Libre-Esprit

de justifier tous nos actes. De plus, nos agissements sont-ils tous le fruit d’une pensée préalablement réfléchie ? Il s’agira donc de réfléchir et de nous interroger sur notre Conscience et ses limites, pour montrer jusqu’où va-t-elle dans notre esprit. La Conscience est un savoir, celui qui accompagne ce que nous ressentons, ce que nous faisons et ce que nous désirons. Elle désigne surtout l’intériorité de chacun, elle est intime et personnelle. Ainsi, tout le monde ressent quelque

fourvoiement de nos illusions. Sommes-nous condamnés à la souffrance de voir disparaitre nos illusions les unes après les autres ? Certes, certains diront que même en découvrant l’imposture de nos illusions, nous pouvons tout de même les garder à notre esprit comme armature de notre morale, de notre éthique ou encore de nos principes. Comme exemple on pourrait discuter sur la bonté de l’homme comme déjà aborder ci-dessus ; l’homme est bon, ceci serait l’une de nos convictions. Pour illustrer le parfait

l’esprit. L’homme est un être doué de raison, par essence. C’est-à-dire qu’il est capable de prendre conscience à la fois de lui-même et du monde qui l’entoure, d’assimiler des faits et de les mémoriser, cela dans le but de développer son esprit. L’homme est un être avant tout perfectible. Par nature, parce qu’il est doué de raison et qu’il est le seul être de la nature à en être pourvu, l’homme s’écarte de l’ordre naturel parce qu’il ne fonctionne pas par instinct. Cela implique qu’il n’a

sorte que le travail de la pensée va de pair avec : La transgression, c'est-à-dire le fait de rompre avec les idées établies. Le risque de la liberté, (exemple : On ne pardonna pas à SOCRATE son esprit de libre penseur dans la mesure où on l’a condamné à mort au motif que son esprit de libre penseur allait trop loin dans la remise en question des valeurs de sa société. Il dit alors, « La vie ne vaux la peine d’être vécu que si l’on a la possibilité de questionner le monde dans lequel on vit

originale, on peut en donner une image précise en citant quelques noms : Hérodote, Thucydide, etc. Il s’agit d’historiens qui ont surtout décrit les actions, les événements et les situations qu’ils ont vécus, qui ont été personnellement attentifs à leur esprit, qui ont fait passer dans le royaume de la représentation spirituelle ce qui était événement extérieur et fait brut, et qui ont transformé ce qui a simplement été en quelque chose de spirituel, en une représentation du sens interne et externe.

connaissances d'autres personnes au lieu de soi-même. Dès lors, n'est il pas plus plaisant de suivre son propre esprit plutôt que de suivre celui des autres ? D'après Malebranche, il serait plus plaisant de suivre son propre esprit qui est un principe individuel de la pensée par opposition au corps, et qu'il vaut mieux chercher la vérité avec son esprit, en réfléchissant par soi-même et non pas en se laissant guider par d'autres personnes. Malebranche défend sa thèse

soviétique, symbole de justice sociale et vue comme étant libérale, et les capitalismes, liés aux États-Unis, symbole de démocratie, mais qui restreignent toutes libertés par le « maccarthysme ». Ionesco veut dénoncer la déshumanisation et la mort du libre-penseur causé par le mouvement nazisme par la symbolique d’une épidémie de la « rhinocérite », maladie imaginaire dont les habitants d’une ville contractent la maladie et se transforment en rhinocéros s’ils décident de suivre les idéologies de ce mouvement

venir en occident. Rica est libre de toute attache et vient en France avec le souhait de côtoyer les salons, les beaux esprits et les jolies femmes. Les deux voyageurs traversent la Perse, la Turquie et l'Italie et commencent une correspondance avec leurs compatriotes restés à Ispahan. Ils arrivent à Paris en mai 1712. Leur absence de préjugés et leur esprit vif et ingénu leur valent de s'intéresser à la pratique politique et aux traditions religieuses... Leur esprit impertinent les conduit à en

Platon jusqu’à lui ?) Comment peut-on concevoir la raison comme ayant une histoire ? Ces deux difficultés se résument en une question : comment concevoir la raison dans l’histoire ? Rappel, KANT : La moralité est formelle, elle s’impose à notre Esprit et non dans nos actes. La réalité empirique de la vie humaine en fait souvent un être barbare, voire un démon. Pour Hegel Kant n’a pas tout à fait tort. Seulement son plus gros défaut c’est de maintenir une distinction entre le corps et l’Esprit

Le libertinage 1)-Étymologie de « libertin » :Du latin («  qui vient d'être libéré, affranchi »). Définition de libertin : (Celui, celle) qui a une conduite, des mœurs très libre(s); qui s'adonne sans retenue aux plaisirs de la chair. / Qui refuse les contraintes, les sujétions; qui manifeste une grand esprit d'indépendance, qui fait preuve de non conformisme. / [En parlant d'un écolier] Dissipé, qui néglige ses devoirs pour le jeu. Cet enfant est fort libertin (...) C'est un petit libertin