Lieu-dit

Elle me dit (Mika) Elle me dit «  TOEIC faut bien que tu l’aies Pour ton diplôme valider Et tu pourras en être fier ». Elle me dit « qu’est-ce tu fous sur internet Ca va pas bien dans ta tête Regarde le temps que tu perds » Elle me dit « vis ta chance en Australie Assures toi d’ prendre le bon pli Dis-moi c’est quoi ton problème Elle me dit « c’est bien l’auberge espagnole Et bien sûr là on rigole Mais faudra faire la vaisselle Refrain Elle me dit Elle me dit « c’est ta

service je le connais car j’y ai travaillée fin Aout en tant qu’aide-soignante. Avant mon stage j’appelle la cadre du service pour prendre rendez-vous avec elle pour le planning, les objectifs… Connaissant le service elle m’explique par téléphone qu’au lieu d’être dans le service de cardiologie normal je serais à l’unité de soins intensifs continus car en salle il y a beaucoup de nouvelle (de nombreux arrêt dans le service qui sont remplacé mais sur des courtes durées). Et que pour un meilleur encadrement

semestre Lieu: Service de SSR. Dans la chambre de madame C. 10 eme jours de stage au moment de la prise des paramètres du matin. Situations ou activités vues ou réalisées: Madame C est entrée en SSR pour une réautonomisation suite à une fracture de la cheville gauche causé par une défenestration du deuxième étages de son appartement. Madame C est atteinte d'humeur dépressive depuis le décès de son mari. Madame C est malvoyante. Depuis le décès de son mari la patiente dit être sujette

PRATIQUE Dans l'EHPAD « », lieu de vie de Madame M . Me M est une dame de 91ans qui souffre de démence sévère, donc Me M ne parle plus et ne comprend pas les ordres simples. Je rentre dans la chambre de Me M pour effectuer sa toilette et je remarque que Me M a L'air peu éveillé ce matin. Elle a les yeux luisants et un peu rouge. Je m'approche de Me M et pose ma main sur son épaule, je constate que son corps est plutôt très chaud. Je préviens l'aide-soignante qui me dit de finir la toilette et de

ANALYSE DE LA PRATIQUE N°1 Lieu : Maison de retraite « FONDATION FAVIER » Ce jour là, je suis du matin, j'arrive à mon lieu de stage et comme tous les jours la 1ère chose que je fais en arrivant est de lire les transmissions du soir en insistant sur les deux résidentes que je prenais en charge. Durant ma lecture je fut surprise puisque j'apprenais que Mme C, une de mes résidentes que je prenais en charge, avait fait une chute cette nuit et s'était ouvert au niveau du front. Je décide donc

pneumologue et cardiologue.. j'ai peut être des broncho spasmes ou une petite malformation cardiaque... Et aussi à midi ya ma meilleure amie qui a manger chez moi et après on était sur le canapé tranquil et elle a eu à un appel de sa cousine et elle me dit jdois yaller et elle part alors qu'on devait passer laprem avc elle est sa cousine et j'ai pas compris ce qui se passait...merie et elle a apeler sos médecin, paske mon pouls etait élever. Ils sont venus, mon fait un électro cardiogramme qui a rien

l’écouter. Je sentais mon cœur battre à tout rompre, à la fois, j’étais horrifié, mais malgré tout, j’avais envie d’écouter ce qu’elle avait à me dire. Je tendis l’oreille et elle me dit que, comme moi, elle ne valait plus rien et en avait assez de vivre. Soudain, elle se tut et elle se figea. Je fus étonné, puis me dit que j’avais perdu la raison. J’allai donc au marché pour rendre la peinture ; j’arrachai donc le tableau du mur et courus vers la porte de l’atelier. Mais, je n’arrivais pas

Le pèlerinage | On dit que c'est un endroit magique , magnifique ! Le jour de départ est toujours un moment très dur pour la famille, surtout quand la personne laisse des enfants derrière elle, car se voyage est long et pas l'un des plus facile. Arrivé là-bas, elle me dit qu'il y a une ambiance de folie, mais la plus plaisante, bien au contraire... Les gens se bousculent déjà à la sortie de l'aéroport, ile leur manque la moitié de leurs valises, il y a un bruit à leur faire perdre la tête

Il reste très vague sur le sujet, le chirurgien lui aurait juste dit qu’il allait regarder la prise de greffe et l’état des orteils. Intriguée car je n’avais pas du tout les mêmes informations, je laisse le patient avec l’aide-soignante qui lui prend les constantes et je vais voir l’infirmière. Je lui fais part de ce que le patient m’a dit et elle me répond que c’était sans doute ça manière à lui de parler de l’amputation. Elle me dit « demande lui car cela doit être clairement écrit sur le consentement

d'aide pour se réveiller, Thibault fait partie de ce là. Le réveil semble pour lui une épreuve, il refuse de nous parler, se recroqueville sous sa couette, mais ce matin là, après être passé plusieurs fois voir Thibault, celui ci refuse de se lever, il dit qu'il avait prévu de ne pas aller à l'Itep ce matin. Après avoir insister plusieurs fois il se lève, mais Thibault est déjà très en retard mais cela ne l'inquiète pas du tout, il prend tranquillement son petit déjeuner puis rejoins son ami Brandon qui