Litote

« regarder »… Mme de Clèves est l’espionnée, et c’est elle qui sera mise au centre de la scène pendant la plus grande partie de l’extrait. Le registre est épique, avec des symboles de chevalerie sensuelle (telle la canne), mais toujours modéré (litotes de pudeur, comme « elle n’avait rien ») : il ne faut pas oublier que c’est un amour qui se veut avant tout chaste, courtois et romantique. Nemours aime, troublé (« avec un trouble et une émotion »), obsédé par son désir, submergé par des sentiments

congénères « grands discoureurs » il se montre aussi bavard impénitent. Cependant son insistance n’est pas logorrhée car il « poursui[t] fort bien [son] propos jusqu’au bout ». Il fait même preuve de beaucoup d’esprit ce que Léry lui reconnaît par la litote « lequel comme vous jugerez n’était nullement lourdaud ». II. L’exploitation et la possession des biens terrestres Les deux protagonistes vont débattre de l’exploitation et de la possession des biens terrestres à propos de la coupe de l’« Arabotan

le contraire de A » Ex : La petite maison est un château de 300 chambres. * La litote : c’est le fait d’atténuer les expressions pour faire entendre plus. Ex : Vas, je ne te hais point. Remarque : La litote est un euphémisme accompagné de l’adverbe de négation « ne…pas, ne…point, ne…nullement, ne…aucunement,… ». Toute fois, il ne faut jamais considérer toute les phrases à la forme négative comme des litotes. * L’euphémisme : c’est l’emploi de l’expression atténué ou adoucie pour éviter

réalité indirectement par un groupe de mots qui l'illustre ou la «suggère» (ex. : La capitale de la France = Paris). L'ANTIPHRASE Elle consiste à dire par ironie le contraire de ce que l'on pense (ex. : Ah, c'est malin ! = c'est idiot). LA LITOTE Elle consiste à dire moins que ce que l'on pense pour laisser entendre plus (ex. : «Va, je ne te hais point» (= Je t'aime) (Corneille).  L'EUPHEMISME Il remplace un mot par une tournure qui enatténue le sens désagréable (ex. : Il nous a quittés)

(f) : Affirmation prêtant à rire tant elle souligne une évidence. Terme inspiré par le marquis de La Palice, héros d'une chanson mal interprétée. "Un quart d'heure avant sa mort, il faisait encore envie" devenu " … il était encore en vie" ! Litote (f) : Négation de l'idée contraire à ce qui doit être exprimé. Ce petit vin n'est pas mauvais. "Va, je ne te hais point." (Corneille) Métaphore : Utilisation d'une terme concret dans un sens abstrait, selon une comparaison qui

dans son cœur. Légende du texte : … => les hyperboles, les constructions superlatives, les adverbes d’intensité … => la cour … => les verbes de perception (analyse de la focalisation) … => expression des sentiments des personnages … => litotes, euphémismes (esthétique de la préciosité) … => vocabulaire Légende dans le déroulé de la séance : … => Questions et activités à faire faire en gras => points essentiels à noter (trace écrite) I) Un cadre féérique et irréel : la cour

public : non i ne vient pas de « descendre de cheval » mais il veut s’en donner l’air. C’est donc un personnage simulateur.« il inclinait légèrement sur l’oreille son chapeau à haute forme assez défraichi »Description et adverbe d’intensité à valeur de litote (dire moins pour suggérer plus).Indication double : son apparence est très recherchée mais sa pauvreté le trahit. Le chapeau incliné connote en outre le mauvais garçon, idée qui sera reprise plus loin : « il ressemblait bien au mauvais sujet des romans

Ce n'est plus l'âme du vin qui parle mais le vin lui-même: « pour me donner l’âme ».2 CC de but presque un parallélisme --> création de l'homme par Dieu (Yahvé : celui qui donne la vie)Mais je ne serai point ingrat ni malfaisant,double négation/ litote --> tonalité moralisatrice. Les adj att du sujet « ingrat » et « malfaisant » = défauts humains qui s'opposent au labeur du vigneron « de peine », « de sueur ». Le vin = vertueux. La conjonction de coord adversative «mais » (v.8) renforce cette

* Expression : « sans paraître embarrassée »  « n’affecta ni rigueur ni dédain » = litote fut très contente « penchant pour le plaisir » Personnage énigmatique mais qui se montre entreprenante (manipulatrice ?) b) La rencontre : un « coup de foudre » * Rencontre inattendue et soudaine « tout d’un coup » / « aussitôt » + passage de l’imparfait passé simple. * Focalisation unique sur Manon : « il sortit qq femmes »/ « il en resta une » Parallélisme renforcé par la conj. « mais »

à Monsieur le Duc de la Rochefoucauld (Fables, X, 14), La Fontaine écrit : "Mais les ouvrages les plus courts / Sont toujours les meilleurs." Le classicisme prône la forme courte. "Placere et docere". Dire beaucoup de choses en peu de mots. La litote est la figure de style par excellence. Pour illustrer, on s'appuie sur les fables, bien sûr ; les tragédies (songez aux règles du théâtre classique : 3 unités) ; Les Maximes de La Rochefoucauld) ; les romans (La Princesse de Clèves) ; Les Caractères