Les Sept Vieillards

doute peut-être. Accablé de misère et surpris en ce moment de son outrecuidance, le pauvre néophyte ne serait pas entré chez le peintre auquel nous devons l’admirable portrait de Henri IV, sans un secours extraordinaire que lui envoya le hasard. Un vieillard vint à monter l’escalier. À la bizarrerie de son costume, à la magnificence de son rabat de dentelle, à la prépondérante sécurité de la démarche, le jeune homme devina dans ce personnage ou le protecteur ou l’ami du peintre ; il se recula sur le

littéraires, notamment son Voyage en Amérique (1826). Revenu à Saint-Malo au début de l'année 1792, il se marie puis, émigre et rejoint en Allemagne l'armée contre-révolutionnaire. Blessé, malade, il se réfugie ensuite en Angleterre (1793) où il passe sept années d'exil et de misère. C'est à Londres qu'il publie son Essai historique, politique et moral sur les révolutions anciennes, (1797) où, il expose la douleur de sa situation d'exilé. De retour en France en 1800, Chateaubriand, affecté par la mort

d'une bataille entre Bulgares et Arabes. • La condamnation de la guerre de conquête s'inscrit dans un combat de philosophes pour construire une société plus humaine et civilisée. On peut supposer qu'à travers ce texte, Voltaire critique la guerre de sept ans (1756). • C'est un pamphlet dirigé contre la guerre, ses protagonistes et ses conséquences. I Une peinture ironique de la bataille Réalité du combat

père Goriot la rencontre avec sa fille. Le vieil homme lui conseille de continuer à la fréquenter. Eugène devient l’amant de Delphine de Nucingen. Elle lui expose ses difficultés financières car son mari s’est accaparé sa fortune. Il gagne pour elle sept mille francs à la roulette. Ensuite Eugène raconte les mésaventures de Delphine à son père qui en est désespéré. Il veut récupérer sa fortune en impliquant la justice. Rastignac prend gout aux soirées parisiennes mais il perd beaucoup d’argent

guillotiné à Troyes, sept mois après le crime. 2° Le personnage principal et ses actions Claude Gueux est un ouvrier parisien de 36 ans, concubin d’une « fille publique » et père d’un enfant de cette fille. Dans le livre, il est décrit comme « déjà ridé quoique jeune encore, quelques cheveux gris perdus dans les touffes noires, […] la lèvre dédaigneuse. C’était une belle tête. » Ainsi, bien qu’encore dans la force de l’âge, Claude est présenté comme un vieillard : « Claude Gueux avait

Les misérables VICTOR HUGO 2 PREMIÈRE PARTIE FANTINE LIVRE 1. Un juste 1 M. MYRIEL En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C'était un vieillard d'environ soixante-quinze ans; il occupait le siège de Digne depuis 1806. Quoique ce détail ne touche en aucune manière au fond même de ce que nous avons à raconter, il n'est peut-être pas inutile, ne fût-ce que pour être exact en tout, d'indiquer ici les bruits et les propos qui avaient couru sur son compte au moment où il

principalement dans les contes. Dans L’Or, le 7 est aussi très présents : on le retrouve dès le début, avec les « sept points rouges » sur la crosse d’évêque (P.11) ; Le débarquement de Suter à New York le 7 juillet (P.24) ; Les sept hommes qui accompagnent Suter (P.38) ; Les sept années nécessaires pour augmenter la population de San Francisco (P.99) ; Le conseil des Sept Vieillards (P.160) ; Les sept petits voyous de la fin du roman (P.167)… Plusieurs passages du roman s’apparentent à un univers de

(-479), face aux Grecs. L'histoire Les vieillards que Xerxès a choisi pour garder Suse, sortent du palais. Le coryphée les présente puis se lamente sur l'absence de nouvelles de la part du grand roi et de son armée qui sont partis faire la guerre aux Grecs. Il égrène les noms de tous les glorieux personnages qui sont ainsi partis : Amistrès, Artaphrénès, Mégabatès, Astaspès, Artembarès, Masistrès, Imaios… Cette litanie est reprise en chœur par les vieillards. La reine Atossa, mère de Xerxès et veuve

Il du émettre des messages radio aux autres qui étaient resté à Bethlehem quand il fut interrompu par des coups de feu suivi de cris qui provenaient de la porte des Maghréo qui était à peine à 200 m de la synagogue .Il vit des femmes , des vieillards , des enfants et même les quelques hommes armés qui défendaient la porte courir dans les petites ruelles qui menait à la synagogue. Les hommes armés qu'il appela "les protecteurs" lui donnèrent une arme et lui dirent de se défendre et de défendre

voyages, le souvenir d'infortunes dont les forêts du Nouveau-Monde avaient été les témoins. Au cours d'une expédition, pendant une nuit douce et paisible, René demande au vieillard le récit de ses aventures, et c'est ce récit qui forme le sujet d'Atala.  Chactas raconte à René ce qui lui arriva quand il ne comptait que dix-sept chutes de feuilles. Son père, le guerrier Outalissi, de la nation des Natchez, alliée aux Espagnols, l'avait emmené à la guerre contre les Muscogulges, autre nation puissante