Les Regimes Democratiques

Démocratie et égalité Le terme « démocratie » a deux sens prédominants : soit l'ensemble des règles afin qu'il y ait une distribution du pouvoir touchant la majorité des citoyens (démocratie comme gouvernement du peuple), soit l'idéal auquel un régime démocratique devrait aspirer, càd l'égalité (démocratie comme gouvernement pour le peuple). Le premier sens possède un lien historique avec la formation de l'Etat libéral tandis que le deuxième montre le difficile rapport entre égalité et liberté. En effet

démocraties ? Les déficiences des procédures de consultation des citoyens Introduction : Est-il possible d’opposer aux régimes « autoritaires » des « démocraties » qui le seraient définitivement et entièrement ou bien doit-on parler de niveaux de démocratisation permettant de classer les régules électifs en fonction du degré de consultation de leurs citoyens que ces régimes organisent ? Ainsi, plutôt que de considérer que la démocratie résiderait toute entière dans le seul principe du vote, il

car plusieurs tomes) « L’Ancien-régime et la révolution » (1856) 5 idées :  C’est notre désir absolu d’égalité. Nous recherchons tous les mêmes choses que l’autre, les lois votées sont égales pour tous. Les individus suivent le principe de la distinction entre l‘égalité et l’inégalité.  Concernant la démocratie, il nous dit que celle-ci sera un régime politique qui va progressivement

Séance 6 : La démocratie Démocratie = Un régime de modèle d’organisation politique. Le peuple est le fondement. Plusieurs moyens d’expression partie politique suffrage universel etc.…. Régime qui fonctionne dans le respect des droits et des libertés individuelles. Chaque citoyen ne peut s’exprimer. Respect des droits de l’homme = valeurs démocratique. Elle se distingue de d’autre régime politique : -Dictature/ despotisme : Pouvoir aux mains d’une personne. -Oligarchie : Pouvoir d’appartenir à

LES DEFIS DEMOCRATIQUES EN DROIT CONSTITUTIONNEL Résumé exécutif La démocratie est une quête perpétuelle d’un régime politique. Même quand elle proclamée, elle n’est jamais acquise et c’est pourquoi elle reste un objet constitutionnel de débats. Mais il faut distinguer les questions liées à l’accès à la démocratie de celles liées à son maintien. Par démocratie, on entend élection libre et pluraliste des gouvernants. Elle suppose le suffrage universel et une véritable compétition électorale libre

passés et futurs ; elle est supérieure à la somme des individus qui la composent. Aussi, c'est une souveraineté dont le titulaire est la nation, entité collective et indivisible. Dans la théorie classique, la souveraineté nationale se traduit par un régime représentatif, puisque la Nation ne peut gouverner directement (la simple majorité du peuple n'est pas la volonté de la nation, puisqu'elle est supérieure aux sommes qui la composent). La souveraineté nationale va également dans le sens d'un suffrage

RDC : Une médiocrité compromettante dans la gestion de l’Etat. Depuis son accession à la souveraineté et à l’indépendance, la République Démocratique du Congo connaît des humiliations politiques et sociales jamais tolérées dans le reste de la planète. La classe politique congolaise a toujours fait preuve d’une médiocrité sans nom. Plusieurs compatriotes ont toujours entrepris d’écrire l’histoire politique de ce géant au cœur de l’Afrique et certaines lumières n’ont jamais été faits sur certains

par " convenance " un plus tard en 1991.Le choix de ces deux pays est un choix wébérien et s'est imposé à nous, pour des raisons de proximité géographique et surtout pour les blocages du processus togolais alors que tout faisait penser à la fin du régime dictatorial mis en place par le Général Gnansingbé Eyadéma depuis 1967.Ces deux trajectoires contrastées soulevaient la problématique plus large du " sens " de ces processus d'ouverture politique1.Le problème était de savoir si la phase africaine

actuelles, apparaître comme une organisation réalisable et à cet idéal c’est peu à peu substitué un système représentatif. Tout le problème est alors de penser la possibilité de réalisation d’une organisation basée sur la représentation où l’idéal démocratique d’égalité et de participation du peuple à l’établissement du gouvernement ne serait pas bafoué. Par là apparaît une nouvelle variable à inclure dans la réflexion sur la démocratie : puisqu’elle est aujourd’hui en très grande majorité représentatif

de parti comme il le dit lui-même. L’œuvre, qui n’est pas sans rappeler le style de Xénophon par ailleurs, mais qui comporte certaines incohérences, se présente sous la forme d’une sorte de pamphlet contre la démocratie athénienne et en faveur du régime oligarchique (celui des meilleurs). La critique y est vigoureuse, le parti pris affirmé. On pense que ce pamphlet est destiné à un aristocrate lacédémonien. Selon l’auteur, la démocratie, c’est le pouvoir des pauvres et des méchants (sous-entendu