Les Personnages En Attendant Godot

Samuel Beckett, En attendant Godot (1952), l’incipit : Préambule : Extrait qui se situe au début de la pièce. Pièce qui traite de l’absurdité du monde et de la vie ainsi que de la question du langage. Les actes de cette pièce ne sont pas découpés en scènes. Les personnages de la pièce sont au nombre de 6, ici nous en avons deux : Vladimir et Estragon (clochards). Didascalies et décor = dénuement extrême. La scène est quasi vide et les imprécisions sont flagrantes à divers propos. *Problématique

plaisir et l’intérêt à lire une pièce de théâtre chaque lecteur peut interpréter la pièce autrement grâce aux didascalies et autres éléments qui aident à la construction des personnages. Ex :Dans le roman en attendant Godot, «  Estragon, assis sur une pierre essais d’enlever sa chaussure » On imagine ce personnage se tortiller pour essayer d’enlever sa chaussure, mais en vain. Le lecteur à accès aux notes de l’auteur et de l’éditeur, il peut donc mieux comprendre dans quels contextes la

(1925) , Le château (1926) , La métamorphose (1915) ainsi que La colonie pénitenciere (1919), Kafka a influencé Sarte ( la nausée 1938), Camus ( L'étranger 1942) ou encore Beckett ( en attendant Godot 1957), Dans son œuvre le procès, le personnage a beaucoup de similitude avec l'auteur, En effet, le personnage ce désigne par la lettre K, et il a a peu près trente ans l'age de Kafka lorsqu'il commence l'écriture de son livre. Cela peut donc nous ammener a penser qu'il y a une part d'autobiographie

textes du corpus, vous répondrez à la question suivante (4pts) : Quelles fonctions peut-on attribuer au costume de théâtre d’après les textes A, B et C du corpus ? Ce corpus comprend trois extraits de pièce de théâtre : « L’Avare », « En attendant Godot » et « Rhinocéros » écrits respectivement par Molière au 17è siècle, Beckett et Ionesco au 20è siècle. Le théâtre est une forme d’expression artistique destinée à s’exprimer en publique, sur scène, par des acteurs donnant l’illusion de la réalité

la Divine Comédie de Dante, ce qui déstabilise tout lecteur qui n'en aurait pas une connaissance approfondie. Cependant, on peut déjà y voir l'annonce de certaines caractéristiques futures de l'œuvre de Beckett : l'inaction de Belacqua, l'un des personnages du Purgatoire, récurrent dans toute l'œuvre de Beckett ; son immersion dans ses propres pensées ; l'irrévérence à visée comique de la dernière phrase. Des éléments semblables sont présents dans le premier roman publié par Beckett, Murphy (1938) :

Le theatre s'agit d’un spectacle dans lesquel des acteurs incarnent des personnages pour un regard extérieur (le public), dans un temps et un espace limités. Le costume donne des informations une fonction informative a)Il aide le spectateur a comprendre de façon plus formelle et rapide la pièce. 1 Information quant à l'époque 2 Information quant au genre 3 Information quant à l'intrigue il aide a donner sens a la pièce. A montrer l’aspect comique tragique… en dépendant de ce que doit être

I-) Objet d’étude: ROMAN ET SES PERSONNAGES : vision de l’homme et du monde La vision de l’homme à travers le personnage de roman Perspective dominante : Texte et singularité ; Genre romanesque ; Transposition filmique Perspective littéraire : Etude de l’histoire littéraire et culturelle Problématique : En quoi les personnages de roman traduisent-ils le regard de l’écrivain sur l’homme et

accessoires et de l'opposition des personnages) apporte une nuance à la pièce, le comique a quelque chose de tragique. • Samuel Beckett, En attendant Godot, 1953 : pièce finalement très sombre (constat désespéré sur la condition humaine dans l'attente d'un sens extérieur qui jamais ne vient) => la veine comique ressort dans l'absurdité de la situation, renforcée par les dialogues de sourds (jeux sur le sens des mots, questions-réponses décalées, etc.), la gestualité des personnages, qui tire le deuxième acte

Adamov, Jean Genet, voire Harold Pinter sont parmi les auteurs de ces œuvres qui ont bouleversé les conventions du genre. La particularité de Ionesco et de Beckett est qu’ils ont exposé une philosophie dans un langage lui-même absurde qui réduit les personnages au rang de pantins, détruit entre eux toutes possibilités de communication, ôte toute cohérence à l’intrigue et toute logique aux propos tenus sur scène. Toutefois, Beckett a toujours nié faire partie de ce mouvement malgré la pièce Fin de Partie

pour l’étrange, la bizarrerie du monde et de la pensée (rêves...) 3. A et B) A. CAMUS : Le mythe de Sisyphe (1942), la peste J.P. SARTRE : la Nausée (1938), L’Etre ou le Néant (1943) E. IONESCO : la cantatrice chauve S. BECKETT : En attendant Godot, Oh les beaux jours C) L’absurde est un seul et même courant qui s’exprime dans différents genres littéraires : essai, roman et théâtre. D) Dans le roman de l’absurde c’est l’anti-héros qui domine. 4. La Nausée : roman de J.P. SARTRE