Les Ordres Mendiants

Christ souffrant et de celui qui mérite considération pour sa valeur spirituelle et humaine propre. Corollaire de l’urbanisation croissante, la pauvreté s’étend dans les villes entraînant le développement de nombreux hôpitaux sous l’impulsion des ordres religieux. L’Eglise est d’abord seule à s’occuper des pauvres. Progressivement, les municipalités prennent le relais à l’instar de ce qui se passe à Paris pour l’Hôtel-Dieu, dès le XVIe siècle, après une grave crise disciplinaire et financière. Dans

promenade favorite des Parisiens. Grâce à cette popularité, les mendiants, les bateleurs, les danseurs de corde s’y invitent. En 1610, c’est la venu des médecins empiriques qui vendent des drogues diverses en présentant des spectacles avec des danseurs ou des acteurs. Ce nouveau pont intègre les premiers trottoirs de Paris, c’est là que s’installe bouquiniste et autre afin de vendre leurs marchandises. Enfin 1848, tout commerce disparaît sous ordres royales. Les personnages qui assurent le spectacle sur le

puisque pour le Clergé Séculier on les retrouve au milieu de la population alors que le Clergé Régulier reste cloîtré dans les monastères. http://ecole.pagespro-orange.fr/college.saintebarbe/moyenage/images/clerge.jpg 3/ Trois Ordres différents au Moyen Age A partir du X° siècle, les monastères se regroupent en ordre religieux, c’est à dire en groupe de moines qui obéissent à la même règles. On peut notamment trouver : L’Ordre de Cîteaux : Armes de l'ordre de Cîteaux

sociales les mêmes tendances qui ont caractérisé la seconde moitié du XVIIe siècle a poursuivi, à savoir, la domination aristocratique (la noblesse), monarchies forte, l'expansion des administrations centrales, et modes de vie traditionnels. Les 3 ordres de la société sous l’ancien régime sont : - Noblesse : En France la noblesse se réclame d'une race particulière dotée de qualités propres et qui se transmettent par le sang. L'ancienne noblesse remonte au Moyen Âge. La noblesse plus récente doit

ainsi une élite cultivée. Le clergé régulier est composé de 80 000 membres, autant d’hommes que de femmes, ils obéissent à une règle. Les moines (et moniales) sont divisés en deux catégories : - les ordres contemplatifs qui prient pour les hommes, la clôture est totale - les ordres mendiants, qui assurent une assistance dans le monde, mais également la prédication (par le biais de sermon). Depuis le colloque de Poissy en 1561, il existe une représentation nationale, l’Assemblée du clergé

principalement la corruption de la société en France par l’Eglise. On peut le constater avec l’abbé perigourdin, qui, avec l’aide de la Marquise, dupe Candide et Martin dès leur arrivée, pour les faites arrêter par la Police. Les demandes de fonds des ordres mendiants sont aussi critiquées, au vu du comportement de Martin avec ceux-ci. Voltaire doit sans doute trouver absurde ce mode de vie, dévoué totalement à l’Eglise. f) Les jésuites du royaume du Paraguay : Los Padres - Au vu de sa structure très hiérarchique

devenu saint Olaf. 3. Des combats aux marges de la chrétienté ← Pendant tout le Moyen Âge, la christianisation progresse en Occident. Elle s'étend dans les campagnes, en particulier grâce à l'action des moines des monastères fondés par les ordres de Cluny et de Cîteaux. Vers 1200, l'ordre des cisterciens compte plus de 1400 monastères ou prieurés dépendant des monastères. ← Les croyances païennes finissent par disparaître dans les campagnes. L'Église* s'organise. Les paroisses sont regroupées

couleur tout comme la rose qui parle au tombeau a su ramener de la couleur a cet univers de mort. Dom Juan aux Enfers Charles Baudelaire Quand Don Juan descendit vers l’onde souterraine Et lorsqu’il eut donné son obole à Charon, Un sombre mendiant, l’oeil fier comme Antisthène, D’un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes se tordaient sous le noir firmament, Et, comme un grand troupeau de victimes offertes, Derrière

C’est également un grand siècle pour l’architecture avec le développement des grandes abbayes comme celles de Fontenay ou de Citeaux. On a également le développement du style gothique, comme la Cathédrale Saint-Pierre à Beauvais. De nouveaux ordres mendiants apparaissent, notamment l’ordre franciscain. C’est également le temps des croisades. La première croisade date de 1095, elle est lancée par le pape Urbain II. Il promet la clémence totale à ceux qui se seront battus. Les croisades dureront jusqu’en

retenu, à l’image de son personnage qui se veut « pur », selon la définition giralducienne, et absolu. Son fantasme de l’enfantement, thématique du monologue, profile un élan nouveau qui n’est autre que sa propre « renaissance ». Sous les yeux du mendiant silencieux, s’opère un dialogue, tournant très vite au monologue, emprunt de lyrisme tant par le lexique que par la théâtralité suggérée. Oreste contraint au silence, le duo est déséquilibré, la parole monopolisé par une Electre impérieuse. Son