Litote

jambes en l’air comme une femme lubrique » : comparaison « Brûlante et suant les poisons » : appel au sens du toucher et métaphore « poisons » « son ventre plein d’exhalaisons » : appel au sens de l’odorat et connotation négative « son ventre » : litote « le soleil rayonnait sur cette pourriture » : description « rayonnait » « pourriture » : antithèse « à la grande Nature » : personnification de la nature « carcasse superbe » : oxymore « carcasse superbe comme une fleur s’épanouir » : comparaison

l’adhésion du lecteur. L’auteur discrédite alors sa thèse adverse en soulignant son absurdité et s’appuie sur l’implicite révélant une visée argumentative indirecte de la part de celui-ci. Ainsi, le lecteur peut remarquer dès les premières lignes une litote : « un poète médiocre, qui n’était pas médiocrement dure », qui est une figure de style caractéristique du registre ironique. Après cela, Voltaire eut aussi recours aux hyperboles : « un des plus terribles savants », à la gradation « processions,

opposition | ANTITHESE | ELLIPSE | OXYMORE (masc.) | ZEUGMA | CHIASME (masc.) | ANACOLUTHE (fém.) | ANTIPHRASE | INVERSION | PARADOXE | CHIASME | D’atténuation | EUPHEMISME | HYPALLAGE | LITOTE | PERIODE | Comparaison : La comparaison met sur le même plan deux éléments en les reliant par un outil de comparaison, mettant en évidence un point commun ou une différence (ex : « il est grand comme son père »). La comparaison met en évidence

(féminin) : c'est une exagération exprimé par l’accumulation, par l’emploi de mots excessifs. Ainsi, la phrase « Je meurs de faim » est une hyperbole. Litote (féminin) : Une litote consiste à dire moins pour suggérer davantage. La litote s’oppose à l’euphémisme. Exemple : l’énoncé « Il n’est pas laid. » pour dire « Il est beau. » est une litote. Oxymore (masculin) : L’oxymore est une alliance de mots dont le rapprochement est inattendu. L’oxymore fait coexister deux termes de sens contraire Exemple

* système binaire deux noms deux adjectifs, noms et complément du nom ont chacun un déterminant « ces affables donneurs d’embrassades frivoles / ces obligeants diseurs d’inutiles paroles ». * fausses concessions et faux adoucissements (litotes) périphrases « je ne puis souffrir » (= je hais), « je ne hais rien tant que » (= je hais surtout) , «  âme un peu bien située » (= « tout à fait située) * expressivité, insistance, hyperbole : anaphore du « non » (x.3), exclamations « morbleu 

suis enterré » (Molière) Définition L’hyperbole est une exagération, une amplification. Effet L’hyperbole n’exprime pas la réalité, mais elle exprime notre impuissance à exprimer la réalité qui est en quelque sorte au-delà du réel.  La litote - Des bavures policières (  abus grave ayant des conséquences fâcheuses). - Des mouvements de troupe (  une guerre). - Des remous dans la salle (  L’artiste a été fort chahuté). - Il n’est pas sot ( il est très intelligent ). - Va, je

intervention du narrateur : “ce jeune homme”. Toute lla 2° partie du texte est consacrée à l’analyse des sentiments et du comportement de P. 1.5 Les figures de style. - Une magnifique litote : “V. ne doutait pas que” = Vanina était totalement sûre que (cf exemple canonique : dans “le Cid” de Corneille Chimène dit à Rodrigue par une litote pudique : “Va, je ne te hais point” = “Je t’aime de toutes mes forces” . Mais ici “ne doutait pas” et l’imparfait du subjonctif introduisent justement une nuance de doute que

l'orgueil, la fierté d'être celui que « Dieu » a choisi. Mais nous pouvons voir que la foule empêche le poète d'atteindre cette élévation et le rattache à la foule même. L'utilisation de la litote qui termine le texte le montre bien, « je ne suis pas inférieur à ceux que je méprise » (l.24). Par cette litote le poète affirme qu'il est supérieur à ceux qu'il méprise, ce qui met en exergue la supériorité que ressent le poète. Dans ce poème nous pouvons clairement constater le thème du romantisme

manière de respecter les convenances. Candide n’est pas assez mature pour juger ce qu’il voit : Il est plus étonné par les mots (encore ces mots cf. Pangloss) que par le Palais des Sciences. S’attache toujours à l’abstrait, comme le révèle la litote « ce n’est pas ce qui l’étonna le moins » [L113]. Transition : les voyageurs n’ont qu’une vue superficielle de l’Eldorado. Candeur au rôle révélateur afin de bien mettre en valeur le monde visité en inviter le lecteur à percevoir le contenu philosophique

la mer. (pour désigner un navire) 1.2 Les figures d’insistance ou d’amplification et d’atténuation qui amplifient la réalité (anaphore, répétition, hyperbole, gradation, accumulation) ou qui l’affaiblissent (litote, euphémisme). a/ L’anaphore consiste à répéter un mot ou un groupe de mots en début de phrases (dans un texte) ou de vers (dans un poème) Ex : Rome, unique objet de mon ressentiment ! Rome