Les Sept Vieillards

ses propres projets. Mort du Chillingworth est le résultat de la nature de son personnage. Après le décès de Dimmesdale, Chillingworth n'a plus une victime. De même, révélation du Dimmesdale qu'il est le père du Pearl supprime Hester embrayages du vieillard. Après avoir ne perdu les objets de sa vengeance, la sangsue a aucun autre choix que de mourir. Finalement, Chillingworth représente true mal. Il est associé à formes laïques et parfois illicites de connaissances, comme ses expériences chimiques

philosophique. Dans le conte, les chapitres 2 et 3 sont entièrement consacrés à la guerre. Le chapitre 2 dénonce les conditions de recrutement et le chapitre 3 condamne la violence et la barbarie du combat. N’oublions pas le contexte historique. La guerre de Sept ans débute en 1756. Elle oppose la France et l’Autriche à une coalition qui réunit la Prusse et l’Angleterre. Sur un champ de bataille qui s’étend du Rhin à la Vistule, trois cent mille soldats se battent en Europe centrale et le 5 novembre 1757,

Au moment où il rédigea Candide, il était profondément choqué par la grande catastrophe de l'époque, le tremblement de terre de Lisbonne (qui détruisit totalement la ville en 1755, et épouvanta l'Europe), ainsi que par les horreurs de la guerre de Sept Ans. Banni par le roi, vivant en exil à Ferney, près de la Suisse, Voltaire était alors en proie à un pessimisme envahissant : « Un jour, tout sera bien, voilà notre espérance. Tout est bien aujourd'hui, voilà l'illusion. ». L'optimisme ne se limite

convivial, et bien la littérature exploite cette idée reçue pour nous dépeindre les personnages, nous les présenter ou faire naître de douloureuses révélations... C’est le cas de ce qui suit, c’est un extrait de Madame Bovary de Gustave Flaubert : « A sept heures, on servit le dîner. Les hommes, plus nombreux, s'assirent à la première table, dans le vestibule, et les dames à la seconde, dans la salle à manger, avec le marquis et la marquise. Emma se sentit, en entrant, enveloppée par un air chaud, mélange

au bout de leurs bras, les femmes le retiennent sur leur poitrine, les hommes l'appuient contre leur ventre. Ils s'arrêtent devant saint Antoine et forment, avec le serpent qu'ils déroulent, un grand demi-cercle, à l'entrée duquel se tiennent un vieillard en robe blanche, pinçant de la lyre, et un enfant nu jouant de la flûte, sur un air doux et joyeux, quoique plein de lenteur. Les Ophites, commencent. C'était lui ! Moïse le savait ! Antoine, criant. Mais non ! ... comment cela

1840, sa mère et son beau-père (qui était général) voulaient le voir devenir Ambassadeur, seulement lui voulait devenir poète. Son beau-père voulant le persuader, l'emmène sur le « Paquebot des Mers du Sud », en 1841, cependant, le voyage ne dura que sept mois pour Baudelaire. Il gardera pour souvenir « la belle Dorothée » qui lui inspira plusieurs poèmes tels que L'albatros ou bien Parfum exotique. En 1842, Baudelaire dépensera l'héritage de son père dans l'alcool, l'amour et l'art, dans cette période

Alors que s’ouvre le roman, le protagoniste, Yuko Akita, jeune homme japonais, fête ses dix-sept ans. Après avoir esquissé très rapidement l’enfance de Yuko (chap.Þ2) en ayant recours au procédé du sommaire, l’auteur met en relief sa date d’anniversaire, au passé simple pour cet événement hautement singulatif, et objet d’une des rares datations absolues du romanÞ: «ÞUn jour d’avrilÞ1884, Yuko eut dix-sept ansÞ» (p.Þ14). Même si la majorité ne s’obtient au Japon qu’à vingt ans, cet âge est tout de

représentée en particulier par les deux « sages » rencontrés (le derviche et le vieillard). Candide, mûri par l’expérience, apparaît maintenant capable de prendre des responsabilités indépendamment de l’influence de Candide qui, lui, n’a guère évolué.     I)                  LES CRITERES DE LA SAGESSE   Voltaire en met plusieurs en relief :   a)     Les bienfaits du travail :        L’exemple du vieillard : il vit heureux car il se contente d’envoyer vendre à la ville les fruits du

puisqu’il serait nourrit et logé chez cette personne et tout près de sa nouvelle compagne. Chapitre 4 :Fogg commence à travailler dans une maison où il est logé et nourrit, offre exceptionnelle aux vues de ses problèmes. Il doit donc s’occuper d’un vieillard du nom de Effing et a pour collègue une jeune femme du nom de Mme Hume. Ce travail lui a permis de se révéler. Il effectue de nombreuses lecture en tout genre et de longues promenades avec Effing où son rôle, d’après les exigences, est de décrire

tient à Paris une pension bourgeoise établie rue NeuveSainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison-Vauquer, admet également des hommes et des femmes, des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les mœurs de ce respectable établissement. Mais aussi depuis trente ans ne s'y était-il jamais vu de jeune personne, et pour qu'un jeune homme y demeure, sa famille doit-elle lui faire une bien maigre pension