Libre-Esprit

l’adaptation d’un roman, alors même qu’ils ont lu l’œuvre originale. En effet, un roman contient beaucoup de descriptions et de détails concernant les personnages, les lieux, les événements… etc, afin que le lecteur laisse libre cours à son imagination, et que son esprit divague où bon lui semble. Il s’imprègne, il vit le livre à sa façon, il peut même parfois s’identifier à l’un des personnages. Lire un roman, c’est être dans un autre monde, dans une bulle à soi. Contrairement à cela, un roman

démocratie et met en cause les privilèges de la noblesse et du clergé, ce nouveau mouvement fut baptisé le siècle des lumières car il a été l’inspirateur notamment de la Révolution française en 1789. Voltaire était un écrivain, poète et philosophe très libre et il le paya par plusieurs séjours en prison ou par plusieurs mesures d’exils et il est considéré comme précurseur du siècle des lumière car il a fait parti de ces hommes qui ont prôné ce nouveau mouvement visant à soulever les foules et à obtenir

progrès techniques --> perfectionnement --> accroissement des richesses --> envie de travailler pour le bien public (accroître le bonheur humain) - une vision objective de l'Histoire --> équité + amour de la patrie - philosophie : vertu et raison --> esprit critique --> mise en cause possible de l'Etat - Dieu est partout --> traditions humaines caduques - progrès de la science (médecine) --> refus du fatalisme ==> Lire --> s'instruire --> --> réfléchir --> --> sens critique --> contestation envers l'Etat

étrangers. « Au moins » : Modalisateur pour atténuer sa demande en faveur de la liberté d’expression. Caractère argumentatif pour réduire la voilure de la censure et augmenter les livres diffusant les idées des Lumières II-Défense de la libre circulation des idées des Lumières. 1-Réduire la censure. 1er aspect de la thèse voltairienne : Voltaire veut plus de souplesse et réduire la censure car trop de censures produit une littérature de plus mauvaise qualité (L2 : « Volailles de basse-cour » :

oublie presque notre belle époque, c’était une parenthèse enchantée. Lu – Mais hélas ! Le monde occidental n’a pas tant changé depuis toutes ces années. Les Etats-Unis était avant tout dans les années 50 le pays du capitalisme, de la libre entreprise et de la libre concurrence, dans une société de forte consommation et de conformisme. Al – Oui, mais en même temps, la guerre qui faisait rage au Vietnam ainsi que l’assassinat de John Kennedy en 63 et celui de Martin Luther King en 68, provoqua de

visions). Dailleurs, chez certains peuples, le chaman doit trouver son futur costume grâce à des rêves ou des visions. Le fait de revêtir ce costume permet au chaman de passer du monde profane au monde spirituel, du monde du réel au monde des esprits. Le costume peut être porté à même la peau en été, ou par-dessus une chemise en hiver. Chez les peuples sibériens, ce costume porte de nombreux ornements métalliques (qui peuvent peser plus de 10 Kg au total), ce qui rend la danse du chaman

Tout homme qui se respecte souhaite posséder, et l’homme possédant le plus est le Chef. Pour autant, posséder la liberté de chacun c’est empêcher les individus de porter à réflexion. Empiéter sur la liberté de chacun, est-ce aimer l’homme ? Est-on libre si l’on aime ? I) Aimer Aimer : « Aimer c'est donner ce que l’on n’a pas à quelqu'un qui n'en veut pas...» Jacques Lacan "Aimer c'est donner ce qu’on n’a pas..." : Aimer peut effectivement être une illusion, une démarche illusoire, et donc

possessions. Si nous voulons approfondir ce qu'indique ce mot, ce que cela implique que d'être totalement et complètement libre intérieurement — liberté qui dès lors se manifeste extérieurement dans la société, dans tous nos rapports — il me semble que nous serons amenés à nous demander si l'esprit humain, lourdement conditionné comme il l'est, peut jamais être ce qu'on appelle libre. Doit-il forcément toujours agir et fonctionner dans les limites imposées par 8 son propre conditionnement, de façon

me permets d'ajouter ceci : On est libre quand on est heureux. Est-on libre quand on souffre et que les amis s'inquiètent pour toi ? Et si les gens ne cherchaient pas à te juger mais plutôt à t'aider ? Les gens veulent sûrement mieux te comprendre, mais ils ne te détestent pas. Les préjugés et les erreurs d'interprétation des faits tuent la liberté. Etre soi-même, être heureux, aimer, comprendre, c'est ça la liberté. Pour conclure, on est libre d'être ce qu'on a choisi d'être, mais

les autres exactement dans la même proportion que chez nous. “Faire cela c’est suivre la Règle d’Or, c’est-à-dire traiter les autres comme on aimerait être traité soi-même. Et comme nous savons que la Loi de la Liberté chez nous-mêmes nécessite la libre utilisation de notre puissance créatrice, nous ne sommes plus incités à empiéter sur les droits des autres car nous pouvons satisfaire tous nos désirs en appliquant notre connaissance de cette loi.” “À mesure qu’on comprend cela, la coopération prendra