussi de périphrases abstraites à propos de l'émotion, pour enrober toute expression du sentiment et surtout de la sensualité dans la bienséance. Mais ces mêmes expressions relèvent de

de la ponctuation, du rythme et de la longueur des phrases, des figures de sens ou tropes ( métaphores, allégories, comparaisons, gradations, métonymies, synecdoques, périphrases, antonomases...)  des figures de la pensée (antiphrases, hyperboles, litotes, euphémismes...), des figures d'énonciation ( l'apostrophe, la prosopopée...), des figures de construction ( la symétrie, le chiasme, l'antithèse, l'asyndète, l'ellipse, la parataxte...), des figures de répétition ( l'anaphore, l'épanalepse...) :

insiste pour que le roi et «nos français» vienne les enterrez «en des aîtres d'église» . À la laisse 133, intervient le personnage de Ganelon qui , répondant directement à son roi , Charles , commet un lèse-majesté en le traitant de menteur par cette litote :«Qu'un autre l'eut dit certes, on y verrait un grand mensonge». De plus à la laisse 134, entendant le cor de Roland il traite même son roi de sénile en disant qu'il est « vieux , (son) chef est blanc et fleuri :par de telles paroles (il semble) un

dame » L22 et par certaines de ses phrases : « Votre départ m’oblige à parler...Il serait au dessus de mes forces de ne plus vous voir » . Certes jamais l’aveu n’est franchement prononcé, mais dans le milieu social de Mathilde les implicites ou la litote sont aussi forts qu’un «  je vous aime ». Il faut considérer aussi que c’est Mathilde qui fait -les premiers pas- et si l’on pense aux origines sociales de julien, elle déroge à sa condition, preuve supplémentaire de la force et de la sincérité

la mère supérieure fait preuve d’hypocrisie à l’égard de Suzanne, notamment lorsqu’elle affirme à la L30 : « Personne ne remplit mieux ses devoirs que vous », elle cherche ici à apprivoiser Suzanne en la flattant à l’aide d’une hyperbole et d’une litote. Ces changements d’attitudes ne laissent pas penser qu’on puisse avoir confiance en cette femme, d’autant que, à la L1, lors du monologue intérieur de Suzanne, on remarque l’absence de « mère » lorsqu’elle parle de « la supérieure », en effet, elle

doit m’être indifférent, et me l’est en effet ». Phrase en deux temps, on a l’impression qu’elle se reprend, se corrige elle-même. Elle formule son désir en le refoulant : principe de la dénégation. •L’aveu de Silvia apparaît sous la forme de litotes, elle déguise sa pensée mais laisse ainsi deviner la vérité (dire le moins pour dire le plus) : « je ne te hais », « je ne songe pas à toi » De la surprise de l’amour à l’épreuve de l’amour: une scène grave L’amour comme souffrance et déraison

Fontenoy, il reçoit un coup de feu dans le genoux. Donc ce sont tous ces évènements qui vont conduire aux amours de Jacques dont on attend qu’il raconte l’histoire, ces évènements sont racontés de façon chronologique avec la concision jusqu’à la litote L¡15 : il prend un bâton et me frotte durement les Épaule　. Pendant la discussion, le maitre va avoir 2 attitudes très opposées. D’abord une attitude bienveillante, agréable qui est animée par l’envie de savoir, de découvrir l’histoire des amours