Leviers De Profitabilité

effet, lorsque le taux d'intérêt réel s'élève, certains projets d'investissement deviennent non rentables et plus le taux d'intérêt réel des emprunts est élevé, plus la masse des investissements financés par l'emprunt et rentables est faible (la profitabilité, c'est à dire la différence entre un rendement financier dans l'entreprise et le taux d'intérêt réel, sera alors faible ou même négative). Réciproquement, lorsque le taux d'intérêt réel diminue, le volume des investissements qu'il est rentable

quantitatifs mais qualitatifs. Dès les années 1980, le marketing apparaît, et les premiers acheteurs (arrivés par la grande distribution 1965/1970, ils avaient pensé que rapidement les marchés seraient saturés) également. Les achats sont un facteurs de profitabilité pour l’entreprise, la productivité aussi (ex : reprise de Renault par Carlos GHOSN) Il y a 2 types d’achats : * Internes / directs Produits de produits semi-finis qui entrent dans mon CA final, par exemple les pneus, essuie-glaces,

France, dans les années 1970, la hausse des taux nominaux, conjuguée à une forte inflation s’est traduite par des taux réels très faibles : l’effet de levier avait poussé les entreprises à s’endetter. B - Des taux d’intérêt réels forts découragent l’investissement. ( Une hausse du taux d’intérêt diminue la profitabilité de l’investissement. Quand le taux d’intérêt réel est élevé (le taux d’intérêt réel est le taux d’intérêt constaté sur le marché, ou le taux d’intérêt nominal

de l’entreprise, est-elle suffisamment profitable ou pourrait-elle être améliorée ? Cela soulève la question de la gestion du mix produits-clients et, a fortiori, de la mesure de la profitabilité des produits et des clients, ce qui est loin d’être un point trivial, de nombreuses entreprises mesurant mal la profitabilité de leurs clients. Il s’agit donc de mesurer et d’agir. Les ressources purement commerciales sont-elles investies à bon escient, au-delà du coût en termes de retour sur investissement

montrer que la politique achat est un levier de profitabilité au sein de l’entreprise, et enfin dans une deuxième partie, nous allons essayer d’évaluer les procédures d’achat de la société « ALPHA » et faire des recommandations pour cette entreprise à partir des résultats obtenus lors de l'évaluation du contrôle interne de ce cycle afin d'assurer la pérennité de celle- Plan : SOMMAIRE PARTIE I : LES STRATEGIES DES ACHATS : impact d’un nouveau levier de profitabilité au sein des entreprises ……………………………………………

de l’entreprise, est-elle suffisamment profitable ou pourrait-elle être améliorée ? Cela soulève la question de la gestion du mix produits-clients et, a fortiori, de la mesure de la profitabilité des produits et des clients, ce qui est loin d’être un point trivial, de nombreuses entreprises mesurant mal la profitabilité de leurs clients. Il s’agit donc de mesurer et d’agir. Les ressources purement commerciales sont-elles investies à bon escient, au-delà du coût en termes de retour sur investissement

d’autofinancement (CAF) Fiche 4 : Le bilan fonctionnel ; Plan comptable général Fiche 5 : Equilibre financier et ratios de structure Fiche 6 : Le besoin en financement du cycle d’exploitation et trésorerie nette Fiche 7 : Rentabilité et effet de levier Fiche 8 : Risque d’exploitation, risque financier, risque total, risque de faillite Fiche 9 : Analyse des flux financiers : Tableau de financement et plan de trésorerie Fiche 10 : Technique d’analyse financière par les ratios Fiche 11 : Exemple

entreprises : cas de l’entreprise… * Stratégie de fidélisation dans le marketing des services * Le management de la force de vente d'une entreprise industrielle * Les stratégies achats: émergence, importance et impact d’un nouveau levier de profitabilité au sein de l'entreprise * Les enjeux de la relation client et mesure de la satisfaction des clients du portefeuille dans les services : cas des banques * Contribution de la gestion de l'écoute client a l'amélioration de la qualité

produits, marchés », il est difficile d’avoir l’adéquation entre rentabilité et risque. I. Analyse de la rentabilité Elle se décline en 3 étapes :  Etape 1 : Rentabilité commerciale ou profitabilité : mesure ce que rapportent en termes de marge ou de profit l’entreprise de CAHT. Ratios de profitabilité : - Taux de marge commerciale : - Taux de marge brute d’exploitation: CAHT = négoce + production vendue Taux de marge brute :  Etape 2 : Rentabilité économique : mesure ce que

sensibles aux politiques de relances (budgétaire = invest de l’état, fiscale = augmentation des impots) III- Les déterminants financiers Cout relatif du capital, taux de marge, rentabilité éco (EBE/Capital engagé), taux d’intérêt réel, profitabilité… Cela dépend de la capacité financière de l’entreprise. Il faut des capitaux. C’est le taux de marge qui permet a l’entreprise de s’autofinancer si le partage de la VA est favorable a l’entreprise. Il faut parfois s’endetter pour s’enrichir.