Les Ordres Mendiants

pouvoir à moi aussi : que celui à qui j’imposerai les mains reçoive l’Esprit-Saint’”. Cela signifie l’achat moyennant finance ou cadeau d’une charge ecclésiastique. Les conciles d’Orléans et de Clermont dès le VIème siècle condamnèrent ce trafic des ordres sacrés (fonctions ecclésiastiques), Isidore de Séville le qualifie d’hérésie. Nicolaïsme : concubinage de ceux qui ont des fonctions sacerdotales (et non pas des clercs en général, certains ont toujours eu le droit de se marier “avec une seule vierge”)

Mal, en 1857). Cette forme de titre est relativement courante dans le recueil, surtout avec des personnages féminins, la préposition servant à désigner, de manière anonyme, l’inspiratrice et la dédicataire du poème (cf. par ex. A une Madone, A une Mendiante rousse, A une Passante). Le sonnet s’organise en deux thèmes suivant la répartition des strophes : 1) un hommage à la beauté de la jeune femme dans les quatrains 2) une invitation à se rendre en France dans les tercets 1) L’hommage à la beauté

Limite de la thèse. Or si tout est culturel, il n'est plus possible de juger absolument du bien et du mal, tout est relatif. Pourtant, il y a des actes qui semblent causer la réprobation générale. Ainsi, lorsque je passe à ses cotés, si je frappe un mendiant ou un cul-de-jatte sans raison apparente. Quel est le principe qui donne sa nécessité et son universalité à cette réprobation? L'avènement du sujet libre dans l'histoire occidentale à conduit à rendre la morale de plus en plus indépendante des

paroisse, centre de la communauté villageoise. B / Le christianisme, une religion à la recherche du salut. C / Les «chemins du ciel». II / ... ENCADRÉ PAR UNE EGLISE CONQUERANTE ET DYNAMIQUE ... A / Le renforcement de l’autorité pontificale. B / Des ordres monastiques renouvelés. C / Une Eglise riche et influente. III / ... PRATIQUANT L’INTOLÉRANCE ET LA RÉPRESSION. PROBLEMATIQUES PARTIE TROIS : SOCIÉTÉS ET CULTURES DE L’EUROPE MEDIEVALE DU XIIè AU XIIIe SIECLE. INTRODUCTION CARTE 1 : LA SITUATION

disposer trop librement des bénéfices ecclésiastiques germaniques. Cette montée des particularismes n'est pas sans conséquences pour les grands ordres religieux, notamment chez les bénédictins et cisterciens, qui éclatent en congrégations particulières. Il en va de même chez les ordres mendiants (franciscains et dominicains) avec une fragmentation de ces ordres. Les universités sont aussi touchées : si elles se multiplient au XV°, c’est parce que chaque prince veut avoir la sienne pour former les cadres

biens par Renart, le roi est un personnage ridicule. 8/ Qui est en réalité représenté par Noble le lion ? a) Noble étant la figure symbolique du roi, il représente ici le souverain Louis XI. Rutebeuf critique la place qu’il donne aux ordres mendiants dans ses prises de décision. b) Comment le poète atténue-t-il le caractère personnel de son attaque ?  En recourant au symbole animal de la royauté, le Lion, et en utilisant un personnage satirique devenu traditionnel, Renart

hérétiques et qui provoque la condamnation de plusieurs milliers de personnes. Il y a eu d'autre hérésie dans d'autre région d' Europe traqué par l'inquisition (notamment les moines dominicains ). L'Église s'adapte aussi en créant deux ordres de moines mendiants qui cherche à donner l'exemple, à enseigner aux fidèles: les dominicains, les Franciscains. => Exclusion: la persécution des juifs Il y a en Europe très peu de non chrétien parmi lesquels il y a : - les polythéistes (A l'Est), -

terme est utilisé par les bouddhistes. Voir aussi les récits sur le tunnel de lumière5, etc.). Marguerite assume encore sa fonction de guide en lui facilitant le chemin et en éliminant tous les obstacles : « j’écarte les broussailles » (l.15)  + ordres successifs « ne le touchez pas » l.18 ; « loup, n’existe plus » l.22 « Rats et vipères, n’existez plus » l.15… II- Les renoncements successifs Tout le long de ce parcours, le Roi doit renoncer à tout ce qui pourrait encore retarder son glissement

des Femmes, Acte V, Scène 4. Texte D : Racine, Phèdre, Acte IV, Scène 2. TEXTE A : Molière, Dom Juan, Acte III Scène 2. Don Juan, accompagné de son valet Sganarelle, est un grand seigneur libertin et provocateur, qui essaie de faire blasphémer un mendiant très pieux. SCÈNE 2. Don Juan, Sganarelle, un pauvre. 5 10 15 20 25 30 SGANARELLE. Enseignez-nous un peu le chemin qui mène à la ville. LE PAUVRE. Vous n’avez qu’à suivre cette route, messieurs, et détourner à main droite quand vous serez

& donc est payé peu car payé que pour sa mise en servitude : disposition de son temps de travail, d’une partie de sa liberté. - Le misérable. Celui qui a perdu toute félicité. Cicéron appelle miséreux les morts car ils sont perdus la vie. Les mendiants car ils ont moins que le minimum vital. La misère manifeste une gradation dans la pauvreté, c’est celui qui a moins que le minimum vital pour pouvoir subsister. - L’exclu renvoie non seulement à une forme de misère économique & sociale mais aussi