Lieu-dit

sein d’un cabinet d’infirmier libéral. Nous allons voir madame S., 80 ans, tous les matins pour une glycémie et les médicaments. Un matin, vers 7h, l’infirmière et moi, nous nous rendons chez madame S. Nous la trouvons allongée sur le sol. Elle nous dit qu’elle est tombée la veille au soir et qu’elle n’a pas pu se relever. L’infirmière tente de l’aider à la redresser mais elle se plaint de douleurs aux jambes et aux côtes. Je réalise la glycémie et lui donne ses médicaments. L’infirmière appelle les

rue en essayant de me rappeler des souvenirs de la journée précédente. Je réfléchissais lorsque j'aperçus du coin de l'oeil, un vieil ami à moi. J'allai le saluer et m'approchai de lui mais il me dit qu'il ne me connaissait pas. Etonné, je poursuivis ma route et croisai ma soeur. A nouveau, elle me dit qu'elle ne me connaissait pas non plus. Désespéré, je retournai chez moi, essayant de comprendre toute cette histoire. Arrivé dans ma chambre, j'entendis des voix. Je sentis une respiration derrière

cette visite, j'attendais, les yeux baissés et avec tremblement, qu'elle s'expliquât. Son embarras fut pendant quelque temps égal au mien, mais, voyant que mon silence continuait, elle mit la main devant ses yeux, pour cacher quelques larmes. Elle me dit, d'un ton timide, qu'elle confessait que son infidélité méritait ma haine ; mais que, s'il était vrai que j'eusse jamais eu quelque tendresse pour elle, il y avait eu, aussi, bien de la dureté à laisser passer deux ans sans prendre soin de m'informer

rendais dans la chambre d'une nouvelle patiente pour remplir son dossier d'admission. Cette même patiente devait se faire opérer trois jours plus tard pour une cholécystectomie. Une fois dans la chambre je demande a la patiente comment elle va. Elle me dit alors qu »elle à un peu mal au ventre. Je lui demande si elle peut évaluer cette douleur sur une échelle de 1 à 10. Elle me répond ne pas pouvoir « noter » sa douleur. Je regarde alors si quelque chose lui a déjà été administré contre cette douleur

annonce en ligne, elle me contacte quelques jours après pour me dire qu'elle est interressée par mon ordinateur. Je lui demande son moyen de paiement elle me dit chèque, je lui dit que non je n'accepte uniquement les espèces. Elle me dit que non elle s'est déjà fait avoir sur ce site et qu'elle n'a pas pu se retourner contre la personne. Elle me dit qu'elle me fournira une photocopie de sa pièce d'identité ainsi qu'un justificatif de domicile. Elle me demande aussi une photocopie de ma carte d'identité

plus attentive en classe. Elle refusait systématiquement en me disant que c’était ma faute et qu’elle avait l’impression que je n’étais pas assez attentive en classe. A force de supplier et de pleurer, elle fit semblant d’être attendrie, et elle me dit: « Moi, j’ai juré ne pas te le dire, mais puisque tu insistes, tu n’as qu’à descendre chez le concierge de l’immeuble pour lui demander ». Le concierge, lui, était soudanais et donc savait très bien le français. J’étais descendue chez lui et je lui

permanence en loccurence la directrice de la mecs. Elle me dit quavec le renvoi de maria il est hors de question qu’elle sorte . Elle ne pourras sortir qu’en présence de sa famille d’accueil. J’en informe Maria, qui me demande qui travaille l’après-midi car cet éducateur lui, la laissera sortir. Elle me dit que si je ne la laisse pas sortir elle va passer par la fenetre (situé à environ de mètre du sol coté route nationale..) Je lui dit que suite à son comportement c’est comme ca on ne peut la laisser

réponds en lui faisant un sourire puis elle enchaine en me disant : « c’est bientôt que vous partez en formation ? » Je lui réponds : « oui tout à fait c’est à partir de lundi prochain pendant un mois » Je sens sur son visage un air inquiet et elle me dit : «  c’est une longue période, ça m’inquiète car ludo ne connait pas encore très bien Lyli et je sens qu’il est mal à l’aise avec elle, en plus de ça je n’aime pas trop sa façon d’être à lily et je la sens distante avec lui et moi » Je la regarde et

excepté celles ordinaires telles que prendre la note, faciliter la mémoire, éduquer, etc. En réalité, l'écriture motivée par la volonté personnelle dépend souvent de l'état d'esprit de l'écrivain. L'exemple la plus réputé est inconditionnellement « Le Dit du Genji », écrit par Murasaki SHIKIBU. Ce livre japonais qui décrit une histoire d'amour durant l'époque de Heian ( 794-1192 ans ) s'est vu être le premier roman long au monde plus tard. C'il a été relativement étonnant que l'auteur était une veuve

ainsi il obtenait une dimension satisfaisante pour mettre en scène ses visions panoramiques. Ces rouleaux peuvent rappeler la façon dont l’art asiatique et notamment l’art japonais utilise ce type de support pour illustrer des récits fleuves comme le dit du Genji de Murasaki Shikibu, les fameux emaki qui alternent texte et illustration. Dans un décor idyllique, une nature exubérante (fleurs épanouies, arbres très verts, animaux qui viennent jusqu’aux pieds des enfants), on voit des petites filles, certaines